Graeme Anderson, l'actuel Skinner, présente à l'intermédiaire de son client Chen Yo-Lan, l'homme qui détient la clé de 80 % des microprocesseurs informatiques les plus précieux au monde. Il lui explique que son plan de les voler a échoué, et qu'il l'a donc kidnappé lui et sa famille pour que son employeur puisse fabriquer à volonté les précieuses puces. Mais l'intermédiaire panique, un enlèvement! Il refuse de participer à ce genre de procédé. Anderson le tue.
Ressler et Dembe sont en voiture pour se rendre chez Anderson et fouiller sa maison. Ils discutent de la manière de procéder : Dembe, maintenant qu'il est agent du FBI, refuse d'entrer sans mandat, mais fait remarquer à Ressler, qui lui ne l'est plus, qu'il le peu. Ironiquement, les rôles sont à présent inversés.
Ressler fracture la porte et fouille la maison d'Anderson, pendant que l'agent Zuma attend dehors. L'endroit semble inhabité et Dembe suggère que ce n'est qu'une planque d'Anderson parmi d'autres. Il a des moyens financiers, c'est clair, eux non. Ils ont besoin d'aide pour retrouver les otages et venger la mort de son collègue. Ressler passe un appel, puis demande la raison secrète pour laquelle Dembe est devenu agent. Il n'obtient pas de réponse.
Harold Cooper intercepte Cynthia Panabaker dans les couloirs du Congrès, elle est à présent sénatrice. Elle est très contrarié de voir l'homme, cinglante même, mais accepte toutefois, à contrecœur, de l'écouter.
Dans une salle adjacente, Cooper lui rappelle la tentative de vol des micropuces SCG qui a échoué grâce à l'agent Zuma. Elle sait qu'il fait parti à présent du Bureau et se demande quelles ficelles l'homme en face d'elle à tirer pour rendre cela possible. Cooper ne répond pas, expliquant qu'il lui a demandé son aide pour attraper les coupables et qu'il a réunit toute la bande pour l'épauler. Cynthia ricane, il n'y a plus de groupe, il a été dissous et l'accord d'immunité de Reddington a été annulé. Cooper insiste : le criminel leur a donné une piste, mais si les puces électroniques n'ont pas été prises, l'ingénieur Chen Yu-Lan qui les a conçu, a été enlevé. Cette technologie ne peut pas tomber dans de mauvaises mains, ces puces contrôlent tout. Ils ont besoin de son aide. La sénatrice cède et leur permet d'utiliser le Bureau de Poste qui à présent est à l'abandon et leur donne accès aux bases de données du Bureau et au CODIS (Combined DNA Index System).
Lorsque Alina reçoit un appel de son mari, Cooper lui rappelle que le temps presse. Elle ne répond pas.
Pendant ce temps, Ressler se rend devant le bureau qu'il partageait avec Liz et, surpris, tombe nez à nez avec Red, assis là. Agressif, il lui demande ce qu'il fait. Il répond qu'il est là suite à ses paroles, et qu'il honore Liz. Cooper arrive est ressent l'ambiance tendue entre les deux hommes et constate surtout que, pour l'instant, le criminel est n'est pas reparti comme il l'avait dit. Red demande à lui parler dans son bureau mais, avant de s'y rendre, rassure d'une manière énigmatique l'ancien agent qui le regarde d'un air septique : quoiqu'il advienne, cela viendra, demain peut-être, il faut juste y aller doucement.
Pendant ce temps, Graeme Anderson conduit Chen Yo-Lan devant une succursale de la société SGC. Il exige sous la menace que l'homme accède, via ses ordinateurs, à l'ordinateur central SGC à Taipei afin de lui obtenir le logiciel pour fabriquer les puces. Chen lui rappelle qu'il y a des protocoles de sécurités, mais Anderson sait qu'il peut les contourner : seulement ensuite, sa famille sera libérée.
Dans le bureau, Cooper et Red retrouvent Aram qui leur fait un résumé : rien n'indique si quelqu'un a employé The Skinner pour enlever Chen et sa famille et encore moins qui. Mais Aram s'inquiète surtout du crâne rasé du criminel lui demandant ce qui s'est passé : celui-ci avoue que Weecha lui rase le visage et la tête d'un seul coup parce qu'ils habitent un lieux où il n'y a pas assez d'électricité pour la gaspiller en tondeuses et autres appareils éléctroniques : ils ont juste un frigo et un lecteur DVD. Il ajoute que cela ne le dérange pas, préférant les simples plaisirs de la vie comme regarder une femme nue, sur le porche, avec un bol d'eau chaude se raser les jambes. L'ex-agent un peu géné regarde Weecha, pensant comprendre qu'il s'agit d'elle, tandis qu'elle le regarde dans les yeux, sans réagir. Cooper pendant ce temps cherche son scotch dans le tiroir de son bureau, mais il a disparu, ce qui ne lui plaît pas du tout. Red lui promet du rhum, vieilli lentement dans les montagnes, riche et délicieux et provenant de la famille de Weecha et Mierce, garanti fort, mais sans mal de crâne.
La parenthèse des cheveux et du rhum refermée, Aram ajoute que la disparition de Chen n'a pas été signalée. Comme ils n'ont rien d'autre, Cooper espère un coup de main de Reddington qui lui confirme qu'il l'aura car Donald lui a rendu visite, lui a rappelé qu'Elisabeth n'avait accepté de prendre en charge ses affaires que parce qu'elle se sentait obligée de continuer la liste noire et que c'est pour cela qu'elle était là ce soir-là. Pour faire son devoir. Il précise qu'il n'est pas là juste pour aider, mais aussi parce que c'est ce qu'elle voudrait.
En bas des escaliers, Dembe croise Weecha et lui propose de lui dire ce que Raymond aime et n'aime pas. Elle répond laconiquement qu'elle le sait. Sur ce arrive le criminel qui, sans regarder son ancien compagnon dans les yeux, lui dit être ravi qu'il se sente mieux. Il félicite Park présente pour son mariage, mais moins pour un travail qu'elle a fait pour à son compte. Elle s'étonne qu'il soit au courant et il lui apprend qu'il a payé des gens pour garder un œil sur eux.
Park apprend à Cooper que Chen s'est rendu, comme si de rien n'était, à son travail, à la succusrsale de SCG. Il exige d'en savoir plus.
Effectivement, Chen est entré dans le bâtiment de SCG de Washington. Là, il tente d'accèder à son logiciel qui se trouve dans la société mère à Taipei, mais a besoin de quelqu'un sur place. Il contacte donc son assistant, Kuo Pai-Han, celui qui l'a vendu lui et sa famille à Graeme Anderson, ce qu'il ne sait pas. Chen exige d'avoir accès à ses fichiers sur son disque dur et lui donne le code d'un fichier qui met le réseau en mode diagnostic, ce qui lui permettra de détourner le protocole de sécurité. Il avoue à Kuo, inquiet, qu'il a besoin de télécharger les fichiers de programmation car sa femme et sa fille sont en danger. Kuo accepte un peu trop vite et celui-ci lui avoue qu'il est celui qui l'a impliqué, et que sa famille est également menacée.
Vincent Duke s'énerve lorsque Red vient une fois de plus lui demandé son aide pour stopper les agissements de son successeur, il pense lui avoir mâché le travail en lui disant qui il est et où il habite. Mais le criminel insiste : Anderson a tué un agent du FBI et maintenant enlevé le directeur technique du plus grand fabricant de puces électroniques au monde : il menace de créer un incident international qui ruinera la réputation historique de l'organisation. Même si Vincent ne sait pas où le criminel veut en venir , il l'écoute lorsqu'il lui demande d'invoquer la charte, une première en 700 ans. Mais pour cela, ils ont besoin du prédécesseur de Vincent Duke, le Capitaine, une femme que le criminel semble connaître plus pour ses éventuelles conquêtes amoureuses, Kissinger et Le Duc Tho.
De Taipei, Kuo Pai-Han clique pour commencer le téléchargement des données pour Chen Yo-Lan mais l'ordinateur signale un soucis : un nouveau logiciel surveille le réseau et s'il confirme, l'alarme sera déclenchée. Mais il le fait quand même, ainsi Chen peut télécharger le programme, mais l'alarme conduira les autorités vers lui, à Taipei. Il risque l'emprisonnement pour cela.
Aram et Park sont en voiture devant les locaux de SCG à Washington se demandant pourquoi l'homme serait allé travaillé comme s'il n'avait pas été victime d'un enlèvement. C'est alors qu'ils le voient partir en voiture et décident de la poursuivre. Chen s'en rend compte et essaie de leur échapper. Park, qui conduit, répond au téléphone à son mari qu'elle ne peut plus éviter, lui faisant croire qu'elle ne fait rien de particulier, juste une balade dans un parc, tandis qu'Aram, de trouille, se cramponne à sa portière. Ils parviennent à le stopper et l'emmène au Bureau de Poste.
En salle d'interrogatoire, l'homme ne leur est pas d'un grand secours, il ne sait pas où il était détenu. Tout ce qu'il a, c'est un numéro sur un téléphone jetable intraçable. Il supplie qu'on le laisse partir afin que sa famille soit libéré...mais pas lui qui restera aux mains de ses ravisseurs.
Vincent Duke et Red arrivent à la maison de retraite Solomon Bay où Vincent est connu sous le nom de Norm Beauregard, l'avocat d'Alberta Gilbert. Un des employés lui apprend que la femme qu'il vient voir est agitée, agressive, car elle affirme qu'on lui a volé son téléphone. Elle se radoucit en voyant Norm et son invité. Norm est accosté par Margareth Collins, la nouvelle directrice des relations avec les résidents : la démence de la femme semble progresser, et son neveu a interdit qu'elle quitte la résidence sans l'accord d'un spécialiste qui va évaluer son état. Red, qui écoute, saisit l'opporunité et se présente comme le docteur Walter Brenneman justement là pour cela. Il ajoute l'air de rien qu'il est un ami de Norm, neuroscientifique, travaillant à la réputée clinique Mayo, et qu'il a accepté , pour lui rendre service, de voir Alberta. Après une habile manœuvre où Norm fait croire qu'il n'arrive pas à joindre Douglas et Red qui fait croire qu'il ne peut pas revenir car il se rend à une conférence, Margareth Collins accepte de les laissé partir avec Alberta, puisqu'elle estime qu'elle est entre de bonnes mains.
À l'extérieur du bâtiment, Vincent marche avec Alberta et lui apprend qu'il veut invoquer la charte pour se débarraser d'Anderson. Elle lui demande pourquoi lorsque Red intervient et lui explique qu'il fait trop parler de lui et que l'organisation survit justement parce qu'elle sait rester discrète. Alberta tombe des nues en apprenant que l'homme en face d'elle n'est autre que Raymond Reddington et exige un baiser, avec la langue, sinon elle n'invoquera pas la charte. Le criminel s'exécute avec brio puisqu'ils partent bras-dessus, bras-dessous.
Au Bureau de Poste, Aram donne des informations sur les puces informatiques à Cooper, Dembe, Park et Ressler. Le fait est que Chen détient le secret des puces SCG, les plus avancées au monde, celles que personne même dans la Silicon Valley ou à Zhongguancun ou ailleurs sur Terre ne sait comment les fabriquer. Lui et son logiciel peut permettre à quiconque les détient d'avoir un pouvoir absolu sur ce marché. Pour Ressler, ce pouvoir est actuellement entre les mains des américains, pour Dembe ce serait du vol , ce qui fait sourire ironiquement l'ex-agent en pensant au passif de Zuma avec Red. Il se justifie : dans ce cas, ce serait pour leur pays. Cooper les remets à l'ordre : pour l'heure, l'important et Chen et sa famille. Ce dernier accepte d'appeler The Skinner et lui dit qu'il a le logiciel. Il s'assure que sa famille est vivante et obtient une adresse de ramassage.
Auparavant, quelques précautions sont prises par l'équipe : un faux logiciel est remis à Chen, afin que l'original ne tombe pas entre de mauvaises mains, avec juste quelques modifications imperceptibles que seules 5 experts au monde pourraient détecter. Il est également muni de lunettes avec des composants d'écoute intégrés au cadre. Aram rassure l'homme qui est très inquiet : l'équipe sera là puis le SWAT interviendra dès que sa famille sera libérée.
La sénatrice Panabaker rejoint Cooper dans son bureau. Il lui fait un résumé de l'affaire, lui apprenant qu'il détient Chen, le seul capable de fabriquer les micropuces et le logiciel de traitement pour le faire. Elle y voit une opportunité pour l'Amérique et lui rappelle qu'elle lui a fait une faveur en lui laissant ces locaux. Elle demande à ce qu'il lui remette le programme afin que le pays puisse fabriquer ses propres puces semi-conductrices haut de gamme sans dépendre d'une puissance étrangère. Cooper s'insurge, c'est du vol, ça les met au niveau de Graeme Anderson. Elle n'est pas d'accord : lui est un criminel qui cherche à faire du profit, eux sont des patriotes qui ont l'obligation de protéger le pays. L'ex-directeur adjoint de FBI ne cède pas. Panabaker part.
Une fois de plus, Ressler se retouve devant l'ancien bureau de Liz, triturant dans ses mains une boîte de pilules. Cooper le rejoint et se demande s'il a bien fait de lui faire quitter Détroit pour les aider. Il en a peut-être trop demandé en lui demandant de revenir au Bureau de Poste, et ajoute que tous comprendraient s'il décidait de partir...l'ex-agent affirme que ça va.
Chen est emmené dans un entrepôt après avoir été ramassé par les hommes d'Anderson. L'endroit est immense, mais des équipes du SWAT sont en chemin pour prêter main forte à Dembe, Ressler et Park qui surveillent déjà les lieux et écoutent via les lunettes.
Chen donne le logiciel à Anderson et demande à ce que sa famille soit relâchée, comme convenu. Mais le Skinner décide d'abord de vérifier si c'est bien le vrai logiciel et lui apprend qu'il a fait appel à un autre expert qu'il a également enlevé...et il s'avère être l'un des 5 seuls au monde à pourvoir prouver que ce n'est pas l'original. Chen craque, paniqué, et avoue que le FBI détient le vrai logiciel, qu'ils écoutent via les lunettes. Anderson les détruits et, entendant cela Ressler, Zuma et Park décident d'entrer sans attendre le SWAT.
Anderson décident de les faire sortir de leur cachette en tirant sur la femme de Chen dans la jambe, puis en menaçant la fillette s'ils ne se montrent pas. La famille est en pleurs, suppliant pour leur vie et suppliant l'équipe de se montrer. Cooper, en entendant cela le leur interdit. N'écoutant pas les ordres, Ressler se rend en premier, suivit de Dembe et Park. Ils préviennent Anderson que le SWAT est en route, que le FBI sait qui il est, mais il s'en moque. Il se prépare à partir avec Chen et sa famille lorsque l'un de ses hommes vient le prévenir. Il y a du monde à l'entrée... et ce n'est pas le FBI.
C'est alors que Reddington fait irruption suivit de Vincent Duke et du Capitaine, Alberta Gilbert. Il n'a même pas besoin de se présenter, Anderson le reconnaît de suite et pointe son arme sur lui, ce qui impressionne peu le criminel. Duke lui apprend que que la charte a été invoquée et qu'elle donne le droit à d'anciens Skinner de révoquer celui en place, car est stipulé qu'ils gardent toujours un droit de regard sur leur successeur et ses actions. Alberta ajoute que son comportement stupide est inadmissible, tuer un agent du FBI, enlever une famille innocente ! Mais Anderson ne semble pas comprendre où ils veulent en venir et se moque, alors Red lui donne quelques explications : il n'est qu'un fiduciaire parmi tant d'autres auparavant, s'il viole la confiance de son prédecesseur, de l'organisation, il peut être révoqué à condition que deux anciens dirigeants soient d'accord. Duke ajoute qu'Alberta et lui le sont. Mais l'homme ne compte pas se laisser faire et ordonne à ses hommes de les tuer, tous les trois. Comme ils ne hésitent, Anderson se saisit de son arme et vise Red. C'est sans compter les membres de l'organisation qui se retournent contre lui et à présent le visent tous de leurs armes. L'un d'eux rappelle à Anderson qu'ils ne travaillent pas pour lui, mais pour l'organisation et le tue lorsqu'il tente de résister. Red presse Duke et Alberta de partir avant l'arrivée du SWAT. Duke ordonne que la famille soit mise en sécurité puis de relâcher les autres, avant de le suivre.
Alors qu'ils s'éloignent, Duke demande à Red qu'il lui dise enfin son intérêt pour l'organisation. Le criminel répond que c'est la ligne de succession. Mais Duke avoue qu'il n'a aucune envie d'en reprendre les rennes : le criminel lui apprend qu'il a une proposition à lui faire. Duke pense qu'il veut lui suggérer un successeur, ce qu'il ne nie pas : il connaît exactement la personne parfaite pour permettre à l'organisation d'étendre encore plus son pouvoir.
Red est avec Mierce et Weecha dans leur SUV garé dans la rue, regardant à nouveau l'équipe d'Agnès jouer au football. Mierce lui rappelle qu'il a fait ce pour quoi il est venu, et qu'il n'y a plus rien qui l'attend ici à part du chagrin. Le criminel ne veut pas y croire et demande encore un arrêt : s'il n'obtient pas la réponse qu'il souhaite, ils repartiront.
Panabaker rentre chez elle le soir et tombe nez à nez avec Red installé dans un de ses fauteuils. Bien sûr, elle lui demande la raison de sa présence. Il répond qu'il désire quelque chose qu'elle ne peut pas lui donner, mais qu'il ne peut pas obtenir sans son aide. Il est là pour qu'ils s'entraident.
Au Bureau de Poste, Cooper rassure Chen sur Kuo Pai-Han, son associé à Taïwan : les autorités l'ont libéré et sa famille est en sécurité. Il lui remet le disque dur contenant la propriété intellectuelle de SCG pour construire ses précieuses micropuces. Chen s'étonne que le gouvernement américain ne s'approprie pas son travail, Cooper lui répond qu'il a essayé, mais que lui ne veut pas que cela tombe entre de mauvaises mains, y compris les leurs.
Park et Mojtabaï discutent de l'affaire, s'étonnant tous les deux que ce travail avec la Task-Force leur ait manqué.
Cooper arrive et remercie toute l'équipe (Ressler, Park, Aram et Dembe) pout leur bon travail. Il avoue avoir apprécié se souvenir du bien qu'ils ont fait par le passé. A son tour, Dembe les remercie tous d'avoir fait tout ceci pour lui et son partenaire, d'autant plus que, pour la première fois, il a eu la chance de travailler avec eux.
La porte se l'ascenseur s'ouvre et arrivent Weecha et Red chargés d'une caisse en bois contenant du rhum, comme promis. Le criminel s'étonne de leurs têtes moroses après cette victoire. Cooper s'étonne surtout qu'il est encore là et Red lui annonce de but en blanc que son accord d'immunité a été rétabli par Panabaker qui a accepté de tirer quelques ficelles. Sans doute à cause du bon travail qu'ils ont accompli, dit-il, elle propose de reconstituer la Task-Force et de laisser Harold, Donald et Aram retourner dans le giron du FBI. Mais le choix leur revient. Il propose à Harold d'aller dans son bureau avec une bouteille de rhum.
Ressler se retrouve une fois de plus devant le bureau de Liz et enfin y entre. Il s'assoit, rejoint par Dembe. Celui-ci lui avoue pourquoi il est entré au FBI. La raison, c'est lui, c'est l'un de ses secrets. Ressler lui en demande un autre. Dembe répond que Raymond l'admire, pas pour ce qu'il fait mais pour qui il est. L'ex-agent semble ne pas trop y croire. Dembe ajoute qu'il veut l'aider à traverser cette épreuve, il veut essayer du moins, peut-être qu'avec le temps...
Dans son bureau, Cooper verse du rhum pour Red et lui-même. Il est certain qu'Agnes est l'une des raisons pour laquelle le criminel souhaite continuer malgré ce qu'il en pense. Il demande l'autre raison. Red lui répond simplement qu'il s'agit d'une affaire inachevée. Cooper en déduit qu'elles sont connectées mais n'a aucune confirmation de l'intéressé. Ils trinquent aux amitiés inattendues, aux surprises de la vie qui les attendent, et Cooper se dit heureux d'être de retour, appelant Reddington son vieil ami. Red se moque en entendant le mot vieux, lui confiant un secret : le monde n'appartient pas aux jeunes mais à quiconque a la force de l'atteindre et de le prendre. Il ajoute que pous la première fois depuis longtemps, il se sent plus fort que jamais.
En parallèle, nous voyons Red se faire tatouer un S au milieu de flammes sur le mollet, entouré de membre de l'organisation Skinner, de Vincent Duke et d'Alberta. Tous l'applaudissent. Il est officiellement le nouveau chef de l'organisation.
Résumé proposé par mnoando