La Task-Force est aux arrêts, exceptée Liz. McMahon, au téléphone, affirme au président que tout est sous contrôle mais il n'est pas du tout de cet avis. Pour elle, l'équipe et Reddington feront les coupables idéaux mais elle veut s'assurer que Diaz veut poursuivre son plan. Sa réponse est claire : oui, un seul coup mortel.
A la Maison Blanche, celui-ci retrouve son épouse : il lui promet qu'au débat du lendemain il révélera un secret qui les hantent mais que cela choquera le monde. La première dame dit s'en moquer : c'est la meilleure chose à faire.
McMahon sait que Liz se trouve dans le Bureau de Poste : elle propose à Cooper d'être clémente avec lui s'il la lui livre. Toutes les preuves sont contre eux : ils travaillent avec Reddington sur un coup d'Etat et la clé, la seule preuve du contraire, est en sa possession. Il refuse, il ira en prison avec son équipe et lui souhaite bonne chance.
Pendant ce temps, Liz joint Red au téléphone et lui explique la situation. Elle refuse d'abandonner ses collègues et de fuir comme il le lui suggère : elle a un plan et a besoin de son aide mais aussi de celle de Tadashi, le petit génie en informatique, et de Ruddiger le fabriquant de bombe. Dans ce but, Red le rencontre avec son équipe qui s'avère être The Shadow Five, des braqueurs réputés connus pour pouvoir transpercer le béton et l'acier.
Liz contacte Tadashi qui s'inquiète de manquer son bal de promo mais l'agent lui explique que, plus tard, il pourra raconter avoir aidé à déjouer un complot impliquant le président des Etats-Unis. Elle a trouvé le système de contrôle des portes et lui doit la guider à distance pour lui dire quels fils tirer afin d'ouvrir les pièces où ses collègues sont retenus prisonniers ainsi que toutes les portes qui peuvent les aider à fuir.
Ressler, Aram et Cooper se retrouvent donc libres, menés tous au même endroit. Liz déclenche alors le système d'alarme et leur évasion est découverte : ils sont tous arrêtés à nouveau et conduits cette fois ci en lieu plus sûr : le boîte. Mais cela fait partie du plan de Liz.
Red arrive à l'extérieur avec l'équipe de Ruddiger.
Liz entre en contact avec Aram et les autres dans la boîte en contournant le relais du moniteur : personne d'autre ne peut les entendre. Elle lui demande son aide qui, couplée avec celle de Tadashi, va leur permettre de prendre à distance le contrôle du flux vidéo afin que les moniteurs de la salle de contrôle diffusent les mêmes données en boucle. Ceci fait, Red peut entrer tranquillement et ses hommes se mettent au travail sans être vus tandis que lui-même est guidé par Tadashi pour retrouver Liz qui l'attend.
Tadashi remet le flux en route : au centre de contrôle, les hommes de McMahon voient les hommes de Red au travail dans une salle et s'y rendent rapidement. Mais c'est un leurre : arrivés sur place, ils sont déjà partis. La diversion a bien fonctionné et pendant ce temps, Cooper, Ressler et Aram ont été libérés par Red et Liz puis remplacés par leurs geôliers.
Dans une planque de Red, autour d'un bon repas, l'équipe fomente un plan. Ils sont tous activement recherchés par les forces de l'ordre. Ils doivent à présent réussir à empêcher un assassinat lors du débat présidentiel hautement surveillé qui aura lieu à l'Université de Fillmont et ceci sans être repérés. Red charge Vontae Jones et ses amis de faire du grabuge à l'extérieur des locaux afin de faire diversion tandis que Ressler et Liz se faufileront dans le bâtiment. Aram piratera les vidéos de surveillance à partir du syndicat des étudiants situé juste à côté.
Liz profite de l'occasion pour annoncer à tous que Agnes revient vivre avec elle. Toute l'équipe est très heureuse pour elle.
Red demande à parler à Ressler en tête à tête. Il le questionne sur sa rencontre avec les russes. L'agent confirme avoir été surveillé lorsqu'il enquêtait sur Katarina Rostova et que ceux-ci semblaient bien décidés à découvrir ce qu'il avait appris. Ils étaient partis dans un véhicule avec des plaques diplomatiques. Le criminel s'assure également que Ressler ne divulguera rien de ce que Liz lui a appris sur lui.
Liz rejoint Red. De tout le groupe, il est le seul sans tâche à accomplir. Il lui apprend qu'il a un rendez-vous plus important. La femme est étonnée : que peut-il y avoir de plus important que de sauver la vie du président ? Il répond s'en moquer et ne chercher qu'à s'assurer qu'elle retrouve son ancien boulot.
Le moment du débat venu, toute l'équipe est en place. Aram remarque immédiatement une caméra hors service, une pièce avec une vue directe sur la scène où se produit à l'instant même le président. Ressler et Liz s'y précipitent. Le tueur doit s'y trouver.
Pendant ce temps, Red rencontre un homme inconnu, «the Stranger», l'étranger, sur un banc. Le criminel lui explique que le consulat est en alerte ce qui n'a pas l'air d'inquiéter son compagnon jusqu'à ce qu'il apprenne que Moscou est activement à la recherche de Katarina, l'enquête de Ressler ayant sans doute relancé sa traque. Il s'inquiète également de savoir pourquoi Dom a raconté l'histoire d'Ilya à Masha. Pour lui aussi, c'est une erreur. Mais Red semble dans l'urgence : l'homme doit l'aider à trouver quelqu'un avant qu'Agnes ne revienne à la maison. L'inconnu lui rappelle qu'il ne l'a jamais laissé tomber sauf une fois, lorsqu'ils étaient enfants et à cause d'un camion. Il réitère sa promesse : il va réussir. Red le trouve optimiste mais ce n'est pas pour cela qu'il l'aime : il l'aime parce qu'il peut lui faire confiance.
Au débat présidentiel, Mr Sandquist se met en position avec son arme afin de tirer, semble-t-il, sur le président mais Liz et Ressler arrivent à temps : c'est la première dame qui est atteinte. Déjà repérés, les deux ex-agents sont vites mis aux arrêts.
Ressler, Liz et Aram, qui crient au complot, sont emmenés dans un van : personne ne les croient. Sandquist et ses hommes les escortent.
Cooper joint Red par téléphone et lui apprend la situation. Il lui demande de faire jouer ses connaissances au département de la Sécurité intérieure afin de les sortir de ce mauvais pas.
Au téléphone avec McMahon et Sandquist, le président est furieux. Le plan a échoué, il n'a jamais été question de blesser son épouse même si la Task-force est accusée : ils doivent remédier à ce problème. Mais son problème à lui n'est pas résolu, au contraire !
Dans le van Ressler ne comprend pas comment Sandquist a pu louper le président. Pour lui c'est impossible : selon son dossier, c'était un béret vert. Son unité a remporté le concours de tireurs d’élite des forces spéciales de l’armée face à 40 autres équipes du monde entier. Mais cela n'a aucun sens. Dans ce cas qui était sa cible?
Le véhicule s'arrête. Mr Sandquist arrive et les libère, bien décidé à faire croire qu'ils ont été tués alors qu'ils tentaient de s'échapper. Mais la voiture de Red fonce sur le van qui se retrouve sur le côté. La Task-Force saisit les armes de ses geôliers tandis que des coups de feu à l'extérieur sont déjà échangés entre l'équipe de Red et celle de Sandquist.
Morgan, l'un des gardes du corps de Red est blessé. Le criminel tente de lui venir en aide lorsque Chuck est lui aussi atteint mais moins gravement. Voyant que le van perd de l'essence, il décide de mettre son homme à l'abri et le soutient tant bien que mal pour l'emmener plus loin.
Sandquist, lui aussi, a vu la fuite d'essence et saisit une grenade qu'il jette près du véhicule : celui-ci explose mais heureusement la Task-Force a le temps de se mettre à l'abri. Ressler retourne s'occuper de Sandquist qu'il tue en lui tirant dans la poitrine. Liz, à la demande de Red, tente d'appeler les secours tandis que lui, compresse les blessures de son garde du corps.
C'est sans compter sur l'apparition subite d'Anna McMahon qui arrive derrière Red et le menace de son arme alors qu'il est agenouillé près de Morgan. La Task-Force accourt. Ressler refuse de baisser son arme et menace de la tuer tandis que Liz tente de la raisonner. Mais la femme, acculée dans ses retranchements, ne craint pas la mort, au contraire, elle paraît bien décidée à tirer...lorsqu'un coup de feu retenti. La femme est touchée en pleine tête. L'équipe et Red, choqué, découvrent qu'il doit son salut à Dembe.
De retour dans la planque, Ressler continue à se poser des questions sur l'assassinat manqué. Mais qui était la cible ? Pour lui, Sandquist, sniper de classe mondiale n'aurait pas pu louper son coup. Pour Liz, ils sont juste intervenus à temps. Ou était-ce juste pour attirer la sympathie du public et augmenter la côte du président dans les sondages, comme le suggère Cooper ? Pour Red la réponse est simple: il n'a peut-être pas loupé sa cible.
Red prend des nouvelles de ses hommes : si Chuck s'en tire, le sort de Morgan est incertain. Il demande à Dembe s'il revient pour de bon. C'est important pour lui de le savoir plus que ce que son ami vient de lui apprendre : c'est grave, la directive de Townsend est en jeu. Dembe lui répond toutefois qu'il a fait ce qu'il a dit : il a suivi sa propre voie … qui l'a ramené jusqu'à lui.
Dans l'ascenseur d'un hôpital, Panabaker, Cooper et Red, sous bonne garde et menotté pour faire illusion sont conduits jusqu'à la première dame. Seules deux minutes ont été accordées à la conseillère de la Maison Blanche, d'ailleurs outrée, alors qu'elle a insisté sur le fait d'avoir des informations sur l'assassinat et donc que c'est une question de sécurité nationale.
Dans la chambre, Mme Diaz est surprise de voir le criminel qui va directement au sujet de leur visite : son mari. Il y environ quatre ans, il a accepté des centaines de millions de dollars d’un oligarque russe appelé Constantine Rostov. Il l'a fait chanter mais pourquoi avait-il besoin de cet argent si ce n'était pas pour sa campagne? La femme ne se résout pas à répondre jusqu'à ce que Reddington lui apprennne la vérité : son propre mari a attenté à sa vie et il veut savoir pourquoi.
La femme raconte alors que quatre mois avant les primaires, ils avaient renversé et tué une femme et son fils alors qu'ils étaient en voiture, ivres. Ils n'étaient pas allés voir la police et son mari avait fait appel à un «réparateur» pour effacer tous les indices pouvant les mener à eux. L'argent avait été utilisé pour acheter la réputation de son époux. Mais elle avait eu des remords et voulait qu'il avoue la vérité. Il avait refusé. Alors elle avait réuni des documents, des preuves, des enregistrements du «réparateur».
Panabaker et Cooper se rendent à la Maison Blanche : Diaz doit démissionner puis le Bureau ouvrira une enquête criminelle sur son complot visant son épouse. Reddington est responsable de ce fiasco selon lui mais comme Panabaker le lui fait remarquer, il est le seul à blâmer.
Dans son appartement, Liz attend avec impatience l'arrivée d'Agnes. Red est présent. Elle se dit excitée et le criminel la rassure : elle fait le bon choix. La femme lui répond qu'enfin elle le peut : elle sait qui il est, qu'il se soucie d'elle tout comme sa mère le faisait et qu'elle est en sécurité.
Agnes arrive amenée par Kat, le bras droit de Scottie. La réunion mère-fille est joyeuse. Malgré la demande de Liz de rester pour dîner, le criminel préfère partir ne voulant pas s'interposer dans cette réunion familiale et de toute façon ayant un rendez-vous ailleurs. Agnes ne semble pas se souvenir de Red et demande qui est ce drôle de monsieur.
Le criminel retrouve à nouveau l'étranger, l'inconnu du banc, au même endroit. Il a retrouvé la personne recherchée, à Paris. Tout correspond : traces écrites, papiers, passeports, voyage... Lorsqu'il montre une photo à Red, ce dernier est convaincu. Il demande l'adresse. L'homme la lui donne malgré quelques réticences : est-il sûr ? Il l'est.
Dans une rue parisienne, un soir, Red suit une femme. Il l'accoste en l'appelant Katarina. Elle se retourne puis l'embrasse lui demandant ensuite doucement s'ils sont observés. Red le lui confirme : elle n'est pas en sécurité. Ils s'embrassent puis le criminel s'écarte d'elle, choqué : elle lui a planté une seringue dans le ventre. Red s'écroule. Un van arrive pour l'emmener. Le femme reste sur le trottoir, récupère son fédora tombé à terre puis s'en va tranquillement, un léger sourire aux lèvres.
Résumé proposé par mnoandco