Blacklist - Saison 2 (TF1)

La saison 2 de la série The Blacklist, est diffusée à partir du 26 août 2015 sur TF1. Vous pouvez venir discuter de la discussion française sur ce sujet.

Attention veuillez ne pas spoiler sur les épisodes pas encore diffusés en France ni sur la saison 3.

ça m'avais manqué BlackList, j'avais essayé de suivre la série durant la diffusion américaine, mais vu que j'ai vu la saison 1 sur TF1 donc en français j'avais beaucoup de mal avec la VO, je ne connais pas les voix et c'est difficile pour suivre une série avec beaucoup d'infos en un seul épisode !

Bref, très bon retour de la série je trouve, une enquête sur Berlin, et sur une double personnalité, déjà vu dans les séries policières mais j'aime toujours ce genre d'intrigue.

Bon j'ai toujours des difficultés à comprendre Berlin ^^

L'arrivé de la femme de Redington, plutôt bien de voir du coup Redington prêt à se battre trois fois plus pour la sauver, et du coup faire plus de victimes ...

A suivre l'épisode 2 ;)

J'ai moins accroché avec cet épisode, j'étais peut être pas à fond dedans, mais il manquait un peu d'action.

Même si à la fin on a des réponses, mais toujours autant de questions aussi ! Je vais aller voir maintenant vos avis sur les épisodes 1 et 2 

Bon l'épisode 3 sera en replay pour moi !

Deux impressions après avoir à nouveau regardé les premiers épisodes de cette saison2, d'abord j'ai le sentiment d'avoir vu ces épisodes il y a une éternité......je me suis dit , oui c'est bien e début de la saison 2 que je regarde et non pas la saison 1....

Ensuite le fait de ne pas devoir me consentrer sur les dialogues en anglais m'a permis d'apprécier d'avantage les images, les expressions et surtout la musique accompagnant les différentes scènes ....

ma concentration sera optimale à partir du 208  ;)

Ravie de retrouver la série et cette saison même si je l'ai déjà vue...mais une petite rediffusion en attendant impatiemment la saison 3, c'est très bien pour moi.

J'ai regardé en français car 3 épisodes en anglais même si on connaît l'histoire ça fait beaucoup pour une fin de journée!

L'épisode 1 ne laisse pas beaucoup de répit et nous remet vite dans l'ambiance...avec une nouvelle venue Samar Navabi et le retour de Cooper grâce à Red.

Le 2 nous fait retrouver du grand Reddington : il apprend l'attaque de la banque et vois vite le profit qu'il peut en tirer pour retrouver son ex-femme parce qu'en début d'épisode il est dans l'impasse et perd un peu ses moyens. Heureusement M.Kaplan "Kate" fait partie de ceux qui peuvent "se permettre de le remettre en place"!

L'épisode 3 ne nous donne pas davantage d'information sur la personne qui surveille Liz. Ce que je retiens surtout ce sont les paroles de Ressler à Liz : eh oui, elle  a changé et il n'apprécie pas ce changement. L'introduction de monsieur Vargas, encore un collaborateur "un peu spécial" de Red : celui là a la phobie du sang : j'adore l'idée!

Comme Parenthèse, j'attends surtout les épisodes après le 208 parce que vraiment c'est à partir de là que le meilleur arrive!

L'an passé, NBC dégainait l'une de ses nouveautés les plus puissantes de la décennie : "The Blacklist". Si le succès a été largement au rendez-vous, qualitativement, la série a connu un parcours un peu plus mouvementé, avec un démarrage en fanfare et quelques épisodes d'excellente facture, entrecoupés par des réussites bien plus relatives. Toutefois, cela s'expliquait principalement par le manque d'ambition des scénaristes, et la promesse faite dans le season finale avec l'introduction d'un nouveau fil rouge, via le personnage de Berlin, laissait entrevoir de nouvelles perspectives intéressantes. Et dans l'ensemble, cet épisode confirme avec un joli aboutissement de ce que la fin de saison précédente avait initié.

Pour ouvrir cette deuxième année, nous retrouvons donc Red à l'autre bout du monde, au Cameroun plus précisément, à la recherche de l'un des hommes de main de Berlin : Lord Baltimore. L'épisode du même nom déroule alors une intrigue centrée sur la recherche de celui-ci, qui s'avère finalement être une femme incarnée par Krysten Ritter, et sur les véritables intentions de Berlin. Tout est développé avec une certaine fluidité, offrant une série de moments très amusants et agréables d'une part, à l'instar de la scène d'ouverture, mais aussi quelques focus bienvenus sur le passé du héros campé par James Spader. Si le registre dramatique est peu présent et maladroitement utilisé, tout le reste fonctionne plutôt très bien.

Dans le même temps, les différents agents de l'unité spéciale, Liz et Ressler en premier lieu évidemment, tentent de se remettre tant bien que mal des événements récents, mais souffrent d'un mal-être indéniable. "The Blacklist" reste beaucoup trop classique dans ce qu'elle entreprend, comme lorsqu'elle tente de faire de Ressler un homme tourmenté et accro aux médicaments, mais forcé de reconnaître que pour le moment, tout cela se digère sans véritable problème. Au fond, "Lord Baltimore" utilise astucieusement les 3 personnages majeurs de la série, et aucun d'entre eux n'est totalement mis de côté. Dommage, cependant, de ne pas avoir capitalisé là-dessus pour amorcer une plus grande proximité avec le téléspectateur.

En bref : Reprise satisfaisante pour "The Blacklist", avec une intrigue solide et un divertissement efficace, qui permettent de gommer la superficialité de certains instants.
Note : 7/10

Si le season premiere avait réussi à équilibrer plutôt adroitement le développement de l'ensemble des personnages importants de la série, ce second volet de la saison ne réitère malheureusement pas l'expérience en tous points. "La banque" pâtit en effet d'un creux important causé par l'intrigue centrée sur Red. Ce dernier poursuit les recherches pour faire tomber Berlin et récupérer son ex-épouse, dont il reçoit à nouveau des petits morceaux. Ragoûtant n'est-ce pas ? Néanmoins, le fil rouge initié en fin de saison 1 et positivement utilisé dans l'opus précédent voit ici son potentiel fondre comme neige au soleil, avec des enjeux très limités, et des scènes qui ne sont pas de franches réussites (y compris l'échange entre Red et Berlin).

Tout ceci casse ainsi pour partie le rythme, d'autant que la bonne humeur qui ressortait jusqu'alors du charisme de James Spader semble s'être envolée. L'acteur est bien évidemment toujours à la hauteur, mais "The Blacklist" l'englue dans un jeu qui ne le laisse pas beaucoup s'exprimer. Outre Red, cet épisode est également l'occasion de s'intéresser à nouveau à Ressler, et à ses soucis psychologiques et d'addiction qui commencent à apparaître au grand jour. Sur ce point, la série mène sa barque de bien meilleure manière, s'emparant entre autres de la complicité naissante entre ce dernier et Liz pour s'engager sur le terrain émotionnel (bien que ce soit sur la pointe des pieds), et pour creuser davantage le héros interprété par Diego Klattenhoff.

Enfin, concernant son cas de la semaine, "La banque" se penche sur le braquage d'une banque varsovienne, qui se révèle être à la tête d'un réseau de blanchiment d'argent pour de nombreux criminels, accessoirement ennemis de Red. En exceptant le petit numéro de cette femme à la mémoire eidétique, qui ne fait pas du tout son effet compte-tenu du filon exploité par "Unforgettable" depuis plusieurs années (et avec une mise en avant nettement supérieure), le déroulé de l'enquête est solide, mêlant FBI, Mossad et agents corrompus avec une certaine justesse dans le propos. Je trouve finalement dommage d'y avoir associé Berlin, dans la mesure où il s'agit sans doute du principal boulet de l'histoire.

En bref : Raymond Reddington serait-il sur le point de se faire voler la vedette par les deux agents du FBI ? Un épisode moyen, avant tout en raison de son irrégularité.
Note : 5/10

Je crois que nous sommes en train de perdre "The Blacklist". Nous n'en sommes en effet qu'au troisième opus de la saison, mais j'ai le sentiment que le season premiere, très encourageant, est loin derrière nous, et que la série se trouve désormais en pleine tempête. A l'image de ce que l'épisode précédent laissait entrevoir, les scénaristes donnent notamment l'impression qu'ils ne savent plus du tout quoi faire avec leur personnage central, Red. Ce dernier est toujours obnubilé par l'enlèvement de son épouse perpétré par Berlin, et débute ainsi une traque de ses associés, persuadé que certains l'ont trahi pour son ennemi.

L'intrigue en elle-même n'est pas forcément une mauvaise idée, mais elle est surtout très mal menée,  enchaînant les scènes ronronnantes et beaucoup trop lentes sans que cela ne soit réellement passionnant. Le problème, c'est que "The Blacklist" fait tout pour s'inscrire dans la lignée des thrillers efficaces qui développent les histoires de ce type avec brio ("Person of Interest" en tête), mais qu'elle n'en a pas du tout le calibre, au-delà de l'excellence de son acteur principal. En outre, "Dr James Covington" reste plombée par une ambiance trop sobre et indécise, ni sombre ni véritablement légère, en dehors de la claque de Naomi à Red, assez jouissive.

De son côté, Liz est perturbée par les secrets que peut lui cacher Red, allant jusqu'à agresser un voisin de chambre qui, comme le révèle le cliffhanger, pourrait bien être plus qu'un simple inconnu croisé par hasard sur le parking. Cet arc scénaristique, si discrèt soit-il, est relativement convaincant, bien soutenu par la présence de Ressler et Navabi qui restent de bons éléments. Quant au cas de la semaine, "Dr James Covington" est malheureusement particulièrement faible, marqué par quelques facilités grotesques et surtout à mille lieux de l'originalité que l'on est en droit d'attendre d'une telle série. Le récit est cependant en partie sauvé par un thème général pas totalement dénué d'intérêt. Il est en réalité mal exploité, tout simplement.

En bref : Particulièrement pompeux.
Note : 4/10

Merci tibo18 pour tes appréciations sur ce début de saison certes prometteur et puis ...pschittt...nous sommes beaucoup à avoir le même ressenti que toi et se ressenti va persister malheureusement : de TRES bons épisodes et des moins bons!

MAIS, le meilleur reste VRAIMENT à venir et j'écris ceci afin que certains ou certaines ne cessent pas leur visionnage de la saison, ce serai dommage : elle va crescendo (surtout en deuxième parti) et fini en apothéose...

J'ai beaucoup aimé ce retour de la série. Red est vraiment en forme et manipule à lui seul tout le reste de la série. Tout les blacklisté qu'il dénonce, il le fait dans son interêt.

Je suis d'accord sur le fait que la guerre avec Berlin, manque pour le moment d'intensité mais bon on  va voir avec la suite.  

Le personnage de Naomi a beaucoup de potentiel et j'ai hâte de la revoir. 

Concernant Liz, comme le dit Ressler, elle a beaucoup changé. Je crois qu'elle se méfie plus de Red et franchit plus souvent les limites.

Concernant Ressler, c'est sûr l'addiction aux médicaments est souvent vue dans les séries mais là les conséquences se voient rapidement et Liz se doute de quelque chose.

Personnellement j'aime bien le personnage de Samar, elle a beaucoup de potentiel. Dommage que l'équipe ne soit pas plus affectée par la mort de Meera. 

Bref un bon retour qui lance pas mal de pistes, mais je suis aussi un peu sceptique sur Berlin (son personnage et l'acteur).

Il est vrai que l'épisode 3 est un peu plus mou, mais les deux premiers sont comme même pas mal , et James Spader comme Red sont toujours à la hauteur.

Comme dans toute série, il y a des épisodes qui sont très bons et moins bons, j'étais fan de la série House avant Blacklist et c'était pareil, il y avait même des saisons entières qui étaient moins bien, ce qui n'est pas le cas avec Blacklist pour l'instant.

Franchement j'ai adoré la première saison, encore plus la deuxième avec un James Spader au sommet de son art comme Red!

Ce que je retiens du premier épisode c'est principalement l'histoire que Liz raconte à Creel, histoire qui ressemble fortement à la sienne et celle de ses parents...et puis ce qu'elle raconte à propos de son mari : alors comme ça, elle l'enfermerait et l'enchaînerait! là, elle m'inqiète! Naomie, on n'en apprend pas beaucoup de sa vie avec Red mais elle semble connaître la vérité sur Liz. Quant à Red avec son actuel mari je me dis qu'il doit encore tenir à elle pour ne pas le tuer sachant qu'il la trompe! Ca y est, on a un visage sur celui qui suit Liz et c'est plutôt un ange-gardien.

Le deuxième épisode nous offre du grand Red : encore une fois il arrive avant le FBI tout ça pour récupérer l'antidote MAIS SURTOUT une bien mystérieuse clé. Pauvre Aram il est vraiment tétanisé lorsque Red lui demande "un service"...maintenant si on se souvient de l'épisode 11 saison 1, cela se comprend. Liz jalouse parce qu'elle croit que Red recherche sa fille : ben oui, elle n'a plus l'exclusivité! Après monsieur Vargas, voilà Glenn des immatriculations, un autre drôle d'accolyte de Red : je l'aime déjà beaucoup, il arrive à mettre Reddington hors de lui, cela mérite d'être souligné.

Ah, voilà une famille très flippante, digne "d'Esprit Criminel". L'addiction de Ressler aux médicaments, bof en ce qui me concerne. Liz a vraiment changé : là elle envoi volontairement un homme en prison : celui chargé par Red de la protéger...et Red, pas content mais sans plus...Rrrrr...Bref le meilleur pour la fin,  l'histoire de Dembé, sa rencontre avec Raymond et surtout on se rend bien compte de l'attachement de Red pour lui.

Petit à petit au fil des épisodes quelques réponses sont données mais surtout encore beaucoup de questions : comme l'a expliqué Spader dans une interview, la série est un puzzle...il faut être patient pour avoir toutes les pièces et les placer.

Ces épisodes sont bons  MAIS  je sais déjà que le meilleur est encore à venir! et on est beaucoup à être de cet avis.

Je ne reviens pas sur ce qu'à dit Mnoandco puisque je suis majoritairement de son avis mais plutôt sur cette dernière phrase, en effet , nous qui avons déjà vu la série, on sait que le meilleur reste à venir, mais mintenenant que je revisionne les épisodes , je me dis que le déroulement de ma série est très lent , certainement trop lent pour la plupart des gens .

Si on enlève les infos que nous venons d'obtenir sur Dembé , le série est plutôt répétitive ( Red donne le nom d'une personne ou d'un groupe, le FBI se met à la recherche, trouve ou ne trouve pas , sinon Red intervient à nouveau et l'affaire est bouclée...) Les doses homéopathiques pour le lien REd/Liz ne peuvent suffirent à capter le public .

j'ai peur que certains abandonnent avant de voir la seconde partie de la série bien plus captivante ....

L'addiction de Ressler n'est pas assez exploitée , c'est dommage cela donnerait plus d'importance au personnage pendant quelque épisodes , car on sait qu'ensuite il sera un peu transparent.

Ceci pour expliquer les audiences moyennes de cette saison , pour ne pas dire plutôt mauvaises.....

J'espère avoir été clair.

On ne peut plus claire : c'est pour cela et tu le remarqueras lorsque je re-commente cette saison J'INSISTE sur le fait que le meilleur est à venir histoire de booster les mitigés, les sceptiques, les zappeurs... VRAIMENT il faut regarder la saison jusqu'au bout car de très bons (voir excellents) épisodes restent à venir.

Sinon tout à fait d'accord avec les remarques de parenthese.

...et puis, il faut le dire, un épisode par semaine cela passe mieux car effectivement si l'épisode est plus lent, ça passe inaperçu...que 3 d'affilés c'est beaucoup (trop) .

C'est vrai que le meilleur reste à venir! je pense que lorsqu'ils vont diffuser plus que deux épiosodes les audiences seront meilleures.

parce que là ,d'après les échos que j'ai, beaucoup de téléspectateurs abandonnent au bout du 2 épisodes pour le revisionner en replay avec le troisième épisode.

La saison dernière c'était un des séries les plus regardées en replay , avec leur connerie de diffuser 3 épisodes, les gens bossent des fois qu'ils le seraient pas!

Vous avez raison en parlant du nombres d'épisodes, mais si on aime la série , le replay sert à cela.....j'ai beaucoup plus peur de la désaffection des gens pour la série car les 7 premiers épisodes sont dans la lignée de la saison 1 , donc pour ce qui est de mon entourage, ils ne pensent pas que la série s'est renouvellée .

.C'est ce qui c'est passé avec Person of interest...2 saisons quasi identiques et enfin une direction nouvelle est passionnante à partir de la 3  jusqu'à la 4 mais la 5ème sera écourtée...J'en connais qui se sont arrêtés à la saison 2 et quoique je dise ne veulent pas reprendre .

Blacklist va trouver un nouveau souffle à partir du 208, mais il faut tenir le spectateur jusque là et avec ce que je viens de revoir ..pas sûre qu'ils soient au rendez vous..les audiences le confirment .

Cette semaine, la déception s'efface quelque peu dans "The Blacklist". L'enchaînement de deux épisodes très moyens et en partie ratés est ainsi légèrement atténué par ce quatrième volet de la saison, plus satisfaisant dans l'ensemble. Cela s'explique principalement par l'orientation prise par la série, qui propose un cas de la semaine assez original par rapport à ses habitudes dans sa façon de le présenter et d'organiser son développement et sa résolution. L'équipe menée par Liz et Ressler se voient ainsi mis sur la piste d'un homme qui teste de nouvelles expériences psychologiques sur ses patients, afin de les inciter à tuer sans véritable mobile apparent.

Le pitch n'est pas forcément ce que "The Blacklist" a pu faire de plus inspiré, mais le résultat est relativement réussi en raison de son exécution calme mais maîtrisée. Les quelques rebondissements qui rythment le récit sont efficaces, et la couverture adoptée par Liz pour stopper le coupable permet de rompre la routine installée depuis un certain temps maintenant. Il faut dire aussi que la dynamique entre Liz et Ressler, dont le rapprochement (amical pour le moment) est définitivement entériné, participe également positivement au côté agréable de la résolution de l'enquête, surtout lorsque Liz se retrouve en danger.

Parallèlement, Reddington et Naomi se retrouvent en face-à-face, conséquence directe du cliffhanger de l'opus précédent. Cette parte-ci de "Dr. Linus Creel" est une nouvelle fois bien moins convaincante que l'arc scénaristique développé au FBI, bien que l'échange en lui-même entre les deux ex-époux soit de bonne facture. C'est plutôt l'ensemble du reste de l'histoire qui manque cruellement de légèreté, d'émotions et même d'intérêt, d'autant qu'on ne perçoit toujours pas où les scénaristes veulent aller avec Red. Je reste persuadé que James Spader est très largement sous-exploité en ce début de saison, sur le plan narratif.

En bref : En se démarquant de la mécanique habituelle, "The Blacklist" progresse qualitativement, malgré le rôle toujours très flou de Reddington.
Note : 6.5/10

Et c'est donc reparti pour un petit tour. L'épisode précédent laissait un bel espoir quant à un retour sur les bons rails de "The Blacklist", mais avec celui-ci, la série replonge dans ce qu'elle peut proposer de plus lancinant et de moins intelligent. Cette semaine, l'équipe de Liz est envoyée sur la piste d'un groupuscule terroriste souhaitant infecter la population avec le virus de la peste, dont une souche a été cachée il y a plusieurs centaines d'années à l'autre bout du monde. Il faut tout d'abord reconnaître aux scénaristes une belle idée de base, et une certaine aisance à imbriquer les différents éléments de l'intrigue sans grand temps mort.

Le problème, au-delà de ces points positifs, c'est que l'intrigue en elle-même, de par son contenu plus fouillé, n'a tout simplement pas de direction, pas de véritable objectif, et pâtit de quelques incohérences hallucinantes. Je pense entre autres à l'instant où Liz se décide à rentrer dans la pièce dans laquelle Samar est infectée par le virus, afin de la sauver. Je veux bien que Liz soit une bonne pâte, qu'elle soit une héroïne capable de tout pour sauver le monde, mais lorsque la série développe en parallèle sa détermination à avoir des réponses sur tout un tas de choses, la rendre comme quelqu'un capable de mourir volontairement n'est pas réellement pertinent.

C'est un peu la même chose au rayon des émotions, où "La faction" déçoit très nettement. La mise en danger de Liz aurait au moins pu provoquer une large vague d'inquiétude auprès de Ressler d'une part, et de Reddington d'autre part, mais il n'en est rien. En tout cas, le téléspectateur n'est jamais touché, jamais ému. C'est tout de même assez terrible, et une nouvelle preuve que cet épisode est particulièrement mal travaillé. Quant à l'arc narratif autour de Reddington et de la surveillance de Liz, il n'est pas complètement à jeter grâce à quelques scènes plutôt sympathiques et funs (le strip-tease du sosie de Liz entre autres), mais on serait là encore en droit d'en avoir bien plus.

En bref : Médiocre et très peu réfléchi en dehors de la trame de départ.
Note : 3.5/10

Quel ennui ! Alors que l'épisode précédent n'était déjà pas un modèle de réussite, "Le cartel de Mombasa" parvient à réaliser l'exploit de faire encore pire avec son cas de la semaine. Il fallait pourtant y arriver, mais "The Blacklist" l'a bel et bien fait. Dans ce sixième volet de la saison, nous avons donc droit à une intrigue relatant l'histoire d'un cartel ayant décimé toute une famille il y a plusieurs dizaines d'années, et dont les membres sont aujourd'hui retrouvés assassinés et mutilés. Les différents personnages se baladent un peu partout, dans le passé comme dans le présent, et de la Sierra Leone à Paris en passant par le fin fond de la forêt, mais tout ceci ne suffit pas à masquer les erreurs, outre des décors au réalisme parfois douteux.

Cet épisode est en effet tout simplement vide, en dépit de ses intentions. Les flashbacks permettant de justifier certains pans de l'histoire sont de trop, l'implication de Reddington dans le combat contre le cartel assez ridicule, les guests particulièrement clichés et très peu développés (le cri de la mère au moment de l'arrestation est hilarant tant la série est pitoyable à cet instant), le rythme d'une lenteur incroyable... Il faut alors attendre la dernière partie du récit, lors du kidnapping de Ressler, pour que "The Blacklist" nous réveille et nous offre quelque chose d'un peu plus efficace, sans être brillant pour autant. Diego Klattenhoff est en tout cas le seul véritable atout au milieu d'une foule d'éléments scénaristiques sans saveurs et  affreusement amenés.

Seulement voilà, après s'être infligé toute cette intrigue daubesque, "The Blacklist" révèle avoir conservé une grosse cartouche dans son escarcelle : le retour de Tom. Un twist forcément particulièrement inattendu, et qui a le mérite d'être un choc d'envergure pour le téléspectateur. En saison 1, Tom s'était pourtant avéré pénible et ronronnant vers la fin de l'histoire lui étant consacrée, la série ayant largement fait traîner les choses en longueur. Mais le fait que ce personnage ne soit pas mort est tout de même jouissif et extrêmement prometteur, sous réserve que la série sache quoi faire de ce retournement de situation. En tout cas, ceci est assez osé, et provoque un cliffhanger qui sauve l'épisode du naufrage quasi-intégral.

En bref : 3 minutes de Ressler et 30 secondes de Tom, noyés dans 40 minutes de marasme. Faible rendement...
Note : 2.5/10

Je suis d'accord ces épisodes sont un peu faibles et lents... Il y a beaucoup de potentiel mais ça sent l'inachevé surtout l'épisode avec la peste...

On ne se sent pas stressé pour l'avenir de Liz, et les autres personnages non plus ! Ils auraient quand même être plus inquiets (nous on sait qu'elle va s'en tirer mais pas eux!). Idem pour l'enlèvement de Ressler qui a été baclé.

Mais il y  a aussi du bon dans ces épisodes : la présence de Tom. Liz qui devient de plus en plus bad ass, cette Zoe, l'addiction de Ressler, des élements sur Dembe, de nouveaux associés de Red, Red lui même, la doublure de Liz et le strip-tease... et de sacrés psychopathes...

Donc on peut dire que la série pêche surtout par le développement des relations et des personnages principaux...

Vivement le 2x08 alors :) 

je reposte le message de @parenthese "Si on enlève les infos que nous venons d'obtenir sur Dembé , le série est plutôt répétitive ( Red donne le nom d'une personne ou d'un groupe, le FBI se met à la recherche, trouve ou ne trouve pas , sinon Red intervient à nouveau et l'affaire est bouclée...) Les doses homéopathiques pour le lien REd/Liz ne peuvent suffirent à capter le public ."

J'en suis la preuve vivante, j'ai déjà abandonné la diffusion de TF1, la série est trop répétitive, mais j'ai envie de m'y accrocher vu vos arguments sur la deuxième partie de saison. Je vais essayer de m'accrocher ..

Bon il m'a fallut une soirée pour retrouver mon engouement BLACKLIST, enfin des épisodes plus intéressant, surtout le deuxième de la soirée (désolé j'ai pas retenur le numéro de l'épisode je ne sais plus où on était :/ )

Liz a beaucoup changé et ça me plais énormement ! Bon par contre, je ne sais pas vous mais je trouve qu'ils sont souvent en danger toute l'équipe, et qu'ils s'en sortent tous à chaque fois. Bon à mon vis ça ne va pas être pareil avec le prochain épisode ^^. Mais je trouve que c'est trop répétitif les enlèvements, les blessures, les accidents de voitures ... dommage

J'aime toujours autant Red, et quand il a perdu la trace de Liz dans la prison, il était prêt à tout pour elle ! J'ai adoré. Et j'ai bien l'impression qu'il c'est fait arrêter pour que Liz rencontre l'homme qui a détruit sa vie !

Bref contente de ne pas avoir abandonné, et j'ai hâte de voir l'épisode suivant quand même

Comme beaucoup de membres de ce quartier , je revisionne en Français les épisodes , et voilà j'ai trouvé le nerf de la guerre .

Autant les 2 ou 3 premiers , je me suis laissée allée dans le mouvement autant hier soir , je n'ai  pas réussi à finir le 208 et je n'ai pas regardé le 209 ...je ne supporte plus les voix françaises...La colère le Liz face à Tom manque de punch avec cette voix, idem pour mon Tom au début du 208.....si bien que je me suis déconnectée de TF1 au milieu du 208 pour reprendre la suite de l'épisode en anglais ...

@ Manon, certes, j'avais déploré également il y a quelques mois que toutes les situations impliquant un blacklisté soient réglées en un épisode.Je pense que certains cas auraient mérités plus de développement et d'approfondissement....c'est ce qui donne cette impression de répétition des situations et qui peut lasser à la longue ...

J'attends les audiences, et Je regarderai le 209 en VO.

Pas le courage de regarder un soir trois épisodes d'affilés en VO : quel dommage! Un petit goût amer malgré de meilleurs épisodes pour cette semaine : les voix françaises expriment moins bien les intonations, les sentiments, elles sont plus "fadasses", c'est vrai.

Meilleur cru pour des épisodes plus intéressants. Le 208 est vraiment un tournant de la saison avec la mort de Fitch et on pourra en voir certainement les conséquences plus tard. Le début de saison a certes été lent mais cela a été pour mieux mettre en place 2/3 pièces du puzzle qui rejailliront plus tard. J'ai revu le 209 avec un grand plaisir et attend la suite avec impatience : comme il n'y a plus que 2 épisodes par soirée, ça sera en Vo.

Je suis ravie d'entendre que nos conseils de "patience" à Parenthèse et moi aient porté leurs fruits et que certains/certaines ont poursuivis leur visionnage malgré quelques rétissances.

A l'instar de ce qu'avait proposé le quatrième opus de la saison, "The Blacklist" tente ici une approche et une dynamique quelque peu différentes pour développer son cas de la semaine, et forcé de constater qu'une fois encore, le résultat est clairement bien plus satisfaisant que les deux horribles enquêtes précédentes. Cette fois, Liz et Ressler sont à la recherche du Cimeterre, un tueur à gages employé par le gouvernement iranien pour se venger du meurtre de l'un de leurs principaux scientifiques, chargé de travailler sur le programme nucléaire du pays, ayant été éliminé par le Mossad et la CIA.

Dans l'ensemble, malgré un manque de second degré évident et dérangeant par moments (il faudrait vraiment que la série parvienne à nuancer son arc scénaristique plus sombre par quelques incartades sur le terrain de l'humour), l'intrigue est parfaitement bien menée, avec une trame de base relativement solide, une écriture très correcte et surtout beaucoup d'action. Qu'il s'agisse de l'accident de voiture du duo, du piège tendu à l'hôpital ou encore de la fusillade qui intervient en fin d'épisode, "The Blacklist" enchaîne les scènes rythmées avec efficacité, ce qui manque tout de même souvent cruellement depuis le début de la saison.

En outre, "Le Cimeterre" profite de son intrigue policière pour poursuivre l'arc narratif secondaire sur l'addiction de Ressler, discrètement mais astucieusement, mais s'intéresse également en parallèle à ce qui a titillé le téléspectateur lors du cliffhanger de l'épisode précédent : le retour de Tom. On découvre donc que Liz a enfermé son mari dans cette planque afin de lui tirer les vers du nez sur Berlin, et qu'elle est prête à tout, ou presque, pour obtenir les réponses qu'elle attend. J'aime beaucoup la manière dont la série fait évoluer son principal personnage féminin, d'autant plus qu'une fois n'est pas coutume, grâce au face-à-face final avec Berlin, Red n'est pas non plus totalement éclipsé. Une bonne chose.

En bref : Une nouvelle fois, c'est en allant sur un autre terrain que "The Blacklist" s'en sort le mieux.
Note : 7/10

A l'issue du visionnage de cet épisode, j'ai tout de même eu un sentiment d'inachevé, ou plutôt, de frustration assez marqué. Pourtant, tout a été conçu pour que "Le Décembriste" soit bourré de révélations et de twists en tout genre, et qu'il accroche ainsi le téléspectateur de bout en bout. La série développe ainsi en parallèle un duo entre Liz et Tom, un autre entre Red et Berlin, une enquête menée par le FBI... et une multitude de ramifications entre tous ces éléments. Le problème, c'est que si les personnages trouvent leur place et que la mythologie générale en sort renforcée, notamment grâce au flashback, l'écriture n'est de son côté pas très soignée.

Plombée par des rebondissements qui n'ont parfois rien de surprenant, et de multiples passages lancinants et avec un méchant air de déjà-vu, l'histoire ne s'accélère pas nécessairement et souffre de longueurs qui imposent à l'épisode une vitesse de croisière bien trop médiocre, par rapport à l'opus précédent par exemple. Au fond, "Le Décembriste" part de très bonnes intentions, mais ne réussit pas à transformer l'essai en se contentant du strict minimum, et en se laissant guider sans véritablement innover ni apporter le moindre sursaut. Même chose au rayon humoristique, exception faite de l'explosion de Fitch sur la vitre devant Reddington, terriblement drôle.

En contrepartie, "The Blacklist" se rattrape donc sensiblement lorsqu'il s'agit de faire bouger les lignes et d'explorer ses différents protagonistes, même si Ressler reste lui particulièrement discret cette semaine, en dehors d'un échange en voiture avec Liz malheureusement rapidement destiné aux oubliettes. A l'inverse, entre ses rencontres avec Fitch et Berlin, son deal avec Tom ou encore sa protection envers Liz, Red est la véritable star de l'épisode, ce qui n'était pas arrivé depuis un bon moment et qui s'avère honnêtement très appréciable. Le duo Liz/Tom est lui plus conventionnel et un peu fade (Ressler est bien plus captivant que Tom aux côtés de Liz), mais fonctionne malgré tout convenablement et trouve surtout sa place sans souci.

En bref : Beaucoup d'agitation pour un tempo finalement bien plus lent que possible. Un épisode correct mais la déception est de mise.
Note : 5.5/10

Voilà donc le fameux épisode événementiel de "The Blacklist", celui dont tout le monde a parlé, non pas en raison de son contenu mais plutôt de sa programmation : celle dans la case prestigieuse du post-SuperBowl. NBC se devait entre autres de donner envie aux millions de curieux de revenir pour découvrir la suite de son thriller, et dans l'ensemble, il faut bien avouer que cette première partie de "Luther Braxton" n'est pas aussi honteuse que le niveau global de la saison, bien que d'importants défauts subsistent. Après avoir refermé l'arc scénaristique autour de Berlin, la série s'est donc décidée à introduire un nouvel ennemi de Reddington : Luther Braxton.

Ce dernier, détenu dans une prison secrète de la CIA située au beau milieu de l'océan, planifie une immense opération de l'intérieur afin de s'emparer du Fulcrum, un fichier dont tout criminel rêve et qui est censé être dans les mains de Red. Grâce au déroulement d'une majeure partie de son histoire à huis-clos (ce qui dénote quelque peu par rapport aux habitudes), ou encore aux nombreuses scènes d'action et parfois bad-ass, à l'instar de Red qui débarque avec son fusil à pompe dans la cour de la prison, qui donnent énormément de rythme à l'épisode, "The Blacklist" réussit le défi de ne pas ennuyer le téléspectateur et de maintenir une certaine dose de suspense.

Dernier atout de choix : la présence de Ron Perlman, exilé de "Sons of Anarchy", qui livre une prestation d'une justesse incroyable et avec un charisme fou. Cela étant, tout est loin d'être parfait dans cet épisode introductif à la nouvelle case horaire de la série. En s'efforçant de ne pas perdre la bonne cadence dans le déroulé du récit et des péripéties pénitentiaires, "The Blacklist" devient plus brouillonne et confuse que complexe. En outre, le terrain dramatique est quasiment abandonné, y compris lors de la mise en danger des agents, très peu exploitée sur le plan émotionnel. Je pense entre autres à Ressler, totalement laissé de côté depuis peu. Un constat bien triste.

En bref : Incontestablement, la vitesse de croisière adoptée par cette première partie est convaincante... aux dépens de certains aspects malheureusement sacrifiés pour tout ou partie.
Note : 6/10

Si la première partie de ce double épisode était principalement destinée à dynamiter le quotidien de Red et de la petite équipe de Liz, à travers de multiples scènes d'action et l'introduction du personnage de Luther Braxton, cette seconde moitié de récit prend davantage son temps et s'affaire à développer plus en profondeur la mythologie générale de la série. C'est ainsi, notamment, que "The Blacklist" lève enfin le voile sur le fameux incendie qui a ravagé la maison de Liz : Red était bien présent lors du drame, et a laissé périr les parents de sa petite protégée, son seul but étant de récupérer le fameux Fulcrum.

La conclusion de "Luther Braxton" permet donc de répondre à l'une des principales interrogations qui plane sur les deux personnages principaux depuis les débuts de la série, à savoir le lien qui les unit. Cela se fait à l'issue d'un enchaînement de scènes plus posées, l'épisode délaissant le côté bourrin et incisif du précédent (sans pour autant manquer de rythme, et distillant malgré tout toujours quelques petites répliques piquantes dans les dialogues de Red) au profit d'un style narratif plus creusé et aux émotions plus marquées. "The Blacklist" apparaît de cette manière un peu plus mature, et c'est naturellement une excellente chose.

Cependant, bien que la consistance du travail effectué soit importante, la série fait face à un problème de taille : son inspiration très limitée, et le report systématique de ses maigres révélations. Franchement, y avait-il besoin d'attendre une saison et demie avant de nous dévoiler un fait d'une telle envergure ? Car si tout cela agrémente positivement la trame globale de la série, l'inventivité n'est pas folle et l'effet de surprise escompté tombe à plat, ni plus ni moins. Et j'ai bien peur que le cliffhanger autour de cette découverte de Liz dans son ours en peluche nous balade là encore pendant des lustres...

En bref : Il était temps que les choses avancent. Un épisode satisfaisant et nécessaire, qui arrive sans doute un peu trop tard. Reste à voir comment "The Blacklist" va exploiter ses nouvelles portes ouvertes.
Note : 6.5/10

Ces derniers temps, sans bien sûr atteindre l'excellence, "The Blacklist" a su se refaire, en allant sur des chemins jusqu'ici peu explorés et en construisant de nouvelles fondations potentiellement intéressantes pour la suite. Mais c'était sans compter sur ce onzième volet de la saison, qui n'est qu'une vulgaire redite de l'épisode 2.06 et détruit d'un seul coup tous les efforts consentis, ou presque. Le principal souci de cette série, c'est qu'elle est déterminée à nous balancer au premier plan de façon incessante des cas de la semaine d'une vacuité monumentale, là où elle gagnerait bien davantage à limiter leur impact.

La période Braxton étant désormais refermée, Reddington conduit le FBI sur une nouvelle piste parmi les nombreux criminels de sa liste noire : celle de Ruslan Denisov, un ancien associé situé en Ouzbékistan, à l'origine d'une prise d'otages afin de faire pression sur les Etats-Unis pour le remplacement d'un oléoduc défaillant et empoisonnant de multiples civils locaux. Malheureusement, l'intrigue se perd beaucoup trop rapidement dans un récit pompeux et terriblement banal, se prenant par ailleurs au sérieux sans que cela ne soit très crédible ni palpitant.

Même du côté de Red, il ne se passe strictement rien, tant Denisov se révèle inutile et non-pertinent pour le développement du héros campé par James Spader. Fort heureusement, comme dans le 2.06, l'épisode est sauvé par une histoire secondaire occupant une place minuscule mais apportant énormément de positif, et d'enjeux pour la suite de la saison. Liz se retrouve ainsi dans une position délicate lorsqu'une enquête sur la mort de l'homme tué par Tom fait surface et remonte jusqu'à elle, si bien que celle-ci se confie... à Ressler. Entre l'issue de l'affaire et la reformation du duo entre Liz et Ressler, "The Blacklist" s'engage dans une direction tout à fait réjouissante... mais ne s'agirait-il pas là d'un énième pétard mouillé ?

En bref : Here we go again...
Note : 2.5/10