En dehors de Taiz, au Yémen, des explosions éclatent non loin d'un hôpital humanitaire. Le Dr Michael est au téléphone avec sa fiancée et lui annonce qu'il doit reporter leur lune de miel : le médecin qui devait le remplacer a annulé, il fera l'aller retour juste pour leur mariage. Il annonce surtout que sa mission va prendre encore 5 ou 6 mois, et qu'ils peuvent partir en voyage de noce à ce moment là. Bien sûr, la femme est mécontente mais leur conversation est interrompue par l'arrivée de soldats Yéménites qui le mettent aux arrêts, l'accusant d'être un terroriste.
Chez les Cooper, Harold se prépare à partir laissant quelques instructions à Agnes qui, malade, reste seule à la maison. A peine sorti par la porte principale, Red entre par la porte de derrière à la grande surprise de la jeune fille. Il lui explique qu'il a appris qu'elle se sentait mal et a décidé de lui tenir compagnie, et surtout de l'aider à récupérer grâce à la crème glacée pour le mal de gorge et de bons films qu'il a apportés.
Pendant ce temps, dans son bureau, le membre du Congrès Arthur Hudson a décidé d'examiner plus en profondeur le budget des dépenses discrétionnaires du FBI. Il y a découvert un mystérieux groupe de travail 836. Son intêret est piqué, cette équipe ne semble pas exister officiellement mais le Bureau dépense des sommes astronomiques pour elle. Il décide d'en apprendre un peu plus, pensant éventuellement à de la corruption, et décide de joindre Panabaker, le membre le plus important de la sécurité intérieure.
Au Bureau de Poste, Cooper s'inquiète car Reddington est toujours introuvable. Il a mis en place des dispositifs de surveillance autour de sa planque de Washington, mais toujours rien. Il souligne l'urgence de le trouver car il a reçu un appel de Cynthia l'informant des questions du membre du Congrès Arthur Hudson sur certaines dépenses du budget discrétionnaire du FBI qui indiquent l'existence de leur groupe de travail. Le soucis est que par le passé cette équipe est passée inaperçue en livrant des cas très médiatisés, mais récemment ce n'est plus le cas. Le chef de la Task-Force décide de ne plus attendre que le criminel se présente à eux et envoie Malik pour surveiller sa planque de New-York et lui dire, lorsqu'elle l'y verra, qu'ils ont besoin d'une nouvelle affaire, et vite. Pendant ce temps, Dembe reçoit un appel et annonce qu'il doit partir, sans autre explication. Ressler lui rappelle que la dernière fois qu'il a fait ça, il a été enlevé et torturé. Comme il fait la sourde oreille, il lui crie que s'il n'a pas de nouvelles toutes les demi-heures, il appelle le S.W.A.T. Cooper de son côté décide de rencontrer une vieille connaissance afin d'en apprendre un peu plus sur Hudson. Mais ce qu'il apprend n'est pas rassurant : Arthur Hudson est tenace, lorsqu'il renifle une affaire de corruption il ne lâche rien, il trouve et le fait savoir au monde entier. Il a construit toute sa campagne au Congrès autour de ça : il est dur, intelligent et ambitieux.
Flashback
Marseille France, 1992
Un jeune Dembe entre dans un café et commande un verre de Bourgogne. La jeune fille au bar, Aissa Joachim, refuse. Deux fois par semaine il vient s'asseoir là, commande un verre de vin et part sans l'avoir bu. Elle dit en avoir marre du gâchis et lui propose soit qu'il lui demande son numéro de téléphone, soit qu'il parte. Dembe cherche une raison pour venir lire dans ce bar à part elle, mais Aïssa n'est pas dupe : elle pense qu'il a peur de lui demander de sortir avec elle. Elle écrit donc son numéo sur un papier, le glisse dans son livre et se présente. Le jeune homme se présente également et promet de la rappeler.
Dembe frappe à la porte de Aïssa, inquiet, car il pense qu'il y a un problème avec Isabella ou Elle. Le femme lui apprend qu'il s'agit de son fiancé, Michael : il y a deux jours, il a été enlevé de sa clinique médicale à l'extérieur de Taiz par des soldats Yéménites. Elle a sonné à toutes les portes, le département d'état, l'ambassade, mais personne ne veut rien lui dire. Elle espère qu'avec ses contatcs au FBI, il pourra découvrir ce qu'il se passe. Elle le remercie surtout d'être venue, elle aurait compris s'il avait refusé.
L'agent Zuma téléphone à Ressler qui, curieux, en attendant d'avoir des nouvelles de leur contact au bureau qui gère les affaires d'otages, essaie d'en apprendre plus sur Aïssa, la mère de sa fille Isabella, et veut en savoir plus sur leur rencontre. Lorsqu'au Bureau de Poste le dossier du Dr Michael Albani apparaît enfin sur l'ordinateur, Ressler annonce que les nouvelles sont mauvaises : Michael est détenu dans une prison militaire, les Yéménites l'accussent de rediriger l'aide humanitaire de sa clinique vers un groupe de rebelles houthis. En clair, ils prétendent que c'est un terroriste. Malheureusement, même sans preuve, l'homme a été immédiatement jugé par un tribunal militaire : ils prévoient de l'exécuter dans 72 heures.
Dembe explique la situation à Aïssa qui comprend vite que le gouvernement américain ne bougera pas. Elle demande alors ce qu'il en est des gens qu'il connait dans le monde criminel, en particulier Raymond. Puis elle lui donne un nom, Jon Rapchinski, le directeur exécutif de l'ONG de Michael. Il est justement rentré du Yémen il y a quelques mois, il pourra peut-être le renseigner.
Flashback
Aïssa et Dembe déjeunent ensemble. La jeune fille a cuisiné et Dembe la félicite pour son délicieux repas. Mais elle s'interroge surtout de comment un étudiant universitaire peut s'acheter des vêtements de créateurs. Dembe explique que c'est un cadeau d'un ami nommé Raymond et qu'ils sont devenus proches au Kenya. C'est lui qui lui a donné la possibilité de poursuivre ses études en économie et histoire. Il se contente de lui apprendre que son ami est dans le commerce international, mais la demoiselle devine qu'il y a plus. Rassurante, elle lui dit qu'il n'est pas obligé de tout lui dire, mais ne doit jamais lui mentir.
Les agents Zuma et Ressler interrogent Jonathan Rapchinski, celui qui dirige l'hôpital où travaille le Dr Michael Abani. Il défend le médecin et leur apprend le nom de leur contact dans l'armée Yéménite, le lieutenant Abdul Hassan. Il ajoute que si Abani a voulu contacter les Houthis, il s'est sans doute tourné vers un certain Fadl Abou Saleh car, de source sûre, il travaille avec les rebelles.
Dans la cuisine des Cooper, Red tient toujours compagnie à Agnes : ils comparent des marques de crème glacée à la menthe et aux pépites de chocolat. La jeune fille désire savoir pourquoi c'est toujours lui qui vient la voir et pas l'inverse. Pinky lui explique qu'il n'a plus vraiment de maison : il en a vendu une, offertes plusieurs, et ne sait pas trop ce qui est arrivée aux autres. Agnes veut savoir pourquoi et il répond qu'il a décidé de lâcher prise sur certaines choses afin de mieux se concentrer sur d'autres qui le rendent plus heureux. Lorsque son téléphone sonne, il est mécontent, mais répond : Dembe a pris contact pour le joindre via un ancien système. Red le rappelle, lui indiquant que ce moyen de communications est uniquement pour les urgences, que s'il téléphone de la part d'Harold...mais l'homme l'interrompt. C'est pour Aïssa. Red tombe des nues. Après avoir entendu le résumé de l'affaire, malgré sa complexité dans un pays en conflit, le criminel promet son aide.
Ressler de son côté poursuit ses recherches et découvre que Michael a un compte dans une banque à Istanbul. Il a reçu plus de 200 000 $ au cours des six derniers mois en provenance de sociétés fictives associées aux mandataires iraniens soutenant les rebelles houthis. C'est clair pour lui, le médecin ne fournissait pas de fournitures aux Houthis par souci humanitaire mais pour devenir riche. Avec ces preuves, pour Dembe, c'est certain que le Département d'État ne négociera jamais sa libération et que les Yéménites l'exécuteront.
Flashback
Aïssa et Dembe discutent tranquillement du film qu'ils ont vu dans le bar où la jeune fille travaille. Elle lui demande de revenir plus tard, mais il explique avoir promis à un ami de l'aider à étudier. Elle lui propose alors de revenir après la fermeture car elle doit lui dire quelque chose, et promet de lui préparer sa fameuse omelette. Mais elle remarque surtout qu'il se mord la lèvre, signe chez lui qu'il est nerveux. Elle croit que c'est parce qu'il y a une autre fille. Dembe lui assure haut et fort que non et lui avoue qu'il l'aime. Elle répond qu'elle l'aime aussi.
Dembe montre à Aïssa des documents montrant les transactions bancaires de son fiancé mais la femme ne croit toujours pas qu'il soutenait le terrorisme. L'agent suggère que son équipe découvre tout le réseau de contrebande avec lequel Michael travaillait afin de convaincre les Yéménites de l'extrader vers les États-Unis. Aïssa est très énervée et décide de cuisiner son omelette pour se détendre. Elle exige que Dembe reste manger lorsqu'il annonce qu'il doit partir : lorsqu'elle sera calmée, ils parcoureront tous les dossiers jusqu'à ce qu'elle lui prouve l'innocence de Michael. Aïssa reçoit un texto et apprend à Dembe qu'Isabella et Elle vont passer pour le voir. L'homme remarque qu'elle a élevé une fille merveilleuse, mais elle lui rétorque que lui aussi a toujours été là pour elle. L'agent regrette toutefois de ne pas avoir été plus présent. Un peu gêné, Dembe reprend la lecture des dossiers et remarque un détail : Michael a effectué un retrait dans une banque à Istanbul le 28 octobre en personne … hors Aïssa vient de lui raconter qu'à cette époque elle et lui étaient à Chypre. C'est à présent certain, quelqu'un d'autre a accès au compte de Michael et les Yéménites sont sur le point de l'exécuter pour un crime qu'il n'a pas commis.
Flashback
Bien après la fermeture du Bar, Aïssa attend Dembe qui est en retard. Elle est persuadée qu'il ne viendra plus, lorsqu'il arrive enfin très nerveux, annonçant tout de suite qu'ils doivent partir, un avion qui décolle dans 36 minutes les attend. Il lui expliquera sur place. Elle refuse de le suivre sans explication mais comprend surtout qu'il lui a menti, il n'était pas avec un ami pour l'aider à étudier, mais avec Raymond. Elle devine que c'est un ciminel et lui demande s'il travaille pour lui. Le jeune homme répond que c'est compliqué, Raymond lui a sauvé la vie à Nairobi et lui a sauvé la sienne ce soir. Il était la personne la plus importante pour lui jusqu'à ce qu'il la rencontre. Il s'excuse d'avoir menti, mais Aïssa refuse de le suivre. Il part sans elle tandis que, bouleversée, elle fracasse un verre de vin par terre, en larmes.
Dembe espère convaincre les Yéménites de surseoir l'exécution mais pour en être certain, selon lui, il faudrait savoir qui gérait le compte bancaire. Avant de partir, Aïssa lui apprend qu'elle est fière de lui : quitter Raymond pour rejoindre le FBI n'a pas dû être facile, mais ajoute qu'elle a toujours su qu'il ferait quelque chose d'incroyable de sa vie. Elle promet d'attendre de ses nouvelles.
Mais les Yéménites ne veulent rien savoir, affirmant que leurs preuves prouvent seulement que Michael avait un complice, pas qu'il est innocent. Cependant, Ressler découvre en étudiant les dossiers de voyage de tous ceux qui avaient accès à la chaîne d'approvisionnement au sein de l'ONG que Jon Rapchinski s'est envolé pour Istanbul deux jours avant le dernier prétendu retrait de Michael, et aussi celui d'avant. Mais il a surtout réservé un vol pour le Liban 2 heures à peine après leur entrevue. Cooper lance un mandat et les agents se précipitent chez Rapchinski.
Entretemps, Aïssa s'est tournée vers Jon Rapchinski pour obtenir de l'aide, plaidant la cause de son fiancé : quelqu'un de l'ONG l'a piégé. L'homme promet une liste de noms. Toutefois Aïssa remarque sa valise et son passeport dans le couloir. Elle comprend alors que c'est lui le coupable. Elle prétend avoir oublié son téléphone dans sa voiture, mais Rapchinski n'est pas dupe et l'attaque, s'excusant, disant qu'il n'a jamais voulu ça, qu'il avait peur et que c'est pourquoi il a donné le nom de Michael à la banque, mais refuse de se livrer. Aïssa frappe son agresseur avec un objet, tente de fuir, puis se retouve plaquée au sol, ses mains autour de son cou.
Dans la voiture qui les emmène chez Rapchinski , Dembe tente, sans succès de joidre Aïssa. En désespoir de cause, il téléphone à Isabella. Justement, elle vient d'arriver avec Elle chez sa maman et panique en entendant l'urgence dans la voix de son père. Ella remarque un mot sur la table indiquant que la femme est allée voir un certain Rapchinski. Il ne peut que dire à sa fille que sa maman a des problèmes et qu'il la rappelera, avant de raccrocher.
Enfin les agents arrivent chez Rapchinski. Dembe se précipite à l'intérieur, craignant le pire. Mais Aïssa est saine et sauve. Ils se prennent dans les bras tandis que Ressler vérifie l'étage. Jon n'est plus là et la femme leur apprend qu'elle a eu l'aide d'un « ami ».
Dans son jet, Red est au téléphone avec le général Tamer Thabit, une de ses connnaissances. Il sait qu'il approvisionne trois régiments d'infanterie pour un coût pour lui et ses bailleurs de fonds saoudiens d'un peu plus de 2 millions de dollars américains par mois. Il est prêt à réduire ses coûts de moitié en échange de la liberté de Michael Abani. Le général refuse, c'est un terroriste. Mais le criminel lui propose de l'échanger contre l'homme qui réellement approvisionnait ses ennemis, Jon Rapchinski assis à quelques rangées de lui, menotté. De tête, il lui calcule une économie de plus de 11 millions de dollars par an qu'il pourrait dépenser comme bon lui semble. Le général accepte.
Flashback
Les mois ont passé. Aïssa travaille toujours au même bar lorsque Dembe se montre et commande un verre de Bourgogne. Elle est soulagée de le voir en vie, lui avoue qu'elle ne pensait pas le revoir un jour. La porte s'ouvre et une femme entre avec un bébé dans les bras. Aïssa se précipte vers l'enfant, la prend dans ses bras amoureusement. Se retournant vers Dembe, elle lui présente Isabella, sa fille qui vient d'avoir 14 mois. C'est la nouvelle qu'elle voulait lui annoncer le soir de son départ. Le jeune homme est entre choc, joie et tristesse de ne pas avoir été là, mais il assure qu'il le sera à présent. Aïssa lui annonce son départ à la fin du mois pour les Etats-Unis où elle a obtenu un poste de chercheur. Dembe veut l'accompagner mais elle refuse. Elle refuse d'être obligée de tout abandonner au milieu de la nuit parce qu'il a été repéré, de déménager vers une nouvelle ville, de changer de nom. Ce n'est pas la vie qu'elle veut ni pour elle ni pour leur fille. Elle lui propose de tenir Isabella et, s'il répond qu'il en a très envie, il préfère partir sans l'avoir fait.
Dembe reçoit un appel de son ancien patron. Le Dr Abani est libéré et se trouve dans un hôpital à Sana'a. Il a quelques côtes fêlées et une bosse de la taille d'une prune à l'arrière de la tête, mais en dehors de ça, il va bien. Quant au Dr Rapchinski, il lui apprend qu'il sera à Riyan dès le lendemain : le général Thabit lui a assuré que les Yéménites ne demanderaient pas la peine de mort pour lui, à condition qu'il dénonce ses collaborateurs iraniens, ce qu'il fera sans aucun doute avec empressement. Dembe refuse de penser à ce qui serait arrivé si Raymond ne s'était pas montré à temps et celui-ci comprend qu'il est toujours amoureux de la femme, ce qu'il confirme. Le criminel est triste et veut s'assurer qu'il sait qu'il ne lui en aurait pas voulu si cette nuit là il n'était pas revenu vers lui à l'aérodrome. Dembe dit le savoir, comme il le savait à l'époque, puis en revient au problème concernant le membre du Congrès qui enquête sur la Task-Force : il doit absolument parler à Harold.
Au Bureau de Poste, Cooper et Ressler s'inquiètent des investigations d'Hudson. S'ils sont obligés de lui donner leurs dossiers, il découvrira vite que Raymond Reddington a fait irruption dans une installation secrète du FBI, a assassiné deux hommes et a corrompu tous leurs dossiers. Il peut les réouvrir même. S'ils veulent survivre, ils doivent prouver qu'ils sont indispensables, ce qui va être compliqué vu que Reddington ne leur donne plus de cas et qu'ils ne savent même pas où il est à l'heure actuelle. Pour l'agent, peut-être qu'aider son ancien acolyte l'a motivé, mais il n'y croit guère. Cooper acquiesce, et il n'y a aucun moyen d'obliger Reddington à faire ce que eux veulent, quand ils le veulent mais il doit au moins savoir qu'ils attendent sur lui.
Dembe entre dans l'appartement d'Aïssa alors qu'elle essaie de fermer sa valise : elle rejoint Michael qui est en route pour l'Allemagne. L'homme tient à la main un cadeau pour Ella, et il apprend qu'elle et sa maman sont parties chercher à dîner. Il aide Aïssa à fermer sa valise et leur proximité les trouble. Les yeux dans les yeux, il souligne qu'il est content que Michael soit en sécurité, mais pas qu'ils soient à nouveau réunis. Aïssa lui offre de rester afin de donner lui même son présent à sa petite-fille. Dembe répond qu'il ne veut pas s'imposer, et la femme se contente de lui répondre que ce n'est pas le cas, ajoutant qu'Elle sera ravie de le voir. Elle lui demande de rester.
Cooper arrive chez lui et prend un glace dans le congélateur lorsque Agnes arrive. Il constate qu'elle va mieux, mais dit être étonné : il ne se souvenait pas avoir acheté autant de crèmes glacées à la menthe et aux pépites de chocolat. La jeune fille lui apprend alors que Pinky les a apportées, il est arrivé juste après son départ. Cooper est déçu qu'elle ne sache pas où il se trouve actuellement, mais Agnes souligne surtout son comportement plus étrange qu'à l'ordinaire : c'est comme s'il cherchait quelque chose qui est déjà là et que quand il s'arrêtait de chercher, ce quelque chose le heurtait. Comme dans « Charlotte's web », elle suppose qu'il est question de la vie et de la mort. Harold ne peut que confirmer que pour Pinky, il a toujours été question de vie et de mort, et réalise qu'effectivement à présent, c'est plus marqué qu'avant. De but en blanc, Agnes lui demande s'il l'aime. Il répond que surtout il le met en colère, lui donne du souci et qu'il ne le comprend jamais ...mais que d'une certaine manière, oui. Pour Agnes, c'est évident, comment ne pourrait-il pas l'aimer : il est si doux et câlin, comme lui.
Un fois seul, Cooper sourit à l'idée d'un Reddington doux et câlin.
Résumé proposé par mnoandco