Colleen et Carl Conway dorment chez eux lorsque leur alarme se déclenche. Il semblerait que ce ne soit pas la première fois récemment. L'agence de sécurité appelle pour voir ce qu'il en est et annonce qu'une patrouille de police est en route pour venir vérifier que tout va bien. Lorsque Carl pense aller leur ouvrir la porte, il se retrouve face à 3 individus masqués et armés.
Pendant que l'un des voleurs surveille l'épouse dans la maison, les deux autres obligent Carl, qui est banquier, à aller ouvrir l'un des coffres de sa banque menaçant de tuer sa femme s'il ne fait pas ce qui lui est demandé. Les voleurs savent exactement ce qu'ils veulent, le coffre C112. L'un des voleurs, une femme, parvient à l'ouvrir grâce à un outil électrique très efficace : elle y trouve une clé USB, des liasses d'argent, un faux passeport appartenant à Raymond Reddington. La femme prend la clé USB, dépose une carte avec la mention «Elizabeth Keen dit bonjour» et remet tout en place. Le banquier est sommé d'attendre l'appel de sa femme avant de bouger. Il sera alors libre de partir. Il prévient immédiatement Red du vol.
Le criminel est très mécontent de ce vol disant avoir surestimé les capacités de Carl à garder ses biens en sécurité, mais celui-ci rétorque qu'il y a eu une fuite, que les voleurs savaient ce qu'ils cherchaient et qu'elle ne vient pas de chez lui. Il lui tend la note disant "Elizabeth Keen dit bonjour"
Dembe revient et annonce à Red que Marvin ferme tous les autres coffres à l'instant même.
Red remarque que Dembe avait raison : Élisabeth est derrière ce vol et c'est sans aucun doute Skip Hadley qui l'a informée de ce coffre. Par élimination, il devine à qui l'ex-agent a fait appel : The Fribourg Confidence.
Red contacte Harold Cooper pour lui annoncer qu'il faut ajouter le vol au curriculum vitae en plein essor d'Elizabeth et lui parle des voleurs qu'elle a embauchés, The Fribourg Confidence : ils ont volé au cours des trois dernières années plus de 25 millions de dollars dans au moins six banques américaines, mais les vols n'ont jamais été signalés, car ils ciblent les comptes détenus par des criminels qui ont des accords avec des directeurs de banque peu scrupuleux. Il avoue ne s'être jamais intéressé à eux, mais ils lui ont volé quelque chose de très important pour lui et bien sûr ne dit pas au chef de la Task-Force de quoi il s'agit. Oui, ce qu'elle a volé est sa préoccupation, mais comme retrouver Liz les concerne tous les deux...
Au Bureau de Poste, Cooper présente donc le nouveau blacklisté à la Task-Force expliquant que The Fribourg Confidence peut les conduire à l'agent Keen. Park pointe du doigt que ce n'est certainement pas ce qu'elle veut tandis qu'Aram trouve ça fou qu'ils l'appellent toujours agent Keen.
Les agents Park et Ressler sont envoyés pour enquêter à la banque auprès du directeur. Carl Conway reste très prudent jusqu'à ce que Ressler le menace : il a besoin de voir le contenu de la boîte C112 et ajoute qu'il sait qu'elle appartient à Raymond Reddington, ils surveillaient soi-disant les lieux pensant l'attraper. Park ajoute qu'il peut être accusé de complot s'il ne coopère pas. Le banquier alors explique que celle qu'il pense être le chef a forcé la serrure du coffre tandis que l'autre effaçait les images de sécurité : le tout a pris moins de 10 mn et la femme est allée droit vers la boîte. Elle avait dû venir repérer les lieux.
Au Bureau de poste, Cynthia Panabaker vient parler d'une affaire urgente avec le chef de la Task-Force : Alban Veseli connu comme le Freelance a déposé une requête estimant que ses droits ont été violés, car le juge du procès a commis une erreur en ne les obligeant pas à divulguer l'identité de l'informateur : son droit au 6e amendement de confronter son accusateur a été bafoué. Comme c'est Elisabeth Keen qui a prêté serment, le juge veut la voir. Le nouvel avocat du Freelance, Scooter Rovenpor, gère l'appel. Cooper répond que l'agent est sur le terrain, mais la femme exige sa présence : sans elle, les preuves de Reddington seront exclues et le détenu libéré.
À la prison où se trouve Alban Veseli, un avocat coûteux se présente : il veut s'occuper de son affaire estimant que le procès n'a pas été équitable. Son sort dépend du fait que l'agent Keen se présente...ou non.
Assis sur un banc dans un parc, Red tient le mot laissé par Liz. Puis il regarde plus loin une femme qui observe les oiseaux avec des jumelles. Arrive Vlad Cvetko, un associé du criminel. Pour lui, attendre des heures pour voir un bout d'aile est ennuyeux. Pour Red, c'est une communion avec la nature. Vlad lui rappelle qu'il travaille dans un laboratoire et plutôt au contact de la mort. Le criminel lui remet le mot désirant savoir qui l'a écrit, car ce n'est pas Elizabeth. L'homme promet de faire son possible.
Au Bureau de Poste, Aram étudie la liste des nouveaux clients qui auraient pu repérer les lieux tandis que Ressler explique à Park le cas du Freelance qui pour tuer une seule personne en tuait des centaines. Si Liz ne se présente pas, un meurtrier de masse sera relâché. Tous espèrent que Cooper gagnera un peu de temps auprès du juge.
Devant le juge, l'avocat de Veseli M. Rovenpor passe directement à l'attaque. Effectivement, la requête déposée par le précédent avocat de l'accusé de connaître le nom de l'informateur qui l'avait donné avait été rejetée, ce qu'il trouve normal, mais au vu de nouveaux éléments, M. Rovenpor veut plaider sa cause. Il souligne pour commencer les chiffres exceptionnels de réussite de l'agent Keen, toutes sur les bases d'informations fournies, il l'affirme, par la même personne. La question se pose alors de savoir comment une seule et même personne peut avoir autant de connaissances du monde criminel. Il émet aussi l'hypothèse que l'agent Keen a fabriqué sa source. Bien sûr, le juge exige une preuve et demande à entendre Liz. Cooper intervient se présentant comme le directeur adjoint du FBI, superviseur immédiat de l'agent et explique qu'elle ne peut pas être là, car elle est en mission. Le juge est très mécontent et Rovenpor souligne que c'est plutôt pratique, intentionnel. Le juge exige que Keen se présente le jour même à 16h sinon il accepte la requête de Veseli et il pourrait bien être libéré.
Dans un parc, Red attend Vlad Cvetko qui immédiatement le prévient que Liz l'a approché la semaine précédente lui disant qu'il était mourant et que comme elle héritait de tout, il ferait mieux de s'aligner avec elle. Puis il en vient au mot laissé dans le coffre : aucune empreinte ni ADN. Mais, comme le criminel lui a dit que la note avait été laissée par un voleur de banque, il l'a comparé à une base de données d'informations sur les vols : il a trouvé une écriture manuscrite correspondant à un vol précédent, un braquage de 1994. Bien évidemment, Red sait de qui il s'agit.
Red et Dembe se présentent chez Abraham « Abe » Moores. Il est en fauteuil roulant et une infirmière s'occupe de lui faire prendre ses médicaments avant de partir. Le criminel en vient vite au fait : il a été volé et l'écriture du mot laissé correspond à une note qu'il a laissée lors d'un braquage. Le vieil homme se moque. Vu son état, il en est bien incapable!
C'est à ce moment que Red reçoit des informations d'Aram qui lui apprend qu'une Terese Krissoff a visité la salle des coffres deux semaines auparavant et qu'il s'avère qu'elle est morte il y a trois mois.
L'imposteur a ouvert un compte avec un faux numéro de sécurité sociale pour pouvoir valider la chambre. Les agents n'ont peut-être pas de vidéo surveillance du vol, mais bel et bien la photo de la suspecte une semaine plus tôt alors qu'elle préparait son coup. Ladite photo est envoyée à Reddington qui immédiatement la reconnaît. Elle est sur les photos qui ornent la chambre d'Abe. Parlant d'une de ses expériences personnelles, le criminel en vient au fait : souvent l'écriture d'un enfant est identique à celle d'un parent, car, apparemment, la similitude n'est pas du tout génétique, juste une imitation subconsciente. Il parle alors de sa fille : c'est elle qui a laissé le mot. Pour Abe, c'est impossible. Il n'a plus de contact avec Jennifer depuis bien longtemps afin qu'elle puisse avoir une belle vie, honnête. Il ne sait pas où elle est et rien ne sert d'insister.
Au téléphone avec Cooper en voiture, Red lui apprend qu'il est sur la piste de la femme de la photo tandis que le chef de la Task-Force lui parle du Freelance, Alban Veseli, qui va être libéré si Liz ne se présente pas au tribunal à 16h : il faut impérativement qu'il travaille ensemble.
Red apprend donc le nom de la femme à Cooper qui le transmet à la Task-Force : Jennifer Anne Moores, fille d'Abraham Moores voleur de banque à la retraite.Il a été arrêté en 98, a fait 9 ans de prison puis a pris sa retraite. Pour Ressler c'est évident, il pense que la fille a repris l'entreprise familiale de son père. Pour Red, non, il ne voulait surtout pas qu'elle suive ses traces.
Aram, utilisant la base de données du DMV trouve 637 Jennifer Anne Moores, mais une seule dont la photo correspond : il a une adresse. Cooper ordonne de la faire suivre en espérant qu'elle les conduise à Elizabeth.
Park et Ressler surveillent Jennifer dans un véhicule, Alina prenant des photos, tandis qu'Aram se trouve dans une autre voiture ssayant de capter la conversation : Jennifer, attablée à une terrasse, est rejointe par un homme et une femme. Park remarque intelligemment que ce cas est à double tranchant : si Keen ne se montre pas, Veseli sort, si elle se montre, c'est elle qui est arrêtée. Pour Ressler, ce sont deux mauvaises options. Pour Aram, c'est un moyen de protéger l'ex-agent. N'ayant toujours pas de son, Aram se décide à approcher le trio.
Pendant ce temps, Jennifer n'est pas contente : ils ne devaient pas se revoir avant d'avoir livré la clé USB au client. Mais l'autre femme, qui s'avère être l'infirmière d'Abe, lui apprend que Reddington est venu voir son père.
À ce moment, Aram s'approche du groupe et feignant être à la recherche d'une amie, leur parle puis, feignant d'être maladroit, colle un micro sous leur table. Enfin, Ressler peut les entendre. Le groupe de voleur se met d'accord pour livrer la clé à « Givins » afin d'être payé : ils doivent se séparer et rester discrets. Dans la voiture, Ressler reconnaît un des alias de Liz : Carolyn Givins. Jennifer appelle justement la femme : un rendez-vous est donné à Rock Creek Park.
Au Bureau de Poste, Cooper ordonne de mettre des unités en place à Rock Creek Park, mais de ne rien dire pour l'instant à Reddington.
Jennifer arrive au rendez-vous. Elle s'assoit sur un banc et pose sa tasse de café à côté d'elle. Puis elle sort la clé USB et la met dans un paquet de cigarettes vide. Mais Esi Jackson qui supervise l'opération de loin a repéré le FBI et prévient la femme. Elle lui dit de regarder son compte et Jennifer constate qu'elle a été payée pour le travail. Esi lui indique comment procéder pour la remise de la clé.
Jennifer se lève, laissant sa tasse à café en évidence sur la poubelle tandis que, croisant une femme en rouge, elle dépose dans son sac la boîte à cigarettes qui contient la clé. Les deux femmes sont arrêtées, mais Park constate vite que la clé n'est pas dans le paquet de cigarettes. Ressler remarque alors que la tasse à café n'est plus sur la poubelle. Entre temps, un faux SDF travaillant pour Esi l'a ramassée et la lui a remise. Ressler remarque Esi dans une voiture qui part, mais ne peut rien faire.
Au tribunal, Cynthia Panabaker attend aux côtés de Cooper : elle le félicite sur la façon dont il gère le criminel, le laissant croire qu'il tire les ficelles, et son équipe, mais elle sait qu'il se passe quelque chose avec l'agent Keen. Harold ne veut pas répondre ce à quoi elle rétorque qu'elle ne peut pas protéger la Task-Force s'il ne le fait pas. Ressler arrive faisant comprend que Liz n'est pas là.
Le juge arrive est, bien sûr, il est très mécontent en voyant que l'agent Keen n'est pas là. Panabaker se présente comme conseillère à la Maison-Blanche et demande à s'approcher pour lui parler seule avec Cooper. Rovenpor est outré d'être exclu, mais doit obtempérer.
Cooper apprend au juge médusé que Raymond Reddington est l'informateur confidentiel de l'agent Keen. Panabaker renchérit disant que le président des États-Unis ainsi que seule une poignée d'agents sont au courant...et à présent lui. Mais le juge est choqué : le criminel est le seul informateur de l'agent Keen depuis 7 ans ! Bien sûr qu'ils ne voulaient pas apprendre aux accusés que le cerveau criminel le plus prolifique de l'histoire du monde moderne était responsable de leur arrestation ! Cynthia défend sa position : il peut être dégoûté, mais trois présidents sont arrivés à une conclusion différente et ils ne sont pas là pour son jugement moral...le juge leur donne alors son jugement juridique : tout ce que le FBI a appris de Reddington concernant l'accusé Monsieur Veseli n'est pas fiable en droit. Tous les éléments de preuve provenant de lui ou résultant de la relation avec lui sont déclarés irrecevables. Cynthia demande du temps pour récolter des preuves autres que celles fournies par le criminel, mais le juge refuse : il accepte la requête du défendeur et rejette les accusations portées contre lui.
Panabaker ne baisse cependant pas les bras : elle veut ralentir la sortie de prison du Freelance et essayer de le retenir pour une autre charge. En attendant, Cooper doit retrouver Keen.
Ressler apprend au chef de la Task-Force que Jennifer Moores est aux arrêts.
Au téléphone, Aram apprend à Reddington que Liz leur a échappé et que ses associés sont en détention. Le criminel constate surtout que les infos n'ont pas été partagées. L'agent lui envoie une photo pour savoir s'il peut reconnaître l'un des deux autres complices qui étaient sur la terrasse avec elle. Red répond que non, mais ce n'est pas le cas : il a reconnu la femme, Silvina Rosario, l'infirmière de Moore.
Cette preuve en main, Red se rend chez le vieil homme.
Au Bureau de Poste, Cooper presse son équipe de trouver des réponses et de faire dire à Jennifer et ses deux complices Silvina et Raf où se trouve Keen : si Cynthia Panabaker parvient à ralentir la procédure de libération du Freelance, peut-être que tout n'est pas perdu.
Ressler interroge Jennifer tandis qu' Alina interroge Silvina et Aram s'occupe de Raf. Lorsque Ressler menace Jennifer d'impliquer son père lui faisant croire que ses associés ont parlé, la femme, après avoir juré qu'ils n'avaient plus aucun contact, qu'elle le détestait, change d'attitude. Elle accepte de parler de la femme qui l'a embauchée à la condition que le FBI laisse son père tranquille. Le FBI découvre qu'après un travail, dans un sanctuaire pour criminel, Jennifer a été approchée par une femme, Vee qui dirigeait ce refuge, pour lui dire qu'une autre cliente de son réseau avait un travail pour des braqueurs. Les deux femmes s'étaient rencontrées dans sa planque. Jennifer avait appris que la cible était Raymond Reddington, qu'il était vulnérable et qu'elle construisait une alliance contre lui. Une fois le criminel mort, elle aurait une dette envers elle. Jennifer s'était laissée convaincre. Ressler apprend l'adresse de la planque où les femmes se sont rencontrées.
Pendant ce temps, Red interroge Abe Moores. Il jure avoir coupé les ponts avec sa fille. Puis avoue l'avoir revue pour constater qu'elle pouvait déjà ouvrir un coffre haute sécurité en moins de quatre minutes. Il aurait dû prévenir la police, mais c'est devenu quelque chose qu'il pouvait lui apprendre, partager avec elle, une raison d'être dans sa vie. En fait, lorsque Jennifer lui a dit que Raymond Reddington était sa prochaine cible, il lui a interdit d'accepter ce contrat. Mais c'était très bien payé. Abe révèle au criminel où les deux femmes se sont rencontrées.
Lorsque Reddington téléphone à Harold pour connaître l'avancement des interrogatoires, Cooper décide de garde l'adresse de Keen pour lui. De son côté, le criminel ne dit rien non plus.
Cooper décide de se rendre à la planque de Liz seul, pensant qu'elle serait plus réceptive si c'était lui qui lui parlait. Il frappe à la porte, se présentant, lui disant qu'il est seul et veut lui parler. Quelle n'est pas sa surprise de voir Dembe lui ouvrir. Le criminel derrière lui lui annonce que Liz n'est pas là. Le chef de la Task-force devine que le criminel a reconnu quelqu'un sur la photo et l'accuse de ne pas avoir partagé ses informations. Ce à quoi le criminel répond que lui non plus et qu'il est le plus fautif étant donné qu'il est censé être le plus honnête des deux. Quoi qu'il en soit, Elisabeth lui a volé un objet qu'il veut récupérer. Mais le chef de la Task-force s'en moque : ce qui lui importe lui c'est de l'aider dans le deuil de sa mère, de l'aider à guérir de la blessure qu'il lui a faite en tuant Katarina. Mais le criminel ne prend pas toute la faute sur lui : Elizabeth est responsable des choix qu'elle fait, pas lui. Il ajoute qu'il est certain qu'elle est l'instigatrice de la libération du Freelance. Pour Cooper c’est absurde. Pour Red, c'est évident : Elizabeth le vole, le Freelance peut tout à coup se payer un avocat coûteux qui exige sa libération à moins qu'Elizabeth Keen n'apparaisse comme par magie au tribunal.
Dans son bureau, Cyntia Panabaker apprend à Cooper que le Freelance a été libéré sous caution. Elle exige de savoir ce qu'il en est pour Keen. Le chef de la Task-Force lui apprend sans autre préambule qu'elle veut tuer Reddington et que pour cette raison, il l'a mise sur sa liste noire. Il décide de lui raconter l'histoire depuis le début.
L'avocat du Freelance, Scooter Ravenpor, rencontre Skip Hadley dans son bureau. Il se fait remettre une mallette remplie d'argent non marqué, comme promis. Il part tandis qu'Alban Veseli entre. Il comprend que Skip est l'avocat de Keen et la représente : Hadley lui remet un portable avec un seul numéro programmé à l'intérieur. Il doit appeler et demander Charlotte, lui dire qu'il a été sous la pluie et a besoin de se sécher. Mais le Freelance veut savoir pourquoi après l'avoir enfermé, la femme veut l'aider. Que veut-elle ? Pour Hadley, rien … pour l'instant.
Cooper se dirige vers sa voiture, y entre, et remarque une tasse de café dans le porte-gobelet : à l'intérieur se trouve la clé USB volée à Red.
Dembe conduit Red dans sa Mercedes lui confirmant que Liz est partie en jet sans doute avec la clé. Pour le criminel, cela n'augure rien de bon. Il doit maintenant informer l'ami de l'est de la disparition de celle-ci. Voulant s'aérer la tête,Red demande à Dembe de le déposer et il se rend au parc où il a rencontré Vlad. La femme ornithologue que Red a vue plus tôt est là, assise sur un banc. Il demande si cela la dérange qu'il s'assoie sur le banc d'à côté, mais elle accepte lui disant qu'il tombe bien, une Paruline du Cap May chante habituellement à cette heure. Pris d'un doute, le criminel demande à la femme s'il l'a connaît, mais elle affirme que non et se présente. Elle s'appelle Anne. Le criminel lui dit s'appeler Raymond. Les présentations faites, ils restent assis côte à côte pour écouter l'oiseau chanter.
Dans son bureau, Cooper ouvre un ordinateur portable et insère la clé USB. Il ouvre le fichier écrit en russe, qui semble officiel, et qui demande un mot de passe pour y avoir accès. Apparaît Aram, inquiet : il n'a pas fermé l'oeil sachant que Liz et partie, mais se prenant à espérer qu'elle ne l'est pas. Il se demande s’ils entendront parler à nouveau d'elle. Cooper lui répond qu'il est confiant.
Résumé proposé par mnoandco