The Corsican et une femme conversent au téléphone. Il a accepté une mission un mois auparavant et se met immédiatement au travail. Grâce au nouveau visage fourni par le Dr Hans Koehler, il prend l'identité d'un homme qu'il tue, Charles Albrecht , mais non sans lui avoir soutiré des informations importantes sur les points de contôle d'un bâtiment , son badge et surtout un code d'accès.
Pendant ce temps à l'appartement de Liz, Jennifer contacte un de ses amis afin qu'il restaure le dossier médical effacé par Reddington sur la clé Usb du Dr Koehler. Elle ne comprend toujours pas pourquoi Liz ne peut pas demander à un de ses collègue du FBI. Mais l'agent refuse car le criminel pourrait avoir vent de leurs recherches et soit leur mettre des bâtons dans les roues soit s'en prendre à elles. C'est alors que le criminel arrive. Jennifer se cache dans le placard . Liz, à contrecoeur, le fait entrer. Il est là parce qu'il a des nouvelles du Corse (the Corsican), Bastien Moreau.
L'agent Keen présente ces nouvelles informations à la Task-Force : le Corse est sur un nouveau boulot et tente de joindre des marchands d'armes. Grâce au véhicule qu'il a volé pour échapper au FBI, l'équipe apprend qu'il se trouve à New-York. A cause de ses antécedents de tueur à gage nationaliste ciblant le mondialisme sous toutes ses formes, Cooper envoit Samar à la recherche de cibles potentielles tandis que Ressler et Keen se rendent à New-York.
Red joint Aaron, un de ses contacts, afin qu'il le renseigne sur Moreau. Il lui apprend qu'il ne connaît pas l'endroit où il se trouve, qu'il ne cherche pas un marchand d'armes et qu'il lui a fourni un nom : Maxwell Ruddiger, vieille connaissance du criminel.
Ressler confronte Liz sur son comportement. Pas une seconde il croit qu'elle est d'accord avec le fait que Reddington a tué un homme, Sutton Ross, alors qu'il était en état d'arrestation et ceci juste pour l'empêcher de parler du squelette.
Albrecht est retouvé mort dans le coffre de sa voiture : c'est un coursier pour le consulat turc et il était en possession d'une valise diplomatique contenant des informations secrètes qui a disparu. Les agents suspectent immédiatement Moreau de ce crime. Ils apprennent que l'homme devait se rendre à une réunion au siège des Nations-Unies. Pire, son badge vient d'y être utilisé.
Red contacte Liz avec une information supplémentaire : le Corse doit déposer une bombe dans le bâtiment de l'ONU et comme elle est dans une valise diplomatique, le contenu ne sera pas vérifié aux points de contrôle. De plus, il ne s'agit pas d'une simple bombe mais d'un engin binaire qui contient assez de nitrate d'ammonium et d'hydrazine pour anéantir l'assemblée générale voir le bâtiment tout entier. Il le sait, parce qu'il arrive avec le constructeur de l'engin, Max Ruddiger, pour désamorcer la bombe. Les lieux doivent être rapidement évacués.
Pendant ce temps, Moreau dépose la valise contenant l'engin explosif à son destinataire et l'enclenche avant de partir tranquillement.
Ressler et Liz la localisent tandis que le bâtiment est totalement évacué, le personnel de sécurité inclus. Pendant ce temps, Aram se branche sur ses caméras vidéos espérant ainsi localiser le Corse.
Sous bonne garde, Red, Dembe et un Ruddiger légèrement éméché arrivent sur les lieux à présent déserts.
Sentant le danger, Bastien Moreau blesse un garde et lui prend son arme. Ressler part à sa poursuite avec l'aide d'Aram. L'homme prend un otage qu'il n'hésite pas à blesser afin de couvrir sa fuite.
Alors que Ruddiger entreprend d'ouvrir la malette, Red de son côté décide d'aller explorer le bâtiment de l'ONU laissant Liz seule avec l'homme et la bombe. Il découvre la salle de l'assemblée générale et décide non seulement de s'y arrêter avec Dembe mais de monter sur l'estrade afin d'y faire un mémorable discours sur Cary Grant et ses trips sous acide.
Ressler rejoint sa collègue : Moreau s'est évaporé. Une manipulation de Ruddiger tourne mal mais après une rasade supplémentaire d'alcool, il se remet au travail.
La bombe désamorcée, Liz rejoint Red qui vient de terminer sa prestation et lui annonce la nouvelle. La police arrive et il doit partir. Elle lui demande auparavant ce que cela fait de sauver des vies et que personne ne le sache. Il lui répond qu'il est un grand fan de la réinvention en citant Cary Grant comme exemple. Garder son vrai soi caché , selon Liz...ou en devenant son vrai soi en prenant une autre identité pour y parvenir, selon Red. Paroles qui laissent la jeune femme pensive.
Le danger maintenant écarté, Red invite Liz à se joindre à Ruddiger, Dembe et lui à la Taverne Red Brau afin de fêter leur victoire. Elle décline.
Au téléphone, Jennifer n'en revient pas des hésitations de Liz qui émet des doutes sur leur plan concernant le concierge du crime, expliquant que cet homme capable du meilleur comme du pire, EST Raymond Reddington. Jennifer la supplie de revoir son opinion et de ne pas la laisser tomber. C'est elle sa famille.
Devant la Taverne, à peine arrivé pour acheter des bretzels, un policier accoste Red. Ses collègues arrivés en renfort le reconnaissent comme l'un des hommes le plus recherché des Etats-Unis. Il est arrêté. Dembe, impuissant, ne peut qu'observer la scène.
Ressler et Liz sont prévenus par Aram. Le criminel est retenu dans un commissariat sur la 27ème. Liz accuse Ressler d'être heureux de cette arrestation mais ne le croit pas capable d'y avoir participé.
Pendant ce temps, Cooper discute avec Panabaker afin de savoir ce qu'il convient de faire pour l'arrestation de Reddington. Sa réponse est claire, c'était prévu dans leur accord : rien. Même les arguments d'Harold et les vies sauvées à l'ONU ne la font pas changer d'avis.
Red au commissariat tente d'acheter un policier, sans succès. A la place de ses aveux, il lui signe un petit autographe accompagné d'une dédicace qu'il pourra vendre sur ebay. Arrive alors Susan Holt, procureur général du district sud, qui prend en charge le criminel au nom du gouvernement fédéral. Elle le menace de suite, lui promettant qu'il ne sera jamais relâché mais jugé, condamné et maintenu dans une prison fédérale jusqu'à son exécution. Le criminel ne se laisse pas impressionner mais elle non plus.
La même femme, Holt, est conviée au Bureau de Poste par Cooper qui décide, malgré les ordres de Panabaker, de tenter quelque chose pour aider le criminel. Il lui apprend que non seulement son équipe ne traque pas Reddington mais au contraire travaille avec lui afin d'arrêter de dangereux criminels et que le gouverneemnt a conclu un accord d'immunité avec lui. Il essaie de la faire changer d'avis en lui montrant leurs affaires résolues mais la femme ne veut rien entendre. En effet, les rumeurs veulent qu'elle brigue le poste de gouverneur (pour commencer) et elle ne va certainement pas bouder le genre de publicité faite par l'arrestation providentielle de Reddington. Elle s'empresse d'aller faire une déclaration à la presse faisant de la condamnation du criminel et son exécution sa priorité.
Liz rend visite à Red au commissariat s'inquiètant de sa situation mais le criminel s'inquiète plus de savoir qui l'a trahi car il est certain que les policiers ont été renseignés. Il lui demande son aide pour trouver le coupable même s'il ne sait pas si, un fois trouvé, il va le tuer. Cela dépend, dit-il.
Sous bonne garde, le criminel est transféré dans une prison fédérale.
Dans l'appartement de Liz, Jennifer rassure sa sœur : il était l'obstacle entre elles et découvrir la vérité. L'arrestation de Reddington doit être célébrée, il n'est plus là pour leur mettre des bâtons dans les roues. Liz, au bord des larmes, est moins certaine que ce soit une bonne chose : il se moque des risques encourus (être jugé, condamné, exécuté), ce qu'il veut c'est uniquement découvrir qui a renseigné la police...et c'est elle...
Résumé proposé par mnoandco