Deux ans plus tard.
Dembe et son collègue Ken Laver, habillés en ouvriers, discutent sur un chantier. Le second désire demander en mariage une certaine Elisabeth et le premier avoue tristement en avoir connue une, son amie, décédée deux ans auparavant.
Un SUV s'arrête et des hommes en sortent. Dembe leur annonce qu'un camion chargé de puces électroniques les attend, mais qu'ils doivent payer avant d'en prendre possession. Celui qui semble le chef, Clayton Beck, plus agressif, prend les choses en main : il accuse Ken, qui a posé beaucoup trop de questions, d'être un flic et demande à Dembe de le tuer. Ce qu'il fait. Mais après vérification, il constate qu'il n'y a pas de sang, car il porte un gilet pare-balles. Il en conclut que les deux hommes sont des flics. Il tue Ken et demande à deux de ses hommes de main de se débarrasser de Dembe et à un autre de prendre le camion chargé de microprocesseurs.
Clayton Beck parti, Dembe profite d'un moment d'inattention pour saisir l'arme de l'un des mercenaires et les tue. Il court afin de tenter d'intercepter le camion qui s'éloigne, tire dessus, provoque un accident ce qui a pour a résultat de le faire exploser et de projeter Dembe au sol.
Aram est assis à une table de conférence et écoute un présentateur parler d'une fusillade qui a blessé un agent du FBI, en a tué un autre, ce qui pourrait conduire à une interruption de l'approvisionnement en micropuces vitales. L'ancien directeur adjoint du FBI, Harold Cooper, discute avec lui de l'incident, expliquant l'importance de ce genre de matériel qui est présent dans les voitures, téléphones, avions... et qui provient souvent de Taïwan. Cette tentative de vol d'une cargaison provenant d'Asie peut menacer, selon lui, non seulement l'économie, mais aussi la sécurité nationale. Il poursuit expliquant que depuis deux ans, la criminalité a augmenté... Aram est interrompu par son associé Nick Faria qui lui demande de se concentrer sur leur projet : convaincre un certain Conroy d'investir dans le projet qui leur a coûté leurs économies.
Dans un garage, un mécanicien travaille sous une voiture, la télévision également allumée. En entendant Cooper expliquer que les empires criminels sont comme des régimes autoritaires et qu'ils permettent de maintenir l'ordre car si ce pouvoir est décentralisé ou fracturé, cela conduit au chaos, à l'instabilité et à la recrudescence de crimes, l'homme sort de dessous la voiture. Nous découvrons que c'est Ressler, barbu, les cheveux plus longs, qui comprend, dégoûté, que son ex-patron parle de Reddington.
Dembe souffre sur son lit d'hôpital tandis que l'infirmière s'occupe de lui. Il a des brûlures au troisième degré sur les bras et le torse mais refuse toutes médications avant d'avoir pu parler à Cooper. Il lui explique qu'il veut trouver les responsables de la mort de son collègue, Ken Laver, mais avoue qu'après 6 mois sous couverture pour le FBI (il est devenu agent!), il ne connaît toujours pas l'acheteur des puces. Tout ce qu'il a, c'est un tatouage, mais personne au Bureau ne le reconnaît. Il sait qui le peut, mais il n'a pas vu Raymond depuis un an et demi et n'arrive pas à le joindre depuis. Il demande à Cooper de s'en charger car, comme il a la garde d'Agnes, peut-être qu'il aura plus de chance.
Cooper suit un protocole précis mis en place pour joindre Reddington et il se retrouve à Cuba, dans un bar, drogué par Manny Soto qui lui apprend avant qu'il s'écroule que le criminel n'est pas là car il y a des inondations en Amazonie, puis sous entend qu'il ne se montrera peut-être pas. Un scan de l'oeil et le « docteur » confirme son identité. Le protocole se poursuit, et Manny Sotto contacte les « soeurs ».
Clayton Beck discute avec un homme plus âgé, Vincent Duke, qui s'entraîne au golf. Ce dernier est mécontent qu'il ait tué un agent du FBI, c'est risqué pour l'organisation. Clayton ne se laisse pas impressionner : oui, les puces ont été détruites, mais il a un plan B : découvrir le secret de la fabrication du produit. De cette façon, l'acheteur pourra fabriquer le produit lui-même. Il rappelle surtout à Vincent qu'il lui a laissé les rennes pour jouer au golf, et que c'est lui qui dirige à présent.
A Taipei (Taïwan), un certain Kuo Pai-Han est torturé par Clayton avec un club de golf : c'est lui qui l'a renseigné sur la localisation des puces, mais à présent celui-ci désire savoir qui possède les connaissances et le logiciel de traitement pour les fabriquer. Clayton obtient un nom, Chen Yu-Lan, et les détails de son voyage à New- York en famille qu'il a organisé.
Cooper se retrouve dans une grande cour sombre, baignée de lumière rouge. Une femme, Weecha, surveille tandis qu'une autre, sa soeur, Mierce Xiu, chante en kaqchikel, une ancienne langue maya, et lui demande de s'approcher. Elle fait courir un œuf sur Cooper pour le purifier, lui demande de le casser dans un verre d'eau puis de décrire ce qu'il voit. Il répond un soleil perçant les nuages et cette réponse semble convenir à la femme puisqu'il est autorisé à entrer dans le bâtiment derrière elle.
Reddington l'attend à l'intérieur et, après avoir servi deux verres d'eau, demande immédiatement des nouvelles d'Agnes. Harold le rassure, elle s'épanouit. Red lui présente son garde du corps Weecha et sa sœur la chamane Mierce qui, elle, protège son âme. Il n'aurait pas survécu sans elles. Ils en viennent ensuite à la raison de la venue d'Harold : Dembe, gravement brûlé, demande son aide afin d'identifier un tatouage qui les aménera à ses assaillants et aux assassins de son collègue. Red refuse de le regarder expliquant qu'il a appris au cours des deux ans passés, à quoi s'accrocher et quoi abandonner. Il a peur, s'il revient ne serait-ce qu'une fois, que cela n'ait servi à rien et que tout redevienne sombre, comme avant. Cooper insiste, il veut juste savoir ce qu'est ce tatouage. Red jette un œil. Bien sûr, il le reconnaît.
Un raid du FBI est en cours, mais on se rend rapidement compte que c'est un exercice lorsqu'Alina fait irruption annonçant à toute l'équipe qu'ils sont mort : ils n'ont pas vérifié toutes les pièces! En sortant, elle tombe sur Cooper qui lui demande son aide, pour Dembe. Elle est à présent instructeur et elle lui apprend qu'elle a entraîné Ken. Nous apprenons qu'elle est mariée, et qu'elle a promis à son mari Peter de ne plus aller sur le terrain, mais qu'elle accepte cependant d'aider.
Aram fait une présentation à l'investisseur providentiel Henry Conroy afin de trouver des fonds pour son projet à lui et Nick. Leur entreprise, Flagify permet à leurs clients d'être avertis des problèmes de sécurité sur plusieurs niveaux, selon les besoins de chacun. ShadowSee, leur système de détection de piratage est déjà performant : il est capable de scanner jusqu'à un million de sites Web par heure pour déterminer si une production spécifique est utilisée en violation des restrictions de droit d'auteur. Maintenant, Greylock va encore plus loin, utilisant des mots-clés, du « Sentiment Analysis » pour analyser le sentiment ou tonalité des contenus postés et ayant également une fonction médico-légale...
Mais cette conversation est coupée par deux fois par la sonnerie du téléphone d'Aram qui veut répondre. Cela ne plait guère ni à Conroy qui part, estimant qu'il ne va pas investir chez quelqu'un qui est incapable de se concentrer, ni Nick qui est furieux car ses parents ont contracté une deuxième hypothèque pour eux, ce qui va leur coûter leur maison. A présent seul, Aram répond à l'appel. C'est Cooper.
La nuit, Red rend visite à Dembe, endormi. Il tend la main pour prendre la sienne, mais se rétracte, se contentant de la poser sur le bord du lit.
Cooper reçoit chez lui Aram, puis arrive Alina. Les anciens collègues sont très heureux de se retrouver et s'étreignent. Alors que Cooper veut en venir au but de leur visite, Aram constate surtout que Ressler manque à l'appel. L'ancien chef de la Task-Force explique alors son entrevue avec l'homme qu'il a retrouvé à Détroit, en train de réparer une voiture et qui, sans avoir rien écouter lui a répondu non, surtout lorsqu'il a compris que, même indirectement, Reddington était impliqué. Il le blâme toujours pour la mort de Liz. Aram dit comprendre, tous blâment Reddington pour ce qui est arrivé mais, en ce qui le concerne, il lui pardonne parce qu'il se blâme déjà assez lui-même.
Cooper demande à Aram quelques explications sur le bouclier de silicium et il explique que c'est le terme utilisé pour décrire la protection de Taiwan qui lui assure d'être le seul fabricant de puces électroniques nouvelle génération, une protection contre l'Amérique, qui pourrait même entrer en guerre pour empêcher à leur approvisionnement d'être interrompu. Cooper en vient alors au Skinner qui, apparemment, veut déclenche ce genre de conflit. Selon Reddington, il est une version actuelle du brigandage. Les dacoïts en Inde. Messieurs Reivers en Ecosse. Dans le Devonshire, les Gubbings. En Amérique, Highwaymen. Différents pays, différents siècles. Tous hors-la-loi. Et en France, les écorcheurs. D'où le nom. Ces derniers se sont soulevées contre Charles VII et prenaient ce qu'ils voulaient. Quand les gens résistaient, ils leur brûlaient les pieds, d'où le tatouage repéré par Dembe sur la main des mercenaires, du feu entourant la lettre « S », symbole des « Skinners », ceux qui brûlent les gens vifs. Le premier Skinner est mort subitement en 1452, mais ses partisans ont décidé de garder cette mort secrète et de faire survivre leur organisation en élevant un des leur pour prendre sa place, commençant une longue ligne de succession qui continue à ce jour. Le Skinner est plus un mythe que l'homme, donc l'identité de l'homme personnifiant ce mythe a toujours été un secret soigneusement gardé. Cooper avoue que Reddington ne lui en a pas appris plus. Aram ne comprend pas qu'il ne revienne pas, pour Dembe. Mais Cooper ne compte pas baisser les bras, avec ou sans lui : c'est leur travail de trouver l'actuel Skinner, dont le but était de voler 800 000 des micropuces les plus avancées au monde. Dembe l'a arrêté une fois et, à moins qu'ils ne le trouvent, il réessayera.
Aram, voulant profiter de cette réunion inattendue, demande un moment afin de se souvenir de Liz. Ils se prennent les mains et ferment les yeux, quelques instants.
La nuit venue, Cooper découvre Reddington dans sa cuisine, observant les dessins d'Agnes tandis que Mierce psalmodie en Kaqchikel autour de bougies et d'encens. Le criminel est certain que la fillette est heureuse, mais Cooper lui rappelle que, surtout, elle dort, ce qui a pour résultat de faire taire Mierce de façon abrupte, un air désolé sur le visage. Red lui apprend que la femme a des pouvoirs, mais tous pour le bien. Mais, enfin, Cooper répond à la question de Red : Agnes va bien. Timidement, Red suggère qu'il aimerait la voir, mais Cooper lui répond que ce n'est pas une bonne idée. Le criminel l'accepte, même si son visage montre une grande tristesse. Il poursuit lui apprenant qu'il connait le prédécesseur de l'actuel Skinner.
Cooper contacte Alina et Aram et leur apprend pour Vincent Duke, qui a dirigé l'organisation pendant près de 30 ans. Ses prédécesseurs ont réquisitionné les canons de l'Armada espagnole, l'or des tsars russes mais son à lui butin était un peu plus contemporain, de la propriété intellectuelle à l'uranium. Un léger différent avec l'homme oblige Reddington a demander leur aide pour le contacter.
Le trio simule un accrochage afin d'isoler Vincent Duke qui se retrouve seul, sans ses gardes du corps, auprès de sa voiture accidenté. Arrive Red qui propose de le conduire. Mais l'homme refuse de trahir sa propre organisation. Le criminel lui fait entendre raison : son successeur a fait trop parler de lui en tuant un agent du FBI et détruisant une cargaison de puces. En conséquence, la sécurité portuaire a augmenté ce qui nuit à son organisation. Ce n'est certainement pas ce qu'ils veulent, l'un comme l'autre. Pour eux, la menace est réelle : le gouvernement américain ne prendra aucun risque avec des micropuces SCG qu'apparemment aucun des esprits brillants d'Amérique ne sait fabriquer. Tout maillon faible dans cette chaîne d'approvisionnement, en l'occurance son successeur, sera considéré comme une énorme menace pour la sécurité nationale, il va être traqué par les autorités. Vincent comprend et avoue n'avoir aucune influence sur lui, il a échoué. Red dit comprendre, il a fait exactement erreur.
Red de sa voiture observe un match de football entre filles lorsqu'il téléphone à Harold pour lui donner l'alias du Skinner, Clayton Beck, et sa localisation, l'hôtel Fountain Grand à New York. Il met son jet à sa disposition et Cooper accepte. Avant de raccrocher, ce dernier remercie le criminel de respecter sa demande de rester loin d'Agnes. Red dit comprendre, Liz l'a choisi et il prend cette responsabilité à coeur. Après avoir raccroché, il continue d'observer le groupe dont justement Agnes fait parti. Weecha, assise au volant, lui demande ce que la fillette représente pour lui. Il répond qu'elle est tout.
Alina rejoint Cooper dans l'avion, expliquant à son mari au téléphone qu'elle doit s'absenter, mais sans autre précision car il ne veut plus qu'elle aille sur le terrain. A ce moment, à leur grand étonnement, Ressler entre : Aram l'a appelé lui expliquant pour Dembe, l'affaire, mais surtout pour prendre sa place car il a un problème urgent à résoudre. Il souhaite juste ne pas se retouver dans la même pièce que Reddington.
Cooper, Park et Ressler se retrouvent dans un parc à New York. Le concierge de l'hôtel de Beck leur a dit qu'il se trouvait là, il lui a demandé le chemin. Sur place, chacun muni d'une oreillette, ils se dispèrent pour trouver leur suspect. Ressler s'étonne que Dembe soit devenu un agent du FBI avec ses antécédents, mais n'obtient pas de réponse car Clayton Beck est repéré. Lui et un autre homme semblent surveiller une famille. Cooper prend une photo.
De son côté, Aram prend son courage à deux mains et décide d'aller affronter Henry Conroy, chez lui. Bien sûr, l'homme est très mécontent mais lui accorde 40 secondes, celles qu'il n'a pas eu précédemment. Aram explique avoir été un agent du FBI et que s'il a été interrompu, c'est parce que son ancien patron lui demandait de l'aide sur une affaire ayant des implications pour la sécurité nationale.
Quelques instants plus tard, seul, Aram attend que Conroy revienne lorsque Cooper le contacte pour identifier les personnes sur la photo qu'il a prise. C'est urgent, The Skinner les traque, il a besoin de savoir qui ils sont. L'ex-agent explique qu'il n'est pas à son bureau et Cooper lui dit de se débrouiller. Voyant l'ordinateur de Conroy, Aram s'y précipite. Sachant qu'il s'agit des puces SCG, il pirate leurs données des employés pour trouver qui est l'homme de la photo. Il s'agit de Chen Yu-Lan, directeur de la technologie. Mais Conroy revient à ce moment là, furieux de le voir utiliser son ordinateur et encore plus furieux en entendant Aram essayer d'expliquer les raisons de son comportement. Malgré son ordre, Aram répond à Cooper qui le rappelle. Il lui apprend le nom de la cible, certainement un homme capable de fabriquer les puces. Aram part, persuadé que jamais Conroy ne voudra investir dans leur projet.
Malheureusement, dans le parc à New York, le trio ne parvient pas à empêcher le kidnapping de Chen Yu-Lan et de sa famille.
Red est assis au chevet de Dembe. Les yeux de Dembe s'ouvrent légèrement et il l'aperçoit.
Dans son SUV, Red annonce à Cooper son intention de partir : il a fait ce pour quoi il est venu, identifier The Skinner. Harold tombe des nues, le danger est trop grand, the Skinner a enlevé un homme capable de produire en masse les puces électroniques les plus avancées au monde, sa femme et sa fille. Red emmet l'hypothèse que le client du Skinner est certainement une superpuissance qui veut être autosuffisante, un gouvernement peut-être. Mais Cooper en revient au fait qu'il veut juste partir. Red explique qu'après avoir passé du temps dans un monastère au-dessus de Boudhanath , méditant aux côtés de 36 moines tibétains, il a atteint une harmonie intérieure plus époustouflante que n'importe quel psychédélique, et pourtant plus fragile qu'un cygne en origami. Il craint que s'il revient, il sera déchiré, écrasé. Cooper suspecte que cela a autant à voir avec sa réticence à réintroduire dans la vie d'Agnès, réticence qu'il a ouvertement ignorée, il le sait. Le criminel ne nie pas, il a constaté avec plaisir que Cooper la faisait surveiller. Cooper insiste, ils ont besoin de lui. Mais il est déposé devant chez lui. Weecha, le garde du corps et chauffeur de Red, le prend à part : garder la fillette loin de lui est cruel. C'est ce qu'il veut, être cruel ?
Cooper, Aram, Donald et Alina se rejoignent tous dans la chambre de Dembe. Il va mieux. Il se demande s'il a halluciné, il a vu Raymond. Cooper lui confirme qu'il était là, mais qu'il est parti et ne compte pas revenir. L'équipe est déçue parce qu'avec lui partent aussi ses ressources, ses contatcs, leur chance de retrouver the Skinner et la famille qu'il a enlevé. Pour Cooper, tout n'est pas perdu, ils ont quand même avancé dans leur enquête : ils ont un nom, des adresses et un dossier imprimé sur du papier licorne appartenant à Agnes, faute de moyens. Leur situation est préoccupante : ils font face à un blacklisté bien financé, eux n'ont aucun budget, aucune base de données à laquelle se référer et aucune autorisation pour enquêter.
Mais, comme à son habitude, c'est Dembe qui a les paroles les plus sages et c'est finalement lui qui remonte le moral des autres, pas inversement : toutes les deux heures, une infirmière des soins intensifs lui arrache les peaux mortes avec une pince à épiler, c'est lent et douloureux explique-t-il... mais c'est le seul moyen de guérir. Chacun d'entre eux ont aussi des peaux mortes. Leur guérison sera lente et douloureuse mais les voir tous réunis autour de lui, il ne peut pas penser à une meilleure façon de commencer. Cooper ne peut qu'être d'accord et il motive tout le monde : ils ont une affaire urgente à résoudre. Chacun va arranger sa vie et ils se retrouvent dans une heure, à l'hôpital, pour contre-attaquer.
Aram se rend dans son entreprise où Nick Faria l'accueille lui apprenant que Conroy a été impressionner par sa visite et qu'il désire en savoir plus sur leur projet...de suite.
Alina téléphone à son mari, et lui apprend qu'elle retourne sur le terrain, mais pas pour le Bureau, et que cela risque de prendre du temps.
Quant à Ressler, il décide d'aller voir Reddington prêt à partir dans son jet. Il lui annonce de suite ne pas vouloir être là et le criminel le fait s'asseoir afin qu'il s'explique. L'ex-agent parle de Liz, qu'elle a accepté de laisser tomber sa vie pour lui, son empire, sa Liste Noire, alors que tout ce qu'elle voulait c'était vivre paisiblement avec Agnes. Mais elle savait que la Liste Noire était importante, que le travail qu'ils faisaient rendait le monde plus sûr. C'est pourquoi elle a accepté d'être son successeur. Elle a tout laissé tomber pour elle. Puis elle est décédée, tous sont partis de leur côté et la Liste Noire est morte avec elle.
Red l'interrompt pour lui dire qu'il n'est pas d'accord. Une vie avec Agnes n'était pas tout ce que Liz voulait. Elle voulait une vie avec lui.
Ressler poursuit tristement, tout de même troublé par les paroles du criminel. Aucun d'eux n'a besoin de cette situation et, autant ça a été douloureux de partir, ça l'est encore plus de revenir. Mais la Liste noire était la vocation de Liz, ce doit être la leur aussi. Il le déteste, mais il aimait plus Liz. Il lui présente le dossier de l'actuel Skinner, de son vrai nom Graema Anderson, placé toute sa vie en famille d'accueil, disparu pendant deux ans avant de passer un an à Stanford où il est devenut obsédé par l'aventurier et contrebandier français Henry de Monfreid. Cela n'étonne pas le criminel, c'était un ancien Skinner. Mais il ne comprend pas où l'ex-agent veut en venir et il refuse de prendre le dossier qu'il lui tend.
Ressler n'y va pas par quatre chemins : Graeme Anderson est le prochain nom sur la Liste Noire, SA Liste Noire, celle pour laquelle Liz a donné sa vie. C'est à lui de décider si elle est morte en vain. Il dépose le dossier sur un siège et part. Mierce, qui a écouté toute la conversation, avoue avoir bien aimé l'homme car il a une bonne âme. Red ne peut qu'être d'accord, mais avoue être moins certain de son âme à lui.
Résumé proposé par mnoandco