L'employée de Neville Townsend, Blake Brown, conduit Liz à son patron, comme demandé. Liz se demande s'il suffit qu'il claque des doigts pour être obéi, et la femme lui répond qu'il vaut mieux.
Dans la pièce, avec horreur, Liz voit 4 hommes à genoux, un sac plastique sur la tête en train d'étouffer. Il est mécontent que Reddington lui ait échappé au Kansas et se moque de ce que ces hommes lui disent, qu'ils feront mieux la prochaine fois, qu'ils ont une famille...et lui alors, sa femme, ses enfants ! Townsend poignarde l'un des hommes sur le côté et Liz le traite de fou avant qu'elle aussi soit jetée à genoux. Un, puis deux, puis trois des hommes tombent inanimés...ou morts ? Pour Townsend, c'est s'être associé avec elle qui est fou, un agent du FBI ! Townsend fait signe à l'un de ses hommes, qui jette un sac en plastique sur la tête de Liz. Il poursuit : elle lui a dit que Reddington était chez sa petite amie, l'avait sous la menace d'une arme et il s'est malgré tout échappé, il ne sait pas comment. Pourquoi n'a-t-il pas ce qu'elle lui a promis ? Townsend retire le sac de la tête deLiz qui halète, tousse lui disant qu'elle a une piste qui prouve que N-13 est en communication avec les Russes. L'homme saisit Liz par le menton : il lui laisse une chance mais ne doit plus le décevoir. Les quatre hommes sont à présent tous évanouis.
Dans un parc, seul, Red se souvient d'Anne, de quelques scènes heureuses mais aussi tragiques quand elle tombe et se heurte la tête puis qu'il la supplie de rester éveillée. Dembe s'approche, lui apprenant qu'un certain Belsky veut les voir en urgence, des informations qui concernent Townsend et Elizabeth. Paula, la maman de Glen, veut les voir également les appelant Dembe et Raymond à leur grande surprise, et non pas par leur alias. Lorsque le criminel dit que Anne avait, a une fille, son ami lui conseille de passer à autre chose.
Red et Dembe rendent visite au professeur Belsky qui autrefois travaillait pour la huitième direction (division du KGB qui contrôlait les communications nationales, étrangères et outre-mer, les équipements cryptologiques, la recherche et le développement). Celui-ci leur donne un message crypté, qu'il a trouvé par hasard sur une publicité :
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Bien sûr, Cooper tombe des nues lorsque le criminel lui montre le message, ne comprenant pas où il veut en venir jusqu'à ce que Red lui explique que c'est un message codé qu'utilisent sans doute Townsend et Elisabeth pour communiquer avec un associé. Pour déchiffrer le message, ils doivent se procurer une machine de décryptage mais la seule machine qu'il connaît et qui en est capable est au musée de Minsk. Pour aider à la Task-Force à la subtiliser, il a tout simplement offert au musée une peinture volée, ce qui donne une bonne excuse au FBI de se rendre sur place pour vérifier l'information.
Au Bureau de Poste, Aram présente la machine de chiffrement qu'ils doivent voler et son fontionnement complexe. Leur plan est de l'échanger contre une copie. Cooper décide d'agir le vendredi soir, car le musée organise sa collecte de fonds et n'appréciera certainement pas l'intrusion du FBI à cette occasion et coopérera d'autant plus facilement pour ne pas faire fuir les donateurs.
Pendant ce temps, en parallèle, Liz prépare une opération avec Max Ruddiger car, elle aussi, veut se procurer la machine. Il montre son petit jouet capable de percer la roche (ici un mur en l'occurance) en utilisant des vibrations ultrasoniques. Ensuite, il y dépose un agent, une sorte de gel qui va chauffer, se dilater et enfin exploser...enfin, normalement parce que pour l'instant...non. Liz décide d'explorer en attendant les autres possibilités d'accès. Esi lui parle d'une femme, Silva Terzian, dont elle a repéré la routine, afin de copier son badge d'entré au musée. Enfin, l'agent explosif de Ruddiger explose. L'essai est validé.
Au musée de Minsk, en Biélorussie, Cooper, la Task-Force et le FBI font irruption en pleine réception le vendredi, comme convenu. Cooper montre une photo de Reddington à la responsable, expliquant que le musée aurait accepté un tableau volé d'un criminel notoire. Il menace d'appeler INTERPOL à moins qu'elle ne coopère en montrant à son équipe les flux vidéos tandis qu'il demande à voir le tableau, un Cézanne.
A l'extérieur du musée, Liz et Max utilisent la carte de Silva Terzian pour entrer tandis qu'Esi supervise de l'extérieur, les guidant dans les sous-sols jusqu'à la chaufferie. Arrivés à l'endroit voulu, une échelle est installée et Max Ruddiger commence à percer le plafond avec sa perceuse à ultrasons .
Tandis qu'Aram s'occupe d'aller voir les flux vidéos, Park et Ressler, sous un faux prétexte, se rendent où se trouve la machine afin de l'échanger tandis que leur collègue trafique les caméras de sécurité l'entourant afin qu'ils le fassent sans risque. Aram se fait malheureusement repérer dans le couloir par Liz et l'ex-agent en conclu que Reddington a envoyé la Task-Force pour la contrer.
Tandis que Liz supplie Ruddiger de se dépêcher, elle reçoit un appel de Townsend lui disant qu'il a rêvé d'elle. Elle essaie de lui expliquer que ce n'est pas le bon moment, mais il poursuit. Il était à un mariage, sur le point de saluer les mariés, mais tout le monde pleurait et soudain il a réalisé que c'était un enterrement, celui de Reddington. Et elle lui tenait la main. Pour lui, c'est un signe en leur faveur.
Ressler et Park attendent le feu vert d'Aram pour échanger la machine lorsqu'il leur apprend, surpris, que les capteurs sous l'appareil sont déjà désactivés. Ils s'apprêtent à vouloir faire l'échange lorsque le sol vibre puis s'effondre, faisant tomber la machine et son socle à l'étage juste en dessous, où Liz et Ruddiger n'ont plus qu'à la saisir sous leurs yeux effarés, et fuir.
Mais Max se rend soudain compte qu'il a oublié le badge à la chaufferie et ils ne peuvent pas passer la sécurité sans. Il fait demi-tour pour allé le chercher tandis que Liz poursuit son chemin avec la machine et tombe sur Park. Les deux femmes se battent et, sans Ruddiger, enfin revenu qui l'assome, l'agent du FBI aurait eu le dessus.
Pendant ce temps, Cooper admire tranquillement le Cézanne, ignorant de ce qui se joue au sous-sol.
Ruddiger part devant. Lorsque Liz veut récupérer le sac avec la machine tombé plus loin, elle constate avec horreur que Ressler l'a précédé. Elle le vise de son arme et le supplie de lui laisser le sac sinon, elle est morte. Elle ne comprend pas lorsqu'il lui dit que la machine va lui permettre à elle et Townsend de décoder leurs messages. Comme Esi la presse de fuir, elle part sans la machine. La Task-Force rebondit rapidement et met en place la fausse pour leurrer les employés du musée tandis qu'Aram part tranquillement avec la véritable machine à décrypter.
Red et Dembe sont assis à la table de la salle à manger de Paula Carter, la mère de Glen Carter, le traqueur de Red, maintenant décédé. Sachant qu'elle sait pertinemment qui ils sont, Red désire savoir comment elle l'a appris. Elle leur présente un mémoire écrit par Glen qu'elle a découvert sous son lit et intitulé « My man Ray ». Ce manuscrit raconte leur temps ensemble. Pour elle, cela a plus de sens que son Jelly Bean muse de Huey Lewis. Elle explique que depuis la mort de son fils et sans ses revenus, tout en faisant attention, elle est un peu juste dans son budget malgré un emploi à temps partiel dans une compagnie de téléphone. Elle voudrait que le criminel lui prête 172$. Bien sûr, elle lui remboursera avec les intêrets d'une manière ou d'une autre! Red sort une liasse de billet et lui donne bien plus, pour sa discrétion. Comme elle refuse autant, il lui propose d'acheter le manuscrit. Mais l'intêret du criminel a été attiré par un autre détail : la vieille femme travaille 18 heures par semaine à la compagnie de téléphone. Grâce à elle et son efficacité, il découvre l'adresse, la date de naissance et le numéro de téléphone d'Emma Foster, la fille d'Anne.
Liz contacte Ressler et lui apprend que Reddington leur ment, ayant raconté que la machine était destinée à l'aider à lire les messages entre elle et Townsend, mais c'est faux. Elle voulait la machine pour lire ses messages à lui, ceux qui paraissent dans les petites annonces du Washington Post. Son unique but était de la contrer afin qu'elle ne prouve pas qu'il parle aux russes et donc qu'il est N-13. Elle le supplie de le croire.
Ressler annonce à l'équipe et Cooper que Liz et lui veulent convenir d'un rendez-vous. Si Park pense qu'elle veut détruire l'appareil pour ne pas qu'ils lisent ses messages avec Townsend, Ressler affirme qu'elle veut l'utiliser pour prouver que Reddington communique avec son gestionnaire russe. Les avis sont partagés et vont bon train entre Park réticente et Aram sceptique. Le chef de la Task-Force coupe court à la conversation : il faut écouter ce que Liz a à dire, s'il y a une chance qu'elle prouve que Reddington est un espion. Il est décidé que Ressler aille seul pour rencontrer l'ex-agent. Ce que l'agent ne sait pas c'est que , derrière son dos, Cooper prévoit une équipe d'intervention.
Red se rend chez la fille Anne se présentant comme l'avocat qui gère sa succession. Mais Emma ne savait même pas que sa mère était morte.
Ressler se rend dans un parc et suit les consignes de Liz et Esi. Pendant ce temps, le FBI a mis, sous les ordres de Cooper, en place une équipe de surveillance, prête à intervenir.
Ressler trouve Liz assise sur un banc, près d'une fontaine. Il s'assoit à ses côtés et sort la machine à décrypter de son sac. Ce qu'elle ne comprend pas, c'est comment le criminel a su qu'elle serait à Minsk. Son ancien collègue ne peut pas la renseigner. Sur la machine, ils enregistrent un message codé et s'ils parviennent à le lire, ils pourront déchiffer tous les suivants : celui-ci provient d'un petit carnet qui appartenait à sa mère. Mais au lieu de lettre, c'est une suite de chiffres qui apparaît. Liz ne comprend pas mais surtout, finit par remarquer l'équipe du FBI et fuit. Se rendant compte de ce qui se passe, Ressler lui court derrière disant qu'il a été trompé, qu'il n'y est pour rien. Il pense rattraper Liz mais c'est un leurre, habillé de la même manière. Mais il y en a beaucoup d'autres et Liz parvient à quitter le parc sans encombre.
Emma a fait entrer celui qu'elle pense être l'avocat de sa mère lui expliquant qu'elle allait hérité de 3 millions de dollars. La femme n'en revient pas mais est prudente : sa mère lui a dit être amoureuse d'un fugitif et elle pense que cet argent vient de lui. Sa mère l'a appelé la semaine précédente, lui a raconté qu'elle était en danger mais elle aussi : c'est pourquoi elle s'est cachée dans cet appartement en attendant de ses nouvelles. Si l'argent vient de ce criminel, elle n'en veut pas. Red lui explique que sa mère voulait surtout qu'elle ait tout ce qu'elle désire : peu importe ce qu'elle fait de cet argent, elle peut payer ses factures, s'acheter ce qu'elle veut, le donner même à une œuvre de bienfaisance.Il explique que sa mère est morte dans un accident, non pas causé par le criminel mais dont il est responsable. Il est persuadé, qu'un jour, il (lui) aura ce qu'il mérite.
Après avoir réfléchi, Liz se doute que c'est grâce à Belsky que Reddington savait qu'elle allait à Minsk, c'est la seule option. Liz va le confronter. Il explique qu'il tient à la vie et que le criminel lui avait demandé de l'informer dès que quelqu'un se renseignerait sur un code nécessitant la machine à crypter. Donc, après qu'elle soit venue lui demander conseil pour ses messages, il l'a appelé. A sa description, le criminel a su que c'était elle. Mais Liz ne comprend pas pourquoi le message n'est pas déchiffé. Belsky lui explique qu'elle a besoin de clés et que seule la personne qui a crypté les messages les ont.
Cooper rejoint Reddington avec la machine. Il lui indique comment l'utiliser avec le message de « Madame Zorba ». Comme pour Liz, une suite de chiffre sort. Le criminel lui explique alors qu'il faut substituer chaque chiffre à la lettre de l'alphabet correspondant.
Au Bureau de Poste, Cooper annonce le contenu du message de Reddington : l'adresse d'un entrepôt abandonné avec une date et une heure. Il révèle également comment chaque numéro représente la lettre correspondante de l'alphabet. Il voit le désarroi de Ressler et dit comprendre mais l'agent est fâché. Tout ce que eux voient, c'est que Reddington a dit la vérité et Liz non. Il n'est pas d'accord, ce n'est pas ce que cela semble être. Il part.
Paula Carter se présente dans la cuisine de Red avec Dembe. Le criminel lui propose un emploi, fournisseur de services, comme Jelly Bean, pour trouver des gens. Il lui explique ce qu'il attend d'elle.
Liz contacte Ressler qui lui explique qu'il a été utilisé pour l'attirer à ses dépends. Mais à présent, il sait comment déchiffrer la suite de numéro, Reddington leur a dit comment faire, en utilisant la substitution alphanumérique...mais cela ne donne rien. Jusqu'à ce que Liz ait une révélation : Reddington a utilisé l'alphabet anglais pour les tromper, mais il faut utiliser l'alphabet cyrillique.
Pendant ce temps, dans un lieu inconnu, l'ami de l'est envoie et reçoit des messages issus d'un journal, dont le plus récemment déchiffré indique, en russe, que le leurre a fonctionné et la situation évitée.
De son côté, Liz déchiffre son propre message en russe et le traduit : «Il est temps. Mobiliser les actifs. » Ils ne savent pas de quoi il est question, mais c'est bien la preuve qu'ils voulaient incrimant Reddington.
Liz fait irruption dans la chambre de Neville Townsend tandis que ses hommes le saisisse et lui mettent un sac plastique sur la tête. Elle lui apprend qu'elle a la preuve que Reddington est N-13, qu'il est responsable de la mort de sa famille et que sa mère était innocente. Alors qu'il étouffe, elle lui enlève le sac et le prévient : il ne doit pas la menacer, ils sont partenaires, elle ne travaille pas pour lui. Elle part, le laissant là, en claquant la porte.
Résumé proposé par mnoandco