Ogden Greeley fait une démonstration prometteuse d'une faille dans la sécurité américaine puis déclare à la caméra que les enchères sont ouvertes.
Cooper rencontre Allan Tuppert, directeur législatif du gouverneur de Virginie Nance. Il est étonné d'apprendre qu'après 41 ans de service public, le sénateur Warwick a décidé de prendre sa retraite, mais encore plus que le gouverneur Nance pense à lui pour le remplacer à ce poste. Rien d'étonnant avec sa carrière exemplaire que ce soit militaire ou au Bureau. L'homme lui fait miroiter ce qu'il pourrait faire au niveau national s'il était au sénat. Il lui demande de réfléchir à cette proposition. À ce moment, le chef de la Task-Force reçoit un appel de Nick's Pizza.
Dans la cuisine de son restaurant, Red sert du café à Cooper qui vient de lui apprendre la proposition de Nance. Il voudrait son opinion avant même d'apprendre la nouvelle à Charlene. Il possède les qualités pour ce poste, mais le criminel lui rappelle que si cela se sait qu'il travaille avec lui, sa moralité peut être considérée comme ambiguë. Tous deux savent que c'est pour le bien de tous, mais cela pourrait être interpréter différemment.
Reddington en vient au motif de son appel qui concerne le « National Reconnaissance Office » ' (Bureau national de Reconnaissance), mais surtout Ogden Greeley qui y travaille en tant qu'entrepreneur de la défense. Il y a cinq jours, il a disparu. Le fait est inquiétant, car Greeley a un niveau d'accréditation élevé et qu'il sait tout ce qu'il y a à savoir sur la technologie satellitaire du pays. La CIA suppose qu'il a été enlevé, peut-être par les Iraniens ou les Russes. Mais il en est autrement. Un vidéo circule sur le dark web. On y voit Ogden Greeley décidé à vendre au plus offrant ses connaissances des vulnérabilités présentent dans les systèmes satellites des USA, car, dit-il, les bureaucrates ont refusé de voir les problèmes de sécurité qu'il pointait du doigt. Pour lui, exploiter ses failles leur ouvrira les yeux.
Au Bureau de Poste, Cooper présente ce cas. Selon le criminel, la Corée du Nord, la Russie et l'Iran (au minimum) sont intéressés par cette vente. Park, comme beaucoup, ne connait pas l'existence du « Bureau national de Reconnaissance » organisme ultra-secret qui conçoit, construit, lance et entretient tous les satellites-espions américains. Ils sont tout simplement l'épine dorsale de la sécurité nationale américaine que ce soit sur terre, en mer ou dans le ciel.
Sachant que Greeley a femme et enfants, Ressler et Park décident d'aller l'interroger. De leur côté, Cooper et Mojtabaï vont contacter le « Bureau national de Reconnaissance » et la CIA afin de les prévenir de la menace. Le temps presse : les enchères se terminent dans 13 heures.
Alice Greeley reçoit les agents, étonnée, car elle a déjà été interrogée. Elle est inquiète pour son mari, pensant qu'il a été enlevé, et est abasourdie d'apprendre qu'il a peut-être volontairement disparu afin de vendre des renseignements confidentiels. La femme refuse cette idée : jamais son mari ne trahirait son pays ni sa famille. C'est un homme bien.
Pendant ce temps, Ogden retrouve une jolie femme dans une chambre d'hôtel et l'embrasse.
Dans un parc, Red, assis sur un banc, prend un bain-de-soleil. Il est interrompu par Anne, étonnée de le voir encore là. Ils commencent à discuter, le criminel avouant qu'il cherche à échapper aux amis et au travail. La femme rit : il a trouvé l'endroit idéal. La conversation se poursuit lorsque Red voit la femme dessiner un oiseau expliquant qu'ils construisent un nid, élèvent une couvée puis quittent tout cela. Ils décident d'aller voir ensemble où nichent les bruants fauves qu'elle a vus plus tôt dans le parc, car ils sont rares dans cette partie du pays.
Chemin faisant, Red apprend que le mari d'Anne est décédé d'un cancer du poumon et qu'ils ont été mariés presque 25 ans. Lorsque la femme lui demande des renseignements sur lui, le criminel lui répond qu'il est un fugitif, numéro un sur la liste des criminels les plus recherchés du FBI, Anne rit, croyant à une blague. Elle raconte qu'elle habite au Kansas, dans une petite ville au nord de Wichita. Amatrice de théâtre, tout comme son mari l'était, elle a décidé de faire des économies et de venir à New York, pour assister à des spectacles à Broadway...elle en a vu autant qu'elle a pu en une semaine. Son séjour se termine le soir même, après une dernière séance.
Arrivée au nid de l'oiseau, Anne sort ses jumelles pour l'observer et propose à Raymond la moitié de son sandwich. Il accepte. Plus tard, la femme doit partir, car son Uber l'attend. Elle est désolée qu'ils n'aient pas vu le bruant fauve et apprend que l'homme n'habite pas New York : elle constate que finalement elle ne sait rien de lui, c'est elle qui a fait la conversation.
Red prend un appel alors que la femme part, à regret. Au bout du fil, Dembe lui annonce que Marvin assure qu'ils peuvent couvrir le solde sans compromettre aucune liquidité...mais on ne sait pas de quoi il s'agit. Le garde du corps s'inquiète, car son patron et ami s'est absenté 3 heures au lieu d'une prévue. Le criminel n'en revient pas de ne pas avoir vu le temps passer, comme s'il était quelqu'un d'autre. Dembe le sermonne : ce n'est pas prudent d'être seul. Pour Red, un moment de paix et un après-midi de liberté valent le risque. Il raccroche alors qu'Anne réapparaît. Elle a annulé son véhicule et le dernier spectacle avant son départ n'est qu'à 8h. Elle aimerait qu'il l'aide à choisir un souvenir pour sa sœur. Il l'emmène dans une minuscule boutique de chocolat à sept ou huit pâtés de maisons.
Ressler et Park rencontrent les dirigeants du NRO (National Reconnaissance Office) et du DNI ( Director of National Intelligence ). Les deux services sont en ébullition suite aux révélations de Cooper concernant Greeley : non seulement il a travaillé sur les satellites, mais il a aidé à concevoir le logiciel et le code pour les diriger. C'est simple, toute la défense nationale du pays dépend entièrement de la technologie satellitaire : s'ils tirent un missile, le satellite le guide. Si quelqu'un tire un missile, ils le détectent de la même manière. Chaque navire, chaque avion est suivi grâce à ce procédé. Ogden Greeley en sait assez pour endommager irrémédiablement les satellites. Si un ennemi des États-Unis achète ces informations et les utilise, une guerre perdue d'avance est à envisager.
Au Bureau de Poste, Aram a trouvé une information grâce aux agences de renseignements alliées : 5 mois auparavant, Greeley a été vu dans un hôtel de Berlin avec une femme...mais pas la sienne. Les recherches sont lancées pour découvrir son identité.
Park est presque choquée d'apprendre que dans ce moment critique, Cooper s'est absenté pour motif personnel.
Dans la voiture qui les conduit, Charlene Cooper est excitée et imagine déjà son mari se faisant appeler « Sénateur Cooper » et aime cette idée. Pour elle, il est parfait pour ce poste : décent, honnête et attentionnée. Elle n'est pas ravie d'apprendre que Reddington a émis l'hypothèse que c'était parce qu'il était moralement flexible pour regarder, au besoin, ailleurs. Charlene s'offusque que ce genre d'homme se permette une telle remarque ! Elle continue sur sa lancée imaginant un « Gouverneur Cooper » et même un "Président Cooper"
Dans une salle à manger privée, Alan Tuppert présente les Cooper au sénateur Brian Warwick. Le chef de la Task-Force prévient toutefois qu'il est susceptible de devoir partir, car il est sur une affaire de la plus haute importance dont, évidemment, il ne peut pas parler. Charlene vante son mari à Warwick et se dit surprise de le voir donner sa démission. L'homme explique qu'à 68 ans, il est temps de laisser la place à du sang frais. Il demande à Cooper de parler de lui.
Dans la petite boutique de chocolat, Red et Anne savourent une boîte de chocolat tout en dégustant du vin. Lorsque la serveuse pose la facture, la femme s'en empare et supplie Raymond de la laisser payer. L'homme se moque car il n'y a plus guère de chocolats à offrir à sa sœur et qu'il faut trouver un autre cadeau genre un t-shirt «I Heart New York», une statue de la liberté ou une tour Eiffel. Ils rient. La conversation se poursuit Anne voulant en savoir davantage sur son invité : elle a déjà appris qu'il était dans la marine et veut à présent savoir ce qu'il fait dans la vie. Red répond presque sans mentir qu'il a sa propre entreprise, consulte, évalue les menaces pour le gouvernement plus exactement, fait du profilage de données, relocalise des clients, offre des services financiers...Red apprécie le côté équilibré de la vie de la femme et soudain lui propose d'aller voir La Mort aux trousses de Hitchcock à la projection de minuit le lendemain au cinéma de Village East. Mais Anne annonce qu'elle part le matin même. Red lui demande de changer son vol lorsque Dembe apparaît. Il doit partir. Il lui apprend que si elle change d'avis, il sera devant le Village East à minuit avec 2 billets. Ils se quittent chacun avouant avoir passé un agréable moment. Dembe apprend au criminel que les actifs sont disponibles et Red est satisfait : ils vont pouvoir passer un accord.
La conversation des Cooper se poursuit avec le sénateur Warwick qui met vite Harold au parfum. Dès qu'il sera assermenté, dans les deux semaines il va devoir voter sur le budget noir. Ce sont des crédits pour tout, de la CIA à la NSA, toutes les agences vitales à la sécurité nationale, mais ils ne savent pas à quoi va servir cet argent. C'est oui ou non et cette année, c'est pour un budget de 80 milliards. Il veut sa promesse de voter oui. Cooper accepte. Warwick est satisfait : il va soutenir sa candidature auprès du gouverneur. Le téléphone du chef de la Task-Force sonne et il doit s'éloigner pour répondre.
Au bout du fil, il apprend de Ressler, le nom de la femme que Greeley a rencontrée : une espionne russe nommée Nina Kurylenko et elle est à Londres. Cooper ordonne à Ressler et Park de s'y rendre et d'intercepter la femme pour l'interroger. Ils leur restent 7 h.
Cooper rejoint Charlene et Warwick et leur apprend qu'il doit partir.
Au Bureau de Poste, Cooper tente d'apprendre qui va bénéficier du budget noir dont Warwick lui a parlé. Aram ne pouvant pas le renseigner, il appelle Reddington, qui se trouve dans son jet, pour lui demander une faveur : découvrir à qui le budget va être alloué. Le criminel trouve cela très amusant et promet de passer quelques coups de fil.
Dans l'avion, Red et Dembe poursuivent leur conversation. Dembe essaie de faire entendre raison à son ami : il comprend qu'il apprécie ce qu'Anne représente, la normalité, mais c'est dangereux pour elle s'ils se revoient. Pour le criminel, ce n'est qu'un film, personne ne sera blessé.
À Londres, Ressler et Park arrêtent Kurylenko alors qu'elle tente de leur échapper. Ils promettent de l'emmener à l'ambassade de Russie si elle parle. Sinon ils la remettent à la CIA. Mais les enchères ont été clôturées une heure plus tôt et elle ne sait pas qui a acheté les informations de Greeley. Mais elle sait où et quand se fera l'échange. Elle accepte de parler.
Au Bureau de Poste, Cooper et Aram apprennent que l'échange aura lieu dans 4h à l'extérieur d'Oulan-Bator en Mongolie. Comme ce pays se situe entre la Russie et la Chine, ils pensent que l'acheteur est soit l'un soit l'autre. Dans tous les cas, le temps joue contre eux : ils ne peuvent pas s'y rendre pour déjouer la transaction et encore moins prévenir la Mongolie qui pourrait copier les informations classifiées.
Cooper prend une décision radicale. Il décide de faire appel à la matrice de disposition (liste de mise à mort fédérale) afin d'envoyer un drone depuis Kandahar et de l'envoyer tuer Greeley et son acheteur. Pour Aram, c'est impensable, illégal. Pour les autres, c'est normal, la sécurité nationale est en jeu. Le chef de la Task-Force décide d'exposer le cas au plus vite au NSC (National Security Council). Il se rend tout de suite à la Maison-Blanche.
Dans une salle de conférence sécurisée à la Maison-Blanche, Cooper expose son cas devant le DNI, le président en ligne depuis Air Force One, les principaux membres du Conseil national de la sécurité...on lui fait remarquer que ce genre de procédé est utilisé uniquement contre les terroristes et que Greeley n'en est pas un. Cooper fait remarquer que Greeley effectivement ne vend pas d'arme, mais vend des renseignements qui peuvent être utilisés comme arme. Doivent-ils attendre que la Corée du Nord ou l'Iran les attaquent avec leur propre technologie avant de pouvoir se défendre ? Mais Greeley est un citoyen américain : il a le droit constitutionnel à une procédure régulière. Toutes les possibilités sont étudiées par toutes les parties et personne ne se met d'accord. Ils ont moins de 3h pour prendre une décision. Ils demandent l'avis du président. Quelque temps plus tard, la décision est prise : le Faucheur, un drone armé, est prêt à l'action et un écran leur permet de visualiser ce qui se passe en Mongolie.
Une vidéo satellite en direct montre la voiture de Greeley se rendant au rendez-vous. Le drone est prêt à agir, les civils présents dans la zone sont évacués pour éviter des dommages collatéraux. Greeley attend ses acheteurs une valise à la main. Ils arrivent. Cooper et les hommes présents reconnaissent immédiatement l'un d'eux : Raymond Reddington. Le chef de la Task-Force panique, tente de joindre Dembe qui ne décroche pas. Il demande finalement à ce que l'attaque soit annulée : son explication est que Reddington est un criminel pas une puissance rivale résolue à utiliser la technologie américaine contre eux. L'un des hommes présents fait remarquer qu'il peut la vendre.
En Mongolie, Greeley se dit surpris que ce soit Reddington qui ait acheté son produit, le capital est élevé. Mais le criminel se dit surpris lui-même : apparemment, il a une cote de crédit criminelle phénoménalement élevée. Se trouvant à découvert, il demande à finir la transaction à l'intérieur du bâtiment.
À la Maison-Blanche, une décision doit être prise rapidement, mais une fois de plus les avis divergent... jusqu'à ce que Greeley et le criminel ne soient plus dans le visuel du drone. Il est trop tard. Cooper est accusé d'avoir mis tous les Américains en danger. Il promet que non.
Au Bureau de Poste, Dembe remet à Cooper une épaisse enveloppe avec les détails du budget noir. Il lui apprend que c'est le criminel qui a acheté les informations de Greeley, qu'il aurait pu les en empêcher, mais qu'ils seraient morts tous les deux. Dembe lui demande s'il le regrette. Mais Cooper veut savoir comment le criminel fait pour savoir tout avant tout le monde. Pour Dembe, son patron est plein de ressources et lui est tout aussi bon : il espère qu'il acceptera l'offre du gouverneur, quoiqu'il y ait dans l'enveloppe, le pays a besoin d'homme comme lui.
Cooper rend visite au sénateur Warwick. Il donne à l'homme l'enveloppe en papier cartonné contenant des détails sur le budget noir qui contient la raison pour laquelle il devait voter oui. À l'intérieur se trouve la preuve d'un contrat sans offre de 100 millions de dollars pour une entreprise dont son fils est le principal propriétaire. Cooper l'accuse : il veut utiliser l'argent public à des fins privées. L'homme ne se démonte pas face à ces accusations. Pour le sénateur Warwick, les preuves qu'il lui montre ont été obtenues de manières illégales, Cooper a enfreint la loi. Son conseil amical? Oublier qu'ils se sont rencontrés. Ils en restent là, tout simplement.
Dans les cuisines du restaurant de Red, celui-ci sert du café à Cooper. Ils discutent du poste de sénateur et le criminel estime que ce que la Task-Force fait est bien plus important. Il sort ensuite la valise de Greeley qu'il a acquise étant le plus offrant. Il avoue que, dès le début, il comptait la revendre au Bureau. Il annonce son prix : 200 millions de dollars. 175 parce que c'est lui. Il avoue avoir payé 150 millions. Cooper lui en propose 155 millions pour l'info et réclame un merci. Il lui apprend que le Bureau savait pour la vente en Mongolie et qu'il a demandé au président d'ordonner une frappe de drone contre Greeley et son acheteur. Il a failli être vaporisé pour ne pas avoir dévoilé son plan. Reddington accepte le marché de 155 millions et remercie de bon cœur le chef de la Task-Force.
Dembe annonce à Cooper qu'il est désolé pour le poste de sénateur, mais ce dernier accepte l'idée du criminel qu'à cause de leur relation, Warwick a supposé que sa moralité était ambiguëe. Dembe en conclut qu'il s'est trompé, mais Cooper n'en est pas certain. Red le rassure : accepter que le monde soit gris n'est pas un vice, mais une vertu. L'homme réplique qu'il est d'accord, son équipe fait du bon travail, lui aussi, mais à côté de cela, il a ordonné une frappe de drone sur un citoyen américain et il ne rapporte pas les activités criminelles de Keen. Pour Red, les risques sont calculés et largement récompensés. Cooper avoue avoir changé, travailler avec lui l'a changé comme tous ceux de la Task-Force. Mais le criminel remarque que lui aussi a changé. Il est meilleur. Et lui, Harold, en est la raison. Il aurait pu accepter la proposition de Warwick et devenir sénateur avec en tête l'intention de ne pas tenir sa promesse. Il ne l'a pas fait. Sa parole est sacrée. C'est rare. Après ses paroles, Cooper se dit heureux de ne pas avoir utilisé le drone contre lui. Quant à Charlène, elle sera sans doute triste...10 minutes. Puis la vie reprendra son train-train ordinaire. Il conseille au criminel d'essayer. C'est extraordinaire.
Ogden Greeley frappe à la porte de la chambre de Nina Kurylenko, un bouquet de fleurs à la main. À la place de son amante, il est accueilli par Park et plusieurs autres agents.
Vers minuit, Anne attend devant le cinéma. Son téléphone sonne. Red, au bout du fil, lui apprend qu'il ne peut pas être là. Il s'excuse, elle a changé ses plans pour lui. Elle lui dit de ne pas s'inquiéter, elle est rentrée chez elle il y a quelques heures. Cependant, garé de l'autre côté de la rue dans sa Mercedes, le criminel voit que ce n'est pas le cas. Elle ment pour qu'il ne s'en veuille pas. Il lui avoue avoir passé un excellent moment et la femme répond qu'elle aussi. Ils se disent au revoir, disant qu'ils se reverront peut-être un jour, dans le parc. Anne s'éloigne du cinéma, très déçue. Red de son côté est également triste d'avoir dû prendre cette décision.
Résumé proposé par mnoandco