LA FOURCHETTE DE L’HÉRÉTIQUE
Ce petit instrument était utilisé comme moyen de torture pendant la Renaissance. Il s’agissait d’une fourchette avec des pointes aux deux extrémités, qui était attachée autour du cou du condamné, afin que les pointes touchent la gorge et le sternum. Le but de ce petit outil : priver la victime de son sommeil, elle était en effet accrochée au mur de façon à ce qu’elle ne puisse pas se coucher par terre. Si elle s’endormait, les pointes lui transperçaient lentement la chair.
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Berlin, Allemagne.
Une serveuse sort par la porte arrière d'un restaurant avec une carafe en verre de café. Elle verse le liquide restant dans un égout puis met la carafe à la poubelle. Elle récupère une doudoune cachée dans un plastique noir. Alors qu'elle part, elle téléphone prévenant que « c'est fait ».
Dans le restaurant, un homme, Liam, s'est effondré après avoir bu un café. Les secours arrivent et sa femme leur apprend qu'il s'est plaint d'avoir mal à la poitrine. L'ambulance part avec l'homme à son bord, laissant là son épouse. À peine parti, Liam ne peut rien faire alors que le secouriste l'attache solidement à la civière puis lui met une sorte de broche à dent sous le menton ( la fourchette de l'hérétique) qui s'enfonce dans sa chair au moindre mouvement.
Pendant ce temps, deux autres ambulanciers s'approchent de la femme de Liam et demandent où est le malade. Ce sont eux les véritables secouristes. Liam a été enlevé.
Liam est conduit dans un entrepôt où l'attend le Dr Laken Perillos. Elle est là pour l'interroger, car il a étendu son business au détriment de celui de son patron, Neville Townsend. Elle veut savoir tous les détails de son opération. Justement, la femme reçoit aux appels de celui-ci qui lui demande de laisser tomber ce qu'elle fait et de venir immédiatement aux Etats-Unis pour une affaire urgente.
Dans une laverie automatique, Red et Dembe interceptent Bobby Dixon qui est payé pour leur donner des informations sur Neville Townsend, car il blanchit son argent. Le criminel a un bon moyen de pression sur lui, sachant qu'il vole de l'argent à son patron. Il coopère, mais ne peut que lui donner la destination de l'argent une fois blanchit : la plus grosse somme sert à payer une femme, Laken Perillos. Grâce à elle, le criminel peut certainement remonter jusqu'à Townsend d'autant plus que Bobby sait de source sûre qu'elle vient d'arriver aux USA.
Dembe prévient son patron que Ruddiger a un tuyau pour eux. Le criminel de son côté téléphone à Cooper afin de lui donner le nouveau nom de sa liste qui les conduira à Townsend. Mais le chef de la Task-force lui apprend qu'un mandat d'arrêt a été émis contre Élisabeth et qu'il préfère se concentrer sur elle. C'est alors que le criminel lui apprend que l'ex-agent s'est allié justement à Townsend et que c'est d'ailleurs lui qui lui a demandé de tuer sa sœur pour l'empêcher de parler, et pour qu'elle prouve ainsi sa bonne foi. A priori, ils se sont mis d'accord pour s'unir contre lui.
Au Bureau de Poste, Cooper présente donc le nouveau cas à l'équipe, Laken Perillos, une femme que Neville Townsend emploie pour infliger de la douleur à ses victimes afin d'extraire des informations. Il précise que Périllos peut les conduire à Townsend et Townsend peut les conduire à Keen, car ils se sont alliés. Pour Aram, c'est impossible que Liz fasse équipe avec un tel personnage, mais le mieux est d'enquêter, selon Cooper, pour le découvrir.
L'équipe sait peut de chose sur la femme hormis qu'elle est apparue il y a 6 ans, employée par Townsend. Grâce à elle et ses méthodes brutales et efficaces, son patron a pu prendre le contrôle du détroit du Bosphore et de tous les navires qui y transportent de la contrebande. Elle n'a laissé la vie qu'à une seule de ses victimes et uniquement en guise d'avertissement, un certain Roman Einhorn.
Park et Ressler rencontrent Roman Einhorn, pensant lui soutirer quelques renseignements sur Laken Perillos. L'homme vit en reclus depuis plusieurs années, mais n'a pas d'autre choix que de recevoir le FBI. Einhorn est assis en fauteuil roulant derrière un d'ordinateur qui retranscrit ce qu'il écrit : il est affreusement mutilé, il lui manque toute ma mâchoire inférieure, il ne peut pas parler. Il refuse de coopérer malgré les arguments des agents : ce qui lui est arrivé est un avertissement et s'il parle à la police, Laken a promis de venir terminer le travail.
Red et Dembe retrouvent Ruddiger. Sa main est bandée et le criminel lui dit de faire attention : il a besoin de lui et ses 10 doigts. L'expert en munition lui dit avoir trouvé une empreinte partielle dans la voiture piégée qui a tué un des hommes du criminel à Lagos. Dembe la prend et contacte Cvetko. À l'extérieur, il remarque un véhicule stationné un peu plus loin. Pendant ce temps, Ruddiger affirme qu'Élisabeth est incapable de s'en prendre à ses employés, mais le criminel lui répond qu'elle s'est associée avec Townsend, donc que c'est fort possible. Se plaignant de l'odeur, Ruddiger montre à Red sa dernière fabrication : un accélérateur à base de cyclohexane, stable, un point d'inflammabilité très bas donc un fléau pour tous les analystes de chimie médico-légale.
Dembe voit une camionnette blanche entrer dans le parking. Sentant le danger, il demande à son patron de partir. Il a raison, des hommes cagoulés sortent du véhicule et se mettent à tirer. Ruddiger est blessé et Dembe ordonne aux hommes présents de faire sortir Red. Dembe est capturé à la place du criminel qui s'est échappé.
Ressler et Park enquêtent sur la scène de l'embuscade. Au téléphone, Red leur donne le peu d'info qu'il a : 4/5 hommes lourdement armés, cagoulés et qui n'ont pas parlés entre eux. Il est certain que c'est un coup d'Élisabeth. Pour Donald, ce n'est pas sûr : il a beaucoup d'ennemis et Keen ne ciblerait pas Dembe. Pour le criminel, là n'est pas le problème : le problème est de savoir combien de temps Dembe va survivre au traitement de Laken Perillos.
Dembe se retrouve face au Dr Laken Perillos, la «fourchette de l'hérétique» logée sous son menton, attaché dans un fauteuil. Elle lui montre sa collection de dispositifs de torture. Pour elle, chacun à son utilisation, atténuer ou infliger la douleur. Elle raconte son histoire et explique que lorsqu'elle avait 12 ans, sa mère est allée à l'hôpital avec une infection neurale qui a été diagnostiquée à tort comme une tension musculaire. Elle a juste reçu de l'ibuprofène et renvoyée chez elle alors qu'elle avec une infection qui l'a laissée dans une douleur atroce et alitée pour le reste de sa vie. Tout ça à cause de la couleur de sa peau. Certains médecins croient que les Noirs ressentent moins de douleur que les Blancs d'où le fait que les patients noirs reçoivent beaucoup moins de médicaments contre la douleur que les patients blancs. À présent, ce qu'elle veut en utilisant la fourchette de l'hérétique c'est qu'il lui dise la vérité sinon il saignera à mort : elle veut tout savoir sur les archives Sikorsky. Dembe parvient à lui répondre qu'il ne dira rien.
Au téléphone, Red apprend de Ressler que le véhicule utilisé pour enlever Dembe a été retrouvé incendié. Ils devraient avoir les résultats du labo dans les 24h. Pour le criminel, c'est trop long. Il raccroche et réfléchit.
Red fait irruption dans la salle où Bobby Dixon blanchit l'argent de Townsend dans le sous-sol de la laverie. Celui-ci appuie sur un bouton d'alarme silencieuse afin de prévenir ses supérieurs qu'il y a un problème. Le criminel l'accuse, son arme contre sa joue, d'avoir entendu où Dembe et lui se rendaient, chez Ruddiger, et d'avoir prévenu son patron. Le téléphone sonne. Bobby répond sur l'ordre de Red qui transmet ainsi, comme prévu, son message pour Townsend : un numéro de téléphone qu'il doit appeler dans 20 minutes. L'appel se termine. Red tire dans la jambe de Bobby pour qu'il se souvienne de lui quand il utilisera une canne.
Neville Townsend apparaît sur les multiples écrans vidéo qui couvre un mur de la pièce où se trouve de Dembe. Il veut des réponses et au besoin, le Dr Perillos est là pour l'encourager à coopérer. Il veut savoir si Reddington a les archives. En l'absence de réponse, Laken approche avec une seringue qui contient un poison issu des méduses Irukandji : en une demi-heure, son venin provoque des crampes musculaires atroces, de graves maux de dos et une sensation de brûlure dans la peau et le visage. Suis des maux de tête, transpiration, nausée. La douleur, combiner à une augmentation de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle est terrible, tellement qu'on souhaite en finir avec la vie pour arrêter la douleur... Toujours pas de réponse de Dembe. Le docteur lui injecte le poison.
Townsend apprend que Reddington a pris contact. Il lui téléphone alors que le criminel attend anxieusement. Immédiatement le criminel exige le retour de Dembe Zuma, mais Townsend sait qu'il connait les secrets de Red, Keen le lui a dit. Il veut les archives. Le criminel lui demande si c'est vraiment une guerre contre lui qu'il cherche, mais l'autre homme campe sur ses positions : il a tué toute sa famille. Un fois de plus le criminel affirme que c'est Katarina Rostova qui en est responsable et que comme il l'a tué, ils devraient être quitte et coexister pacifiquement. Il veut en discuter avec lui : il s'échange contre Dembe. Townsend trouve cela « romantique », et un marché est conclu.
Laken Perillos questionne Dembe voulant savoir si son patron voit sa douleur, pas celle physique, celle dans son cœur à force de conserver tous ses secrets. Elle, elle sait que Townsend ne voit pas la sienne. Neville Townsend revient en ligne et lui annonce d'arrêter : il a échangé l'homme contre la seule personne qui en sait davantage que lui sur les archives. Raymond Reddington. Townsend se déconnecte. Laken, mécontente, poursuit sur sa lancée : Reddington ne fait pas cela pour le sauver, mais pour se sauver lui. Mais Dembe affirme que son ami ressent sa douleur ce qui énerve encore plus le bon médecin qui enfonce la fourche de l'hérétique plus profondément dans son cou.
Red entre dans le Jefferson Suites Motel. Là, il se présente à l'accueil et le propriétaire du motel lui demande de boire un liquide puis d'attendre sur le banc dehors. Le criminel s'exécute.
Pendant ce temps, Laken Perillos n'a aucunement l'intention de laisser partir Dembe : elle aime le fait qu'il résiste. Elle veut voir jusqu'à quel point il est redevable à Reddington. Dembe souffre, mais à force de se débattre réussit à casser une des sangles qui lui lie les poignets. Il retire la fourchette de l'hérétique de son cou et se détache. Le Dr Perillos attrape une arme à feu et la pointe sur lui, mais il est plus vif et lui plante la fourchette de l'hérétique dans la main et attrape le pistolet. Il exige qu'elle lui donne l'antidote et elle le lui montre dans une seringue : il s'injecte le contenu.
Le sédatif brouille la vision de Red lorsqu'il reçoit l'appel de Dembe qui le supplie de ne pas se rendre, il s'est enfui...mais il est déjà trop tard. Les hommes de Townsend l'emmènent.
Ressler et une équipe arrivent sur les lieux où était retenu Dembe, mais le site a été vidé de son matériel et Laken s'est enfuie. Aucun signe de Reddington. Il annonce la nouvelle à Dembe qui, entre-temps, est retourné au restaurant et se soigne vite fait. Celui-ci lui apprend qu'il fait des recherches sur le poison que Laken lui a injecté, celui issu de la méduse Irukandji.
Red reprend conscience, attaché, Laken Perillos à ses côtés. Bien évidemment, le criminel connait la réputation de la femme. Townsend est devant lui, sur les écrans. Perillos lui annonce ce qui l'attend : elle va lui injecter la chorioméningite lymphocytaire, une infection virale transmise par des souris qui provoque une paralysie ascendante, attaque le système nerveux périphérique, puis se fraye un chemin vers le haut à travers les jambes et le torse jusqu'à la poitrine, où il paralyse les poumons, provoquant l'étouffement de la victime. Elle s'exécute tandis qu'à distance, Townsend lui précise qu'il y a un antidote qu'il aura dès qu'il lui aura parlé des archives. Red reste silencieux.
Dembe arrive au bureau de poste. La Task-Force a remonté la piste de la méduse Irukandji et a rétréci les recherches à un nom, Kayla Lynne Banks. Aram montre sa carte d'identité et de suite, Dembe la reconnaît comme le Dr Perillos. Cooper met son équipe sur sa piste : passeports, comptes bancaires, sa fausse identité , tout va être étudié.
Red ne sent déjà plus rien jusqu'au genou. Laken dit vouloir trouver un remède à la douleur. Reddington est contre cette idée : pour lui, mieux vaut une douleur ignorée que pas de douleur du tout. S'il n'y avait pas de douleur, on ne pourrait pas apprécier de réel plaisir. Townsend apparaît à nouveau pour interroger Red : il a une heure maximum, peut-être moins.
Pendant ce temps, Dembe presse Cooper pour accélérer leur recherche de Raymond : ils ont certainement loupé un détail. Tous les deux décident de réétudier les dossiers : Cooper prend celui sur le laboratoire de Perillos et Dembe celui sur la camionnette incendiée. Il découvre que celle-ci a été brûlée avec un accélérateur, du cyclohexane d'où l'absence de preuve. Pour Dembe, c'est justement ça l'indice. Il part précipitamment du Bureau de Poste.
Reddington commence à avoir du mal à parler, mais il le fait quand même. Townsend pense que c'est à lui qu'il s'adresse, mais c'est à Élisabeth, celle qui a commandité son assassinat, qu'il délivre un message, espérant qu'elle écoute. Il lui dit que malgré son anticipation de le voir mort, elle va trouver sa vengeance insatisfaisante. Elle est à la croisée des chemins, mais si elle franchit la limite, elle ne pourra pas revenir en arrière. Il sait de quoi il parle, il a vu l'autre côté et il ne veut pas de cela pour elle. Il lui suggère de demander à Perillos de lui administrer l'antidote, il ne veut pas qu'elle franchisse ce pas.
Ruddiger se remet de sa blessure par balle lorsque Dembe s'en prend à lui. La camionnette qui l'a enlevé a été incendiée avec son accélérateur. L'homme le supplie, il a été torturé (sa blessure à la main) et c'est après Reddington qu'ils en avaient, pas lui. Dembe menace de lui faire bien pire que ce que Laken Perillos lui a fait subir s'il ne lui dit pas où il peut la trouver car elle détient à présent Raymond. Ruddiger lui donne une adresse, un entrepôt. À la demande de Dembe, il s'attache au radiateur. Bien plus tard, lorsque la Task-Force arrive sur les lieux, il a disparu, ne reste plus que le lien.
Le criminel a de plus en plus de mal à respirer. Perillos lui apprend que c'est parce que son diaphragme est à moitié paralysé, il aura bientôt besoin d'une machine pour respirer, ce qu'elle n'a pas. Mais elle a l'antidote. Townsend confirme : une fois délivré, il prend effet immédiatement. Tous ce qu'il a à faire pour le recevoir, c'est lui dire ce qu'il sait sur les archives.
Dembe se trouve à l'extérieur de l'entrepôt où est retenu Raymond. Il téléphone à Cooper pour qu'il y envoie une équipe. Comme le temps presse, Dembe décide d'entrer seul. Il tue les gardes et menace Laken Perillos de son arme tandis que Red halète. Il veut savoir ce qu'elle lui a administré et s'il y a un antidote. Townsend, toujours connecté trouve charmant qu'il se soit sauvé l'un l'autre et affirme qu'il n'y a pas d'antidote. Dembe coupe la communication et se retrouve donc seul avec le docteur qu'il menace toujours. Elle administre l'antidote à Raymond, mais tient à avoir le dernier mot. Lui est venu pour sauver le criminel. Le criminel est venu le sauver pour sauver son âme. Pour Dembe, la raison n'a pas d'importance. Le résultat compte : il est là pour son ami qui souffre tandis que Townsend n'en ferait pas autant pour elle. Red recommence à respirer normalement.
Perillos a pris la place de Reddington sur la chaise tandis qu'il est encore en train de récupérer. Dembe interroge la femme : il exige de savoir où est Neville Townsend, comment le contacter. Il lui a injecté son propre produit et lui donnera l'antidote si elle répond.
Enfin Ressler et son équipe du raid arrivent sur les lieux. Ils trouvent Perillos vivante, toujours attaché dans le fauteuil. Reddington et Dembe sont partis. L'agent se présente et exige de savoir ce qu'elle a dit au criminel à propos de Townsend.
Townsend fait la sieste, assis sur sa chaise lorsque la porte s'ouvre. Blake Brown le prévient que tout est prêt. L'homme se rend dans une pièce où l'attend un punching-ball attaché au plafond. Il met ses gants de boxe et se met à frapper frénétiquement jusqu'à ce qu'enfin Godwin Page lui demande d'arrêter. Plusieurs fois. Le sac est enfin décroché du plafond et ouvert par ses hommes. À l'intérieur du punching-ball, Max Ruddiger, en sang. Townsend lui annonce qu'il doit s'estimer heureux : il est uniquement en vie parce que Keen a supplié pour qu'il épargne sa vie. Mais à présent, elle lui appartient. Plus jamais il ne doit le décevoir !
Red récupère, alité, Dembe a ses côtés. Ils n'ont pas tiré grand-chose de Laken Perillos : Townsend et elle ont toujours utilisé des téléphones jetables, elle a toujours été payée en espèce, quant au lien vidéo vers Townsend, il était crypté. En clair, ils n'ont rien. Pour Raymond, ce n'est pas vrai, les paroles du docteur lui reviennent et il veut savoir si son ami pense vraiment qu'il ne voit pas sa douleur intérieure. Dembe répond qu'ils sont venus l'un pour l'autre, mais ce n'est pas ce que veut savoir le criminel. Dembe finit par lui répondre que non, il ne voit pas toujours sa peine.
Cooper arrive, accueilli par Dembe alors que, plus loin, Red se repose. Il le félicite pour son travail de détective. Comme il l'a dit plus tôt, il ferait un bon flic. Mais Dembe est heureux, il lui avait dit qu'ils retrouveraient Raymond. Le chef de la Task-Force est ravi qu'il ait eu raison. Mais lui aussi a raison lorsqu'il lui dit que le criminel est au bord du gouffre. Un jour, il n'en reviendra pas. Il doit s'y préparer.
Résumé proposé par mnoandco
