Le membre du Congrès Russell Friedenberg (président du Comité du renseignement de la Chambre des représentants des États-Unis) appelle, totalement paniqué, Cooper. Il veut le voir à propos de Rakitin, mais pas à son bureau. Il lui communique une adresse où ils doivent se retrouver dans deux heures.
Une fois qu'il raccroche, nous le trouvons chez lui, menacé par Rakitin et ses hommes. Il sera retrouvé plus tard par sa fille, mort de « causes naturelles »
Red et Dembe sont dans le jet, direction Moscou. Ils ne font guère qu'un aller-retour puisque l'ami de l'est les rejoint à bord pour discuter. Le criminel veut le voir en face pour le rassurer et lui dire, avant de repartir, que la situation avec Cooper est sous contrôle. Mais Dembe est inquiet : le directeur adjoint ne renoncera pas, leur ami est nerveux et la seule solution serait de retirer Rakitin de l'équation. Pour Red, cela ne ferait que confirmer les soupçons du directeur adjoint s'il disparaissait. Mais il est confiant, contrairement à Dembe.
L'ami de l'est rejoint Red dans son jet. Le criminel lui assure qu'il a Cooper sous contrôle. Mais il répond ne pas avoir besoin d'être rassuré parce que lui, il s'est chargé du problème. Il n'a jamais aimé l'idée qu'il travaille pour le FBI, c'était pour leur but commun, mais il accuse à présent Red de se soucier d'eux d'une manière qui est préjudiciable à leur objectif. Il poursuit : Rakitin ne peut être arrêté ni interrogé par le FBI, ni exposé, d'autant plus qu'il ne sait rien de son accord avec la Task-Force. Tout ce que le hacker voit, c'est qu'il ne fait rien. Rakitin ne travaille pas qu'avec eux, il travaille sur des dizaines de projets sensibles pour le SVR. S'il parle, tous tombent à l'eau. Le criminel comprend : son ami l'a éloigné pour agir dans son dos. Il lui ordonne d'annuler son attaque contre Cooper, mais le plan est déjà en route.
Pendant ce temps, Cooper se présente au rendez-vous, dans un parking vide. Il se rend rapidement compte d'un souci lorsqu'un inconnu approche, lui demandant de sortir de sa voiture. Il tente de résister, mais il en est extirpé par la force avant d'être assommé. Il est emmené à Rakitin qui l'attend et veut lui poser quelques questions : comment l'a-t-il suspecté ? Cooper lui rappelle qu'il est directeur adjoint du FBI, mais l'homme est peu impressionné.
Déjà sur le retour, Dembe et Red se demandent quelle conduite tenir. Dembe suggère de contacter Ressler, mais le criminel préfère essayer de joindre Rakitin. L'homme répond et écoute les menaces du criminel sans broncher : il n'a peut-être pas son autorisation mais il a celle de leur ami de l'est. Red lui explique qu'ils viennent de se quitter et qu'il lui a affirmé que Cooper était sous contrôle. Il doit l'écouter... Rakitin lui raccroche au nez.
Cooper refuse de parler, de toute façon, il sera tué. Rakitin lui affirme que s'il coopère, il n'ira pas rendre visite à Charlène et à son fils.
Le casse-tête est entier pour Red et Dembe : Rakitin sait trop de choses, il ne peut pas être arrêté mais la vie de Cooper est en jeu. Dembe suggère de s'occuper déjà de sauver Cooper, puis de s'inquiéter du hacker après.
Cooper menace : s'il meurt, son équipe saura que c'est lui. L'homme se moque, cela ressemblera à un suicide au monoxyde de carbone, c'est courant la déprime dans sa profession. Il a même écrit une note. Le téléphone sonne à nouveau. Encore Reddington qui lui demande d'interroger Cooper sur la mystérieuse Task-Force qu'il dirige avant de le tuer. Rakitin accepte. Ce qu'il ne sait pas c'est que l'appel a été enregistré et tracé par Aram depuis le Bureau de Poste, l'équipe a donc une adresse.
Pendant ce temps, Rakitin fait pression sur Cooper pour obtenir des informations. Un homme tient sur son nez un masque respiratoire qui lui envoie du monoxyde de carbone dans les poumons, mais il ne révèle pas qui lui a parlé des fichiers volés. Rakitin exige un nom et surtout de savoir pourquoi il a persisté alors qu'il lui avait donné toutes les raisons de croire que Rakitin était mort. Toujours pas de réponse. Il ordonne sa mort, mais quelques secondes plus tard, le FBI fait irruption et Cooper est sauvé.
Au Bureau de Poste, Cooper arrive avec Ressler et Rakitin. Il demande à ce que Cynthia Panabaker soit appelée de suite. Son téléphone sonne et au bout du fil, Reddington est rassuré de l'entendre, mais Cooper est agressif, l'accusant. Le criminel précise alors que c'est lui qui a aidé la Task-Force à le trouver. Mais le directeur adjoint persiste et menace, cela ne change rien, ils ont Rakitin et s'il l'implique...Red reçoit un double appel, lui dit qu'il est content qu'il soit en vie et raccroche pour prendre son ami de l'est au bout du fil. Bien sûr, il est furieux, Rakitin est aux arrêts, un de leurs meilleurs agents, il l'a vendu aux Américains ! Le criminel lui rejette la faute ; il fallait l'écouter et lui rappelle à qui il parle. Mais l'homme ne se démonte pas, si Rakitin l'expose, expose son travail pour le SVR, il jure d'envoyer toute cette agence après lui. Red le rassure, il va arranger les choses puis tous les deux auront une petite discussion, car il a apparamment oublié à qui il parlait.
Au Bureau de Poste, Ressler passe discrètement un appel : Skip Hadley répond, mécontent qu'il utilise ce numéro d'urgence. L'agent exige de parler à Keen car il y a du nouveau. Plus tard, Skip lui transmet un numéro, il devra laisser un message que Liz écoutera. C'est ça ou rien. Elle lui fait peut-être confiance, mais lui non.
Cynthia Panabaker, dans le bureau d'Harold, s'inquiète pour lui, mais le directeur adjoint est bien décidé à lui expliquer pourquoi sa « mésaventure » est arrivée. Mais la femme sait bien qu'il lui cache des choses depuis quelque temps déjà alors elle l'écoute.
Cooper lui explique la véritable raison pour laquelle l'agent Keen est sorti des clous, Reddington ayant tué sa mère étant le dessus de l'iceberg. Il revient 30 ans en arrière, quand un dossier a été volé aux services de renseignement soviétiques. Un fichier de chantage composé de 13 paquets de données. Des informations préjudiciables sur les gouvernements rivaux, des secrets détenus par certaines des personnes et des entreprises les plus puissantes du monde. La personne responsable ? Un agent russe non identifié d'où son nom, N-13. Le fichier volé est l'archive Sikorsky. Là-dessus arrive Neville Townsend, l'une des personnes puissantes nommées dans les archives. En conséquence, sa famille a été tuée. Et il a mis une prime sur la tête de la femme qu'il croyait responsable, Katarina Rostova. Mais, celle-ci a toujours affirmé qu'elle avait été piégée par le vrai N-13, supposément Reddington. L'ancienne espionne aurait trouvé des preuves, mais le criminel l'a tué avant qu'elle puisse en parler. Keen pense qu'il est un espion russe, envoyé pour infiltrer les agences de renseignement et exécuter un plan dans un but bien précis. Le fait est que peut-être Keen a raison : l'homme arrêté Andrew Patterson, que les Russes appellent Rakitin, donne des informations à N-13. De toute évidence, il travaille avec ou pour Reddington. Cynthia est atterrée, car cela implique que leur informateur est peut-être un agent dormant.
Cooper entre dans une salle d'interrogatoire et menace Rakitin de tentative de meurtre d'un agent fédéral, d'intrusions dans les serveurs du gouvernement, le vol de renseignements confidentiels, de trahison, mais tout ce qui intéresse ce dernier est de savoir comment son équipe les a trouvés. C'est certain, la fuite ne vient pas de son côté.
Aram et Alina écoutent l'enregistrement de l'appel de Reddington qui a permis de localiser Cooper : pour eux, à présent, il ne peut-être que N-13. Pour Park, cela veut dire que Liz peut revenir mais son collègue lui rappelle qu'elle a fait sortir de prison un meurtrier de masse qui, sur ses ordres, a pris pour cible un avion rempli de passagers : ils auraient pu tout aussi bien arriver trop tard pour empêcher la catastrophe. Ce qui est certain, si Rakitin confirme, le criminel peut dire au revoir à son accord d'immunité et rien ne semble pouvoir arrêter cela.
À cet instant, Alina reçoit un appel du criminel. Il est temps qu'elle lui renvoie l'ascenseur. Dembe lui envoie une adresse.
Ressler appelle le numéro donné par Skip et laisse un message à Liz : il lui affirme ne pas être en colère mais que, seulement, il ne comprend pas tous les choix qu'elle faits, Neville Townsend est un tueur et elle s'allie avec lui. Toujours est-il que grâce à la clé USB qu'elle leur a envoyée, ils ont Rakitin qui peut éventuellement leur confirmer que Reddington est N-13, elle pourrait donc revenir. Il lui assure de son soutien puis lui donne rendez-vous à Bentham Park à minuit.
L'agent Alina Park est assise dans une voiture garée devant la station-service de Coatti, pensant y retrouver le criminel. Il n'est pas là, contrairement à Mason Dieterle, l'homme qu'elle lui a demandé de faire disparaître. Elle est surprise, mais le criminel, au téléphone, lui précise qu'elle lui a demandé de régler le problème, ce qu'il a fait avec une nouvelle identité et un peu de persuasion. Il a pensé qu'un peu de motivation pour payer sa dette le moment venu serait la bienvenue. Alina se rebiffe, c'est sa parole contre la sienne...mais le criminel possède également une vidéo de l'attaque de l'agent sur l'homme. Elle n'a plus qu'à faire ce qu'il lui demande.
Un professeur de biologie et de chimie au lycée, Geoffrey Hill, s'occupe des amphibiens avant la classe lorsque Reddington et Dembe arrivent. Grâce à Cvetko, le criminel sait surtout qu'il s'agit de Felix Klopp dont les nombreux talents dans ces domaines ont été, entre autres, précieux au MI6. Il reconnaît Reddington et lui annonce qu'il est à la retraite, mais le criminel sait que s'il y met le prix, toujours selon Cvetko, il l'aidera. Il lui parle donc de son problème : il veut empêcher un homme interrogé de coopérer, à savoir qu'il est retenu dans une pièce hautement sécurisée, fortement gardé, avec aucun moyen d'entrer ou de sortir. Il est ouvert à toutes suggestions.
Au Bureau de Poste, Cooper continue d'interroger Rakitin, le menaçant des représailles russes pour qu'il coopère : il veut savoir le but de N-13. Sans réponse, excédé, il lâche le morceau : il veut savoir comment ses agents l'ont trouvé ? Reddington l'a donné. Il lui fait écouter l'enregistrement qui leur a permis de le localiser. Il n'est qu'un pion. Cynthia Panabaker, qui observe et écoute de la salle d'à côté, n'en revient pas. Elle met rapidement fin à l'interrogatoire, menaçante.
Cynthia explose car Cooper vient d'exposer leur informateur ! Mais celui-ci dit s'en moquer. La femme se demande alors à qui elle parle, lui ou Elizabeth Keen ! Le chef de la Task-Force campe sur ses positions car son plan a marché, Rakitin va parler. Pour elle, sans aucun doute, mais dira-t-il la vérité maintenant ? On ne sait pas, souligne-t-elle, si le criminel est
N-13, et si c'est le cas, alors pourquoi l'a-t-il sauvé ? Pourquoi leur remettre un de ses principaux collaborateurs ? Ils n'ont pas toutes les cartes en mains.
L'agent Park rejoint le criminel dans les cuisines de son restaurant. Il lui demande de remettre à Rakitin une lettre qui contient des instructions. Elle ne doit en aucun cas l'ouvrir ou la lire et la détruire ensuite. Il la rassure car quoiqu'il arrive, il en assumera la responsabilité.
En salle d'interrogatoire, Rakitin annonce à Cooper qu'il va parler. Reddington l'a abandonné et l'a puni. Il lui a demandé sa permission pour le tuer et le criminel a refusé disant qu'il s'occuperait de la menace et comme il ne l'a pas fait, il lui a désobéi. Pour lui, cela mérite une condamnation à mort, peu importe leur histoire. Mais l'homme ne compte pas se laisser faire : il a détruit sa vie, il va lui infliger autant de dégât qu'il le peut d'autant plus qu'il a compris. Il est leur informateur.
Aram a mis les choses en place dans la salle principale pour enregistrer la déclaration de Rakitin. Panabaker a préparé des documents légaux pour que le hacker les signe, avant de commencer, l'agent Park se propose de les lui apporter.
Ressler essaie à nouveau de joindre Liz et parle sur son répondeur ; il lui apprend que Rakitin a accepté de parler, que tout sera peut-être bientôt terminé et lui rappelle leur rendez-vous.
L'agent Park entre en salle d'interrogatoire et tend les papiers à signer au hacker. Elle lui indique discrétement, en dessous, l'enveloppe avec les instructions de Reddington. Il l'ouvre et ne trouve qu'un papier blanc. Il croit à une blague, remet l'enveloppe à sa place et, en bravade, signe les papiers de Panabaker.
Le criminel de son côté est las car il n'a jamais voulu de tout ceci, ni pour Cooper, ni pour Park, ni même pour Rakitin. Dembe le rassure, sauver Harold était le bon choix.
Rakitin est installé dans la salle principale devant une caméra pour sa déclaration volontaire. Après les présentations d'usage dans ces cas-là, Cooper lui demande pour qui il travaille. L'homme répond qu'officiellement, c'est pour le Bureau du renseignement et de l'analyse, une division de la sécurité intérieure. Officieusement, depuis plusieurs années, pour le SVR, entre autres groupes.
En parallèle, nous découvrons le plan de Geoffrey Hill pour remédier au problème de Reddington. En aucun cas quelqu'un, à par la cible, ne doit toucher la lettre, elle est imbibée d'un puissant poison, le VX (plus mortel que le sarin). Il est inodore, s'évapore et plus Rakitin touchera la lettre, plus l'effet sera rapide.
Rakitin commence à respirer avec difficulté et à cracher du sang. Un médecin est appelé mais l'homme est déjà mort.
Dans le bureau de Cooper, celui-ci apprend à Panabaker que Reddington arrive. Elle ne sait pas trop la conduite à tenir. Rakitin a été empoisonné alors qu'il était en détention depuis des heures et il aurait le toupet de se pointer juste après s'il était responsable ?
Dans le bâtiment, Red tombe sur Alina, mécontente. Le criminel lui rappelle qu'elle n'a rien fait, qu'il en prend la responsabilité mais elle lui rappelle que l'homme est décédé, elle est donc complice. Il lui fait remarquer qu'elle se sentait moins coupable lorsqu'elle pensait que Dieterle était mort. Red lui conseille de détruire la lettre, elle a été prudente, aucune preuve ne remonte jusqu'à elle. Mais l'agent a un sursaut de conscience et veut parler à son chef ce qui fait sourire le criminel : elle est justement dans le pétrin pour ne pas avoir voulu lui parler et maintenant, d'après elle, que va-t-il se passer si elle avoue ?
Le corps de Rakitin est emmené alors que Red et Dembe arrivent dans la salle principale. Le criminel monte immédiatement dans le bureau de Cooper, sous le regard médusé d'Aram et Ressler.
Le criminel est surpris de trouver Cynthia et se dit étonné de voir la tournure de l'interrogatoire mais Cooper ne veut pas jouer à ce jeu-là et lui demande cash il l'a tué le hacker. Red élude, comme d'habitude, parlant d'un groupe de Tchétchènes qu'il a connu, tous pourvus d'une molaire contenant du poison. En colère, le chef de la Task Force lui demande si c'est un jeu, pour lui. Très sérieusement, Red lui répond qu'il l'avait prévenu, que poursuivre pourrait s'avérer mortel. Cooper prend cela pour une menace, précisant qu'il n'a pas peur. Le criminel lui répond qu'il devrait car s'il l'a sauvé aujourd'hui, mais demain ? Les personnes pour lesquelles Rakitin travaillent ne le laisseront pas les exposer. Il n'est pas son ennemi. Qu'il le croie ou pas, lui et Cynthia sont plus en sécurité aujourd'hui parce qu'ils n'ont pas entendu ce que l'homme avait à dire. Panabaker fait cependant une promesse : une enquête est ouverte et s'il est impliqué dans cette mort, son accord d'immunité sera invalidé. Red lui fait remarquer que si quelqu'un est impliqué dans cette mort, c'est l'un des leurs, ils devraient étudier la théorie de la dent contenant du poison. Sur ce, il part, il a un rendez-vous. Panabaker n'en revient pas.
Red et Dembe sont dans le jet, au sol. Ils portent un toast pour Rakitin, un artiste dans son domaine : il sera difficile à remplacer. Le criminel est d'accord même s'il avoue ne l'avoir jamais aimé car il était juste un espion mou, dépourvu de conviction et de caractère. Ils trouveront quelqu'un d'autre.
Ils sont rejoints par l'ami de l'est, furieux d'avoir dû voler depuis Moscou jusque là. Il traite le criminel de fils de pute arrogant et l'accuse d'avoir tué Rakitin, un atout si précieux...Sans crier gare, Red lui assène un coup de poing dans la figure et le fait asseoir. Il s'approche, menaçant, voulant mettre les choses au clair avec son vieil ami car il se fout de savoir pour qui il travaille, mais la prochaine fois qu'il le menacera de lui mettre le SVR sur le dos, il lui fera la peau. L'ami de l'est fait signe qu'il a compris et Red poursuit. Il l'estime responsable de la mort de Rakitin qui est une catastrophe pour eux. Mais qu'il comprenne une chose, il doit se faire à l'idée qu'il est impliqué émotionnellement avec la Task-Force car ça, c'est bien au-dessus de ses compétences. C'est son objectif final à lui et plus jamais il ne doit interférer.
Reddington s'assoit enfin, calmé, mais las. Il dit à l'homme de l'est qu'il apprécie leur longue amitié, mais que le plus important est leur objectif final et qu'il est proche. Rien n'est plus important que cela. La fin.
Ressler attend Liz sur un banc à Bentham Park. Il est minuit passé. Comme elle ne vient pas, il lui laisse un message sur sa boîte vocale, il est finalement heureux qu'elle ne soit pas venue, les nouvelles sont mauvaises. Rakitin est mort, probablement à cause de Reddington, mais rien n'est certain. Les résultats d'autopsie ne sont pas encore connus, mais il a certainement été empoisonné. Ils deviennent tous dingues. Il est déçu, il était persuadé que c'était fini. Elle leur manque. Ils aimeraient qu'elle revienne.
Dans une voiture garée non loin de là, Liz écoute le message de Ressler, démarre et part.
Résumé proposé par mnoandco