Dans la prison de Sussex, un groupe de détenu marche menaçant vers Lu Fernan. L'un d'eux sort discrètement une lame, ses intentions évidentes. Lu, très calme, brandit un pistolet automatique qu'il a caché et tire dans le tas, tuant plusieurs personnes. Il jette son arme immédiatement et se rend sans opposer de résistance aux gardiens.
Dans un café, Ressler rencontre Jonathan Pritchard, le toxicomane qu'il accompagne dans son combat contre sa dépendance à la drogue. L'homme lui raconte se rendre à des réunions au NA tous les jours, et que leurs rendez-vous lui font du bien. Il ajoute qu'il est soutenu par ses collègues et nous apprenons que lui aussi travaille pour le gouvernement. L'agent lui dit comprendre, il est passé par là, mais lui rappelle qu'il y aura des jours difficiles, il doit s'y préparer. Avant de se quitter, Ressler lui demande de ne pas hésiter et de lui téléphoner s'il a besoin de quoique ce soit.
Chez les Cooper, Agnes montre à Pinky (Red) le jeu en ligne auquel elle et ses amies d'adonnent. Elle lui explique les règles, ils sont tous coéquipiers dans un vaisseau spatial en train d'accomplir différentes tâches, sauf que l'un d'eux est un imposteur afin de saboter la mission. Elle explique que la semaine précédente, elle a vite été démasquée par Madison. La jeune fille doit partir à l'école et Red reste seul avec un Harold Cooper très silencieux et renfrogné. Le criminel dit comprendre sa colère, mais l'homme explose : il a assassiné Wujing et Zhang Wei au Bureau de Poste, il y a amené une armée, utilisé un outil volé à la NSA pour supprimer des documents gouvernementaux. Red ne se départit pas de son calme, ne s'excuse aucunement et avoue qu'il recommencerait sans hésiter s'il le fallait. Mais le chef de la Task-Force n'en a pas fini et continue : la chasse de Wujing a duré des mois, coûté de l'argent tout ça pour seulement quelques arrestations mineures. Wujing, Zhang Wei, Alban Veseli, tous morts. Perillos partie, supposée morte, Bo Chang évanoui dans la nature : la Task-Force n'est pas une équipe de tueur ! Il est certain qu'il va y avoir une enquête officielle et il va être compliqué d'expliquer à Panabaker, au Congrès pourquoi ce groupe de travail devrait continuer d'exister. Le criminel essaie de le calmer, depuis le début il n'y a jamais eu de paradigme fixe pour la façon dont ils fonctionnent. L'important pour lui est que le danger que Marvin Gerard a déclenché n'existe plus, les criminels sont morts, sa connexion avec le FBI effacée. Il ne sait quoi ajouter d'autre sauf qu'il comprend s'ils choisissent de ne plus travailler avec lui... mais s'ils choisissent de le faire il a un nom, Lawrence Nelson, The Postman : l'homme est un contrebandier qui fait passer toutes sortes de marchandises en prison et, en très peu de temps, il a presque complètement dominé le marché du Mid-Atlantic. Pour le criminel, c'est lui qui a fourni l'arme responsable d'une fusillade à la prison d'État de Sussex en Virginie.
Mais l'esprit de Cooper, à l'évocation de Lawrence Nelson, retourne 25 ans en arrière alors qu'il était juré dans le procés de l'homme. Contrairement aux 11 autres personnes, il n'était pas certain de sa culpabilité. S'il est troublé, il n'en dit rien à Reddington.
Au Bureau de Poste, le chef de la Task-Force présente le cas à l'équipe et retrace le parcours du Postman : l'homme a été envoyé en prison à 18 ans, a purgé 25 ans dans une prison du Maryland pour meurtre au 1er degré, a été libéré il y a cinq ans pour bonne conduite, puis a disparu. Cooper estime que c'est un homme dangereux, son trafic a côuté la vie a cinq hommes, et ce danger se répand partout dans le monde. A ce moment, Herbie apparaît sur l'écran principal du Bureau de Poste, déjà en retard pour son premier matin en période d'essai. L'homme explique que Sue est malade et le chef de la Task-Force lui donne quelques conseils, puis charge Dembe de lui résumer l'affaire. De leur côté Malik et Ressler se rendent à la prison d'État de Sussex. Sur place, les agents interrogent Lu Fernan qui refuse de révéler comment il s'est procuré l'arme et encore plus de balancer The Postman par peur de ses représailles.
Pendant ce temps, dans une cellule de Pittman Correctional Institute, Eugene Campos travaille sur un mélange certainement dangereux puisqu'il porte un masque HAZMAT. Ensuite, il passe un appel justement à Lawrence Nelson : il a besoin d'une autre livraison.
Au Bureau de Poste, l'équipe piétine : aucun détenu, dans aucune des trois des prisons où Reddington pense que The Postman opère, ne veut parler. Dembe décide d'étudier les séquences de sécurité de la prison avec Herbie, tandis que Siya et Ressler suivent la piste de l'argent : quelqu'un à l'extérieur de la prison a payé pour l'arme de Lu et il s'avère que son frère est venu le voir, puis a fait un virement de 10 000 $ juste trois jours avant l'attaque. Le paiement est allé à une société écran qui a un compte à la banque Acordia dans le New Jersey, qui refuse évidemment de coopérer. Cooper décide d'y envoyer Reddington. Il le contacte alors que le criminel arrive dans sa planque de New-York. Celui-ci est heureux d'apprendre que l'équipe travaille sur le cas qu'il a donné, et lui demande s'il va bien car il le trouve distrait. Cooper reste vague, disant simplement qu'une personne de son passé a ressurgi. Dans un flashback, Cooper se souvient se battre contre tous les autres jurés convaincus de la culpabilité de Lauwrence Nelson. Les faits sont là, il avait un motif, et il y a des preuves. Le jeune Cooper met en doute les tests ADN, technique médico-médicale assez nouvelle à l'époque. Et puis il y a surtout le témoignage de sa petite amie qui a juré sur la bible que Lawrence a avoué devant elle le meurtre. Ce que réfute le jeune homme ajoute Cooper qui convaint tout le monde de reprendre l'affaire depuis le début, refusant de détruire la vie du gamin parce qu'il est pressé.
Reddington se rend dans la banque Accordia dans le New Jersey comme le lui a demandé Cooper. Il y trouve le directeur Benny Seaver après l'heure de fermeture. Il en vient directement au fait, il est à la recherche d'informations concernant l'un de ses clients, Lawrence Nelson. L'homme semble peu rassurer lorsqu'il lui dit être Raymond Reddington. Ce dernier c'est bien évidemment bien renseigné sur lui, et se demande surtout pourquoi il n'est pas chez lui avec Erica qu'il a épousé il y a un an. Mais il ajoute vite qu'il comprend que ce n'est pas facile avec sa belle-mère âgée qui a emménagé. Benny, éberlué, écoute le criminel raconter qu'il connait Rick Bruckner qui possède de nombreux établissements de réadaptation, de retraite et qui est également propriétaire du Golden Glen Assisted Living Home. Bien sûr, ce sont des endroits exclusif et cher, mais il propose à Benny de parler en sa faveur afin d'obtenir une place à un tarif réduit pour Laurel, sa belle-mère. Il lance aussi en pleine conversation que Rick et lui se rencontraient à Dubaï, quelques anecdotes, ce qui à pour conséquences de totalement troubler Benny qui ne sait plus où il en est. Red s'en rend compte et lui demande s'il a compris. L'homme mélange tout et ne comprend pas pourquoi il veut que Laurel déménage à Dubaï. Le criminel en a marre de prendre des gants, sort son arme et menace de lui exploser la rotule s'il ne lui donne pas ses dossiers concernant Lawrence Nelson. Il s'exécute.
Dembe se rend chez Herbie. Sue dort, et il lui offre un immense plateau rempli de diverses sortes de sandwichs, tous halal. Il est déçu en apprenant que l'agent est venu seul parce que Ressler et Malik suivent la piste de l'argent qu'a obtenu Raymond : en effet, celui-ci pense avoir identifié quelqu'un travaillant pour Lauwrence Nelson. Herbie de son côté étudie et analyse en profondeur les images de sécurité de l'extérieur de la cellule de prison de Lu Fernan. Ils savent que le mardi soir sa cellule a été fouillée, parce que c'est le protocole, que rien n'a été trouvé et que la fusillade a eu lieu le lendemain matin. Donc comment a-t-il obtenu l'arme s'il n'a jamais quitté sa cellule ? Herbie trouve la solution, non pas en regardant les images, mais en écoutant car la prison enregistre l'audio sur leurs caméras de vidéosurveillance. Il isole, améliore le son à l'aide d'un logiciel audio et découvre le bruit très léger d'un drone, très difficile à détecter. Herbie parie que si l'agent se rend dans la cellule de Lu Fernan, il trouvera une fenêtre qui n'est pas scellée.
Gina Abbott est interrogée par Ressler et nie connaître Lawrence Nelson malgré plusieurs paiements directement de son compte bancaire vers le sien. Arrive Siya qui annonce que Lawrence est en garde à vue et qu'il l'accuse de diriger l'opération, qu'elle fournit les prisonnier via des drones et affirme qu'elle est The Postman. Paniquée, elle dit ne rien savoir sur la contrebande et ne jamais avoir rencontré l'homme. Elle avoue toutefois acheter des choses pour lui, des sacs contrefaits au début, puis des choses plus variées comme des médicaments, des jouets high-tech, des armes. Elle n'a jamais rien demandé car elle est bien payée, elle n'est qu'un intermédiaire parmi d'autres. Il lui envoie des demandes de contrebande avec des lieux de dépôts, des endroits différents à chaque fois. Elle souligne la particularité de ses récentes demandes, du genre scientifique comme du matériel de chimie et des produits chimiques que l'on ne trouve que dans un laboratoire. Elle leur en donne la liste.
Cooper rend visite au directeur du Pittman Correctional Institute où était incarcéré Lawrence Nelson. Celui-ci se souvient bien de ce jeune gamin, brillant, travailleur, transféré ici d'une prison de haute sécurité assez difficile pour bonne conduite, puis libéré pour la même raison. Il a obtenu un diplôme en génie électrique pendant qu'il était incarcéré. Cooper apprend que c'est son compagnon de cellule qui l'a inspiré, un chimiste lui aussi brillant et toujours sous les barreaux dans cette même prison. Le directeur ajoute que Lawrence a toujours clamé son innocence pendant 25 ans.
Au Bureau de Poste, Herbie étudie la liste des articles fournie par Gina Abbott. Si tout d'abord il pense que l'équipement de chimie est destiné à la fabrication de médicaments, il change vite d'avis en voyant un autre élément envoyé en contrebande : des chapelets. En effet, en tant qu'objets religieux, ils ne sont pas interdits en prison. Après une évocation de souvenir d'enfant, Herbie en vient -enfin- au fait. Ces chapelets sont particuliers et proviennent des Philippines avec des perles fabriquées à partir des graines de la vigne abrus precatorius : l'abrine, l'une des toxines les plus dangereuses de la planète, en est extraite. L'abrin est 75 fois plus mortel et bien plus rare que la ricine. Et il n'y a pas d'antidote. Il faut broyer les graines et les traiter avec de l'hydroxyde de sodium et de la méthyléthylcétone, éléments qui figurent tous les deux sur la liste de contrebande du Postman, pour obtenir de l'abrine. Le constat est sans appel, Lawrence Nelson aide un prisonnier à fabriquer une toxine mortelle et en grande quantité : des milliers de personnes pourraient mourir. Heureusement, Herbie remarque un autre détail : certains numéros de commande se répétent. Dembe fait immédiatement le lien, ce ne sont pas des numéros de commande, mais de prisonnier : le nombre de prisonniers varie d'un État à l'autre, mais tous sont uniques. Grâce à l'un d'eux, ils remontent jusqu'à Eugene Campos, l'ancien compagnon de cellule de Lawrence Nelson qui est chimiste. Immédiatement, ils préviennent Cooper qui se trouve toujours à la prison de fédérale Pittman Correctional Institute. Le chef de la Task-Force prévient le directeur de la menace et sa cellule est fouillée. Sans succès, il a déjà renvoyé la toxine par drône à Lawrence Nelson qui l'a réceptionné sans problème.
Au Bureau de Poste, l'équipe doit revoir l'affaire différemment : Lawrence Nelson aidait à fabriquer de l'abrin mais pas pour être utilisé en prison. Eugene Campos refuse de dire pour qui ou pourquoi il a fabriqué cette substance mortelle tellement fine qu'elle peut être aérosolisée.
Cooper contacte Reddington afin de savoir si le criminel a entendu des bruits sur quelqu'un qui cherche à acheter ce genre d'arme chimique. Red suggère que peut-être Lawrence Nelson la veut pour lui-même, ajoutant que Cooper le connaît mieux que lui. Le chef de la Task-Force comprend que Red sait depuis le début qu'il a été juré dans son procès et ajoute que la décision d'envoyer un homme en prison a été difficile pour lui l'époque, mais qu'à présent cette décision semble la bonne puisqu'il se comporte comme un criminel. Red le reprend et il parle par expérience : parfois des forces bien plus importantes conduisent des personnes dans ces eaux, contre leur volonté. Quoiqu'il en soit, l'homme est à présent en possession d'une arme chimique qui pourrait tuer des centaines de personnes. Une fois de plus, l'esprit de Cooper vagabonde 25 ans plus tôt au moment où il s'est laissé convaincre que Lawrence Nelson ne pouvait être que coupable et qu'il a voté dans ce sens, malgré ses doutes.
En parcourant les anciens dossiers de Lawrence Nelson, Cooper découvre l'adresse d'une cabane située au 1414 Tuckahoe Road. Ressler et Malik sont envoyés sur place.
Pendant ce temps, dans ladite cabane, The Postman se prépare à partir avec une dizaine de flacons de produit toxique et un masque facial. Lorsque le FBI arrive, il n'est plus là. Le seul indice est le schéma d'un bâtiment à Baltimore, mais pas d'adresse précise. C'est en étudiant d'ancien dossier au Bureau de Poste que Cooper pense savoir de quel endroit il s'agit : le bureau du procureur général Christopher Jay est justement au centre-ville de Baltimore. C'est lui qui était procureur de la ville et qui a envoyé Lawrence Nelson pendant 25 ans en prison. A présent, après avoir étudié les dossiers, Cooper est même presque prêt à parier que l'homme était innocent, que son témoin principal n'était pas fiable et que Jay a détourné la tête. Si Lawrence Nelson l'a appris, aucun doute qu'il veut sa revanche.
Pendant ce temps, Lawrence Nelson donne quelques instructions à ses employés : ils l'enferment dans une énorme caisse avec l'arme chimique alors qu'il revêt son masque. Ils doivent se rendre directement au quai de chargement du 200 Saint Peter Place.
Cooper téléphone à Reddington et lui apprend où Lawrence Nelson se rend avec l'arme chimique et sa cible, le bureau du procureur général. Il précise que le bâtiment est évacué, mais qu'ils ont toujours un fou avec une arme chimique qui se balade en ville, et aucun moyen de savoir quelle sera sa réaction s'il est acculé. Tout ce qu'ils savent, c'est que Lawrence a sans doute l'intention d'entrer dans les locaux. Le criminel fait remarquer qu'il ne peut pas passer par la porte principale et que les seules personnes qui travaillent sur les tuyaux et les évents de la ville sont la section locale 4809. Le hasard fait qu'il y connaît quelqu'un et peut se renseigner. Et en effet un certain Alonso, patron de ladite section locale, l'informe de qui peut livrer des caisses dans le bâtiment.
Lawrence Nelson est toujours dans sa caisse en bois, transporté par ses complices à l'endroit demandé...sauf que lorsque la caisse s'ouvre, c'est pour se trouver face à des officiers du SWAT et de Cooper, au Bureau de Poste. En effet, les gars de Reddington ont saisi le véhicule et l'ont fait livrer là. Il est arrêté tandis que l'engin contenant les flacons de poison sont mis en lieu sûr afin d'être démonté. Herbie regrette de ne pas avoir pu observer, mais espère pouvoir jeter un coup d'oeil aux preuves avant qu'ils ne se débarrassent du réservoir d'aérosol parce que, pour lui, ce doit être une belle pièce d'ingénierie. Dembe lui fait miroiter l'idée de pouvoir garder un drône. Bien sûr, Herbie déchante en apprenant qu'il plaisante.
Cooper décide de parler avec Lawrence Nelson. Mais il ne veut pas parler de l'affaire actuelle, mais bel et bien de celle d'il y a 30 ans. Il a découvert une transcription de la première conversation de son ancienne petite amie avec la police la nuit du meurtre de Carrie Baker, la même conversation qui a fait d'elle le témoin vedette contre lui au tribunal. Cette transcription aurait dû être remise à votre avocat, mais ça n'a pas été le cas. Le fait est qu'il n'y est jamais cité ! Lawrence Nelson apprend que la jeune femme faisait l'objet d'une enquête pour des accusations de drogues et cela suggère qu'elle a peut-être témoigné contre lui dans le cadre d'un accord de contrepartie orchestré par le procureur. Elle avait peur d'aller en prison et l'a envoyé lui à la place. Cooper ajoute que le procureur, Christopher Jay, avait des ambitions politiques, voulait améliorer le taux d'élucidation des homicides, alors son cas était une bonne occasion. Lawrence Nelson s'étonne que l'homme en face de lui connaisse aussi bien son dossier, et Cooper lui répond qu'il faisait parti du jury et qu'il a voté pour sa condamnation parce que les preuves étaient massivement contre lui. Il se rend compte à présent qu'il ne mentait pas lorsqu'il disait qu'il était innocent. Le chef de la Task-Force précise qu'ils doivent le tenir responsable pour ses nouveaux crimes, mais lui assure qu'il fera tout pour que l'original soit effacé de son dossier et que Christopher Jay soit tenu responsable de son incarcération. Pour Lawrence Nelson, cela ne fait aucune différence, ce qui n'est pas l'avis de Cooper, au contraire.
L'affaire terminée, Siya félicite Herbie qui propose qu'ils sortent pour fêter son premier cas. Plus exactement, il propose un bar qu'il connaît afin de faire une partie de baby-foot. Siya se débine, Ressler reçoit un appel et annonce qu'il doit partir. Herbie est déçu, mais Dembe lui annonce qu'il est partant, même s'il ne connaît pas le baby-foot, ce qui remonte grandement le moral d'Herbie. Tandis qu'ils partent l'homme, tout excité, explique à l'agent que comme le football c'est profondément technique, a une base de fans croissante en Amérique et revient sur ses origines dans les années 1890.
Ressler retrouve Jonathan Pritchard dans le même café. Il ne va pas bien, explique que le regard des autres toujours à l'affût de sa rechute le pèse et surtout que son ancien fournisseur l'a contacté : il lui montre le flacon de pillule qu'il lui a acheté. Ressler dit comprendre, ça fait parti du processus, Il prend les pillule et les vide dans son café. Pritchard lui fait remarquer qu'il viens de jeter 400$ de marchandises, et l'agent lui affirme qu'il recommencera autant de fois qu'il le faudra et lui dit d'arrêter de gaspiller son argent. Il commande d'autres cafés et lui annonce qu'il reste à ses côtés jusqu'à la réunion du soir.
Agnes étudie les maths dans la cuisine lorsqu'elle reçoit un appel vidéo de Pinky. Bien sûr elle est étonnée, et il explique que son ami Herbie lui a montré comment faire. Il lui demande si elle a reçu son cadeau et, effectivement, il l'attend sur le pas de la porte. Elle l'ouvre tout excitée tandis que Red s'explique sur son choix de présent : certes il n'y a pas d'animation, de lumières, de couleurs ni même de son, mais avec ce jeu, Madison n'aura aucune chance. Emerveillée, Agnes sort du paquet un magnifique jeu d'échec, mais déchante vite car elle ne sait pas jouer. Il lui propose de lui apprendre. La jeune fille s'inquiète, il va la battre et Red ne peut que confirmer tandis que Cooper entre dans la pièce. Il écoute le criminel répondre à Agnes que perdre sera décourageant pour elle, mais précise que ce qui est intéressant, c'est que chaque adversaire a exactement les mêmes informations, rien n'est caché, et que tout doit se faire sur le plateau et dans sa tête. Cooper la met en garde, même si elle pense avoir tout prévu, Pinky peut être roublard. Il y va de son conseil : elle devra non seulement penser plusieurs coup à l'avance, mais il faudra également qu'elle revoie chaque mouvement déjà effectué. Mais pour lui, jouer contre Raymond la rendra certainement plus affûtée. Estimant que c'est un peu comme des maths, il l'autorise à jouer un peu avant de sortir de la pièce. Immédiatement Red commence sa leçon.
Résumé proposé par mnoandco
