Red et Weecha entrent par effraction dans le bureau de Reginald Cole. Le FBI l'a déjà fouillé, mais Red pense que quelque chose va peut-être attirer son attention. De plus, ils n'ont aucune autre piste sur le tireur, les douilles, la moto qui est sans doute déjà en pièce. La femme, tout en cherchant, remarque que ses ennemis se donnent beaucoup de mal pour lui échapper et qu'il serait plus facile pour eux de le tuer. Le criminel pense qu'ils ont peut-être besoin de lui, qu'ils le gardent pour quelque chose de spécial et Weecha que c'est parce qu'ils l'aiment...où les 3 ajoute Red. La femme trouve une clé qui n'a rien à faire dans le bureau d'un ancien officier du NYPD véreux, celle d'un coffre-fort qui se trouve à l'intérieur de l'une des installations de sécurité les plus inaccessibles et les plus énigmatiques au monde. Red le sait, parce que lui aussi y a un coffre.
Avant sa mise en accusation, Charlene et Harold se retrouvent quelques instants, seuls. Cynthia a veillé qu'aucune accusation ne soient portées contre la femme mais celle-ci reproche à Reddington d'être à l'origine de leurs ennuis. Son mari lui fait remarquer que non, c'est ses actions qui l'ont conduit là. Il a bon espoir d'être libéré sous caution vu ses états de service. Charlene demande à son mari d'arranger les choses pour elle, mais surtout pour Agnes.
Devant le juge, Cooper plaide non coupable et son avocat demande sa libération sans caution, mettant en avant sa carrière exemplaire au service de la loi. Mais le procureur en a décidé autrement, soulignant surtout que depuis 10 ans, personne ne sait ce qu'il fait exactement et que le risque de fuite est grand. Le juge fixe une caution de 300 000$ et annonce le procès dans 6 semaines. En attendant, le directeur adjoint du FBI est mis aux arrêts. Charlene est désespérée, Cynthia s'excuse de ne pas avoir fait plus et l'agent Mojtabaï apprend que son chef l'a désigné pour prendre sa place. La sénatrice ne peut qu'ironiquement lui souhaiter bonne chance.
Reddington retrouve Helen Maghi qui refuse ses appels et semble se cacher. Elle désire toutefois savoir ce qui lui vaut sa visite indésirable. Il lui explique qu'il a trouvé une clé de Mount Bastion chez un flic et qu'il doit entrer dans le coffre afin de découvrir ce qui s'y cache. La femme refuse, elle a des préoccupations plus pressantes, le FBI en a après elle. Le criminel propose qu'ils se rendent mutuellement service.
Au Bureau de Poste, Red arrive et félicite Aram pour sa nouvelle fonction, y allant de son petit conseil. Il profite surtout de cette occasion pour présenter un cas inhabituel de la Liste puisqu'il faut lui éviter la prison pour qu'elle les aide : Helen Maghi, l'une des ingénieurs en structure et géotechnique les plus accomplis au monde.
Aram sort son historique et le CV de la femme est impressionnant. Par exemple, lors de l'invasion de l'Irak, elle a conçu un pont flottant pour transporter des chars et des véhicules blindés lourds à travers l'Euphrate dans l'obscurité de la nuit.Mais pour le criminel, son couronnement est Mount Bastion. À l'aide de techniques de forage exclusives, elle a creusé une montagne de granit massif de Pennsylvanie pour créer une installation de stockage imprenable privilégiée par l'élite criminelle, avec plus de garanties et de redondances que le US Bullion Depository...et il veut y entrer, ce qui n'est possible qu'avec son aide. Il explique la clé découverte chez Reginald Cole, et surtout que jamais un ancien policier n'aurait pu en avoir une. Elle appartient donc certainement à son employeur, le maître chanteur d'Harold et le tueur d'Elizabeth. Helen Maghi accepte d'aider si il l'aide, et c'est là que la Task-force entre en jeu : elle a fourni des services d'ingénierie à une équipe de cambrioleurs travaillant dans le port de Virginie et ils ont été arrêtés. Mais ils se retournent contre elle. Aram envoient Ressler et Zuma enquêter sur l'affaire pour en apprendre davantage sur le cas d'Helen Maghi et voir ce que le FBI a exactement contre elle.
Les agents Ressler et Zuma rencontrent leur collègue du FBI, l'agent Aronson. Elle leur explique, images à l'appui, qu'elle n'est pas une complice mais bel et bien l'instigatrice du vol de 6 caisses de RPG (Rocket-Propelled Grenade). Selon leurs suspects, la femme prévoit de les expédier aux forces séparatistes à Kazban. Pour faire simple, elle arme des terroristes.
Cooper est libéré grâce à un mystérieux M. Homan (Red) qui a payé sa caution et il peut rentrer chez lui. Il annonce à son épouse qu'il compte passer un accord avec le procureur : il veut plaider coupable de complot et ne risquer ainsi que 2 ans. Charlene refuse, il est innocent. Mais Harold lui fait remarquer qu'il en risque 15 car qu'il a trafiqué des preuves, fait disparaître des témoins, l'a laissé mentir pour lui. La meilleur façon de tout arranger pour elle et Agnes est de passer un accord. Toutefois, il pose une condition à son avocat : il ne témoignera pas contre Lew Sloan, certain que lui en fera de même pour lui.
Dans son camping-car, Red tient un œuf contre son front, rappelant les pratiques chamaniques de Mierce : cette pratique permet de transmettre à l'oeuf toutes ses mauvaises ondes. Weecha lui amène un verre d'eau afin de lire le résultat, mais le criminel lui répond que ce n'était pas son but, il voulait se souvenir. Il avoue tristement que Mierce lui manque. Il reçoit alors un appel d'Aram qui lui apprend qu'Helen Maghi est une terroriste. Le criminel n'y croit pas, ses complices ont certainement exagéré son implication. L'agent rétorque qu'il ne dramatise pas et le criminel lui répond qu'ils ont besoin d'elle pour obtenir les informations dont ils ont besoin pour venger Elisabeth et libérer Harold. Le FBI doit se désintéressé d'elle pour cela. Le criminel lui conseille de relativiser lorsqu'Aram campe sur ses positions.
Red retourne voir Helen, mécontent car elle lui a menti : il sait qu'elle a armé les séparatistes dans un pays déchiré par la guerre, mettant en danger des civils innocents. Elle nie. Il ajoute que dans ce contexte, son contact ne peut pas écarter ses ennuis avec les fédéraux. Toutefois, il lui propose de la faire disparaître : nouveaux papiers, nouvelle vie.
Au Bureau de Poste, Cooper reprend ses affaires et annonce à l'équipe qu'il a décidé de plaider coupable, d'autant plus qu'il l'est. Il risque 2 ans, 18 mois s'il se comporte bien. Malheureusement, sa carrière s'arrêtera là aussi. Il croise alors Reddington qui arrive, et le remercie pour le paiement de sa caution. Le criminel lui demande de ne rien dire à Agnes de sa situation actuelle, ayant espoir de tout arranger rapidement.
Red retrouve Aram dans le bureau de Cooper et rappelle à l'agent qu'il peut s'asseoir, c'est à présent sa chaise. Il ajoute qu'Helen Maghi, qu'il a toujours estimé honnête, lui a assuré n'avoir aucun lien avec les terroristes et que de ce fait cela ne doit pas déranger l'équipe de travailler avec elle. De plus, elle a accepté de les faire pénétrer dans le Mount Bastion. Mais l'agent insiste : Helen Maghi est coupable, il a des informations solides selon lesquelles les rebelles de Kazban attendent une cargaison de RPG des États-Unis, ceux-là même qu'elle a volé, il refuse donc que la Task-Force travaille avec elle alors qu'elle arme activement des terroristes. Le criminel lui demande de lui faire confiance, sans elle Harold ne pourra pas récupérer son siège. Finalement, Aram se laisse convaincre.
Le plan est mis en place avec l'aide d'Helen. Elle explique que pour être invisible du monde extérieur, l'installation du Mount Bastion est déconnecté du réseau électrique. Pour avoir de l'électricité, le complexe est doté de sa propre centrale géothermique à l'intérieur de la montagne, mais cela créé une vulnérabilité car le système a besoin d'un approvisionnement constant en eau en circulation pour dissiper la charge thermique. Cette eau provient du lac non loin de là. Si, par hasard, l'alimentation en eau est coupée, tout le système, y compris la sécurité, surchauffera et s'arrêtera automatiquement. Les agents Ressler et Park seront chargés de couper l'alimentation en eau, tandis que Reddington et Dembe seront déjà à l'intérieur dans le coffre-fort que le criminel y possède, tous les deux étant enregistrés pour passer les trois niveaux de scanners biométriques. L'eau coupée, le système se mettra à l'arrêt et le protocole de sécurité s'enclenchera : Red et Dembe seront enfermés dans leur coffre pour les protéger, les gardes s'éloigneront pour assurer la sécurité de l'établissement et elle-même, le concepteur du système, sera contactée pour déterminer quel est le problème.
Le plan se déroule sans accro, et Helen est contactée par Mount Bastion. Elle demande un code d'accès à distance afin de régler le problème, mais grâce à celui-ci a également accès aux caméras. Elle indique à Red et Dembe qu'ils ont 6 mn pour se rendre à l'autre chambre forte et revenir. Après ce laps de temps, le système se remettra en route, les gardes reviendront à leur poste avec ordre de tirer à vue s'ils sont dans les couloirs.
Red et Dembe trouvent le coffre de Reginald Cole. Il ne contient qu'une seule valise de petite taille que les deux hommes reconnaissent immédiatement. Sauf qu'elle est censée être dans un coffre à Tivat et que seules deux personnes y avaient accès : Red et Liz. À l'intérieur se trouvent des DVD avec divers titres comme «Stratégie et mise en œuvre» ou encore «Rassemblement et diffusion de renseignements», des instructions laissées par le criminel pour Liz lorsqu'elle aurait repris son empire.
La menace passée dans le complexe, le garde vient libérer Red et Dembe qui attendent dans leur coffre-fort, comme si de rien n'était.
Après l'opération réussie, Helen et Red se téléphonent, tous les deux ravis de la tournure de événements : Red a eu ce qu'il veut et Helen a obtenu un nouveau contrat à Mount Bastion pour moderniser la tuyauterie géothermique qui a causé l'arrêt. Helen se prépare à disparaître, et elle a choisi l'Italie. Tandis qu'ils papotent, Dembe envoie comme demandé un message à Aram pour lui dire qu'ils ont décollé. Aussitôt, ce dernier prévient une équipe tactique qui fait irruption où se trouve Helen Maghi et l'arrête.
Cooper reçoit une mauvaise nouvelle de son avocat, Mateo DeSoto : Lew Sloan a accepté de témoigner contre lui. Il va le confronter, d'autant plus que lui était prêt à faire deux ans de prison pour le protéger et maintenant, au minimum, à cause de lui, il risque 5 ans ! L'homme se défend, il a deux adolescents qui ont besoin de lui. Cooper lui rappelle qu'il ne lui a jamais demandé de modifier le canon de son arme de service, de falsifier des preuves, il aurait dû y penser avant ...mais surtout que lui aussi a une famille.
Au Bureau de Poste, c'est l'incompréhension : pourquoi mettre une boîte de DVD dans une forteresse? Dembe explique que les enregistrements ont été faits par Raymond pour Elisabeth et qu'il s'agit d'une série d'instructions enregistrées, de conseils sur la façon de gérer son empire après sa mort. Mais pourquoi Reginald Cole les aurait-il volé, où, pour en faire quoi? L'agent explique que son ancien patron n'a aucune réponse à toutes ces questions. Aram, satisfait de lui, appprend à l'équipe qu'eux aussi ont eu ce qu'ils voulaient : Helen Maghi est en détention. Il a intercepté toutes les communications sortantes de Mount Bastion et est remonté ensuite jusqu'à sa position. Il ajoute qu'il a pris cette décision sans leur en parler afin d'assumer seul les foudres de Reddington lorsqu'il l'apprendra.
Et justement, le voilà qui téléphone à Aram, très contrarié. Il met en avant leur accord, attendre qu'il confirme les informations sur Helen, avant d'agir. L'agent lui rétorque que c'était plus un ordre et que oui, il l'a ignoré. Red exige de savoir où elle est, et il apprend ainsi qu'elle est au Bureau de Poste et que deux agents de la « Joint Terrorism Task Force » sont en route pour l'arrêter. Le criminel poursuit, il lui avait promis une nouvelle vie en échange de son aide et à cause de lui il a rompu sa promesse : il n'aime pas cela, c'est mauvais pour ses affaires et donc les leurs aussi. Il souligne qu'Harold Cooper sait faire des compromis, comprenant que ce n'est pas immoral parce qu'il accepte le relativisme moral. Il annonce qu'il ne peut pas travailler avec lui si lui ne le fait pas. Il veut s'occuper d'Helen en priorité, et après seulement il s'occupera du meurtrier de Liz et de Cooper. Mais Aram reste ferme : Helen va en prison et ajoute que cela n'a rien à voir avec le relativisme moral car, pour lui, il s'agit de faire ce qui est juste. Si lui ne voit pas cela, c'est lui qui ne peut plus travailler avec lui. Aram lui raccroche au nez.
Plus tard, Ressler félicite son collègue d'avoir eu le cran de tenir tête au criminel : il a su lui donner ce qu'il voulait sans compromettre ses principes. Aram le remercie pour ses encouragements et apprend que les agents de la JTTF, McCoy and McConaughey, sont là pour transférer Helen Maghi. Ils emmènent la prisonnière alors que Ressler les prévient que Raymond Reddington va peut-être tenter de la libérer pendant le trajet. Mais quelques instants plus tard, les vrais agents McCoy and McConaughey arrivent pour emmener Maghi en détention. La Task-Force ne peut que constater que Reddington a encore eu le dernier mot et a réussi à subtiliser leur prisonnière.
Dans un entrepôt, Weecha a pris les devants et amène un gars qui peut apporter des informations à Red sur Helen. L'homme en question, Mehmet, est ensanglanté, et il est surtout celui qui a reçu la cargaison du conteneur d'expédition que la femme a conçu. Le criminel le questionne.
Helen Maghi arrive avec les deux faux agents dans le jet de Reddington. Mécontent, il lui raconte avoir eu une entrevue avec un certain Mehmet à qui elle a vendu six caisses d'artillerie lourde, celles qu'elle a volé au port de Virginie, et qui sont maintenant en route vers un groupe d'extrémistes. La femme explique qu'elle ne l'a pas fait pour l'argent, mais la colère du criminel est perceptible, elle a terni leur relation en lui mentant à deux reprises et sa survie dépend des relations. Il exige de savoir pourquoi. La femme, terrorisée et les larmes aux yeux, explique que son fils était travailleur humanitaire à Kazban, mais que l'État a entendu une rumeur selon laquelle il était un rebelle et il a eu la tête coupé. Red lui reproche de ne pas lui en avoir parlé, tandis que la femme comprend qu'elle ne va pas en Italie. Le criminel confirme, il ne peut pas lui faire confiance, elle en sait trop et lui demande ce qu'à sa place elle ferait. Elle lui renvoit la question : qu'est ce que lui ferait si quelqu'un avait massacré son unique enfant, sans raison. Elle ajoute qu'elle est certaine que rien ne l'empêcherait de se venger. Cachant son émotion, Red répond froidement que c'est possible, mais que si les rôles avaient été inversés, il ne lui aurait jamais menti. Il demande aux faux agents de l'emmener à Côme en Italie et de subvenir à ses besoins, tandis qu'il se lève précipitamment et part sans se retourner. La femme s'écroule, se rendant compte qu'elle a échappé de peu à la mort.
Chez les Cooper, Harold se décide à parler avec Agnes. Il lui explique qu'il a fait quelque chose de très mal, a menti à un détective de la police pensant le faire pour une bonne raison, protéger sa famille, mais qu'il a appris qu'il n'y a jamais de bonne raison de mentir. Ce qu'il a fait va avoir de graves conséquences et il doit y faire face.
Panabaker est mécontente lorsque deux hommes de Reddington l'attendent sur le parking du sénat pour l'amener à leur patron. Le criminel lui parle de Cooper et de sa condamnation, il plaide pour 5 ans et ne les mérite pas. La femme affirme ne plus pouvoir rien faire pour lui. Il lui suggère alors de le couvrir en disant qu'il était sous couverture du « Otherwise Illegal Activity »(un agent fédéral, généralement sous couverture, remplit une demande qui, une fois approuvée, l'autorise à enfreindre les lois sans presque aucun contrôle judiciaire ni surveillance, le tout pour attraper un criminel). La sénatrice lui fait remarquer que ce n'était pas le cas, Red rétorque qu'Harold poursuivait effectivement un tueur et un maître-chanteur et qu'il doit être possible d'antidater le formulaire pour expliquer ses actions. En tant que membre du Comité judiciaire du Sénat, Panabaker refuse, Cooper n'aurait rien dû dissimuler.
Red insiste, il l'a fait pour épargner de la douleur à ses proches, découvrir la vérité, beaucoup auraient fait comme lui et abandonné quelques principes pour y arriver. Cynthia reste ferme malgré ces arguments, tout le monde n'est pas comme lui et ne compromet pas son éthique si volontiers. Le criminel joue sa dernière carte en lui demandant si c'est un fait et lui fait écouter l'enregistrement des cris de l'infirmière Binstock couvert par ses paroles : «Il y a une ligne que j'ai soigneusement évité de franchir dans ma carrière, jusqu'à présent» Il lui rappelle les circonstances, lorsqu'elle est venue le voir pour découvrir qui avait fait du mal à sa belle-fille, et se demande quel impact cet enregistrement aurait devant son comité judiciaire.
Cynthia est dégoûtée, elle pensait que le criminel essayait de l'aider, mais il souligne qu'il l'a fait. Maintenant c'est à elle de l'aider, ou plutôt Harold.
Chez les Cooper, Agnes ne veut pas laisser partir Harold qui va sans aucun doute en prendre pour 5 ans. Il promet à la jeune fille qu'il sera, malgré leur séparation, toujours là pour elle et qu'il lui téléphonera chaque jour. A ce moment arrive Cynthia Panabaker avec des nouvelles.
Alors que l'équipe se prépare à partir au tribunal pour l'audience de Cooper, ils le voient avec étonnement arriver avec un carton. Il leur apprend que Panabaker l'a fait reporter d'un mois pour lui laisser le temps de finir son enquête. Sans connaître les détails, il doit ce revirement à Reddington. Aram est ravi de le revoir et lui rend immédiatement son poste et tous les ennuis qui vont avec, lui raconte succintement leur journée. Mais Cooper leur apprend qu'il revient, certes, mais comme agent, Aram reste en charge. Toute l'équipe resserre les rangs autour de lui bien décidé à trouver le maître-chanteur dans le temps qui leur est imparti.
Lorsqu'il rentre chez lui, Cooper découvre Red assis dans sa cuisine, alors que toute sa famille est paisiblement endormie, en sécurité. Le criminel dit l'envier. Cooper répond qu'il n'est pas certain que quelqu'un soit en sécurité avec lui dans les parages, mais le criminel trouve cela absurde : il est un ange gardien et un ange de la mort, le tout en un seul paquet farouchement protecteur. Harold le remercie pour la joie qu'il a vu sur le visage d'Agnes lorsqu'il lui a appris qu'il avait un mois de sursis pour comprendre ce à quoi ils ont affaire.
Mais Red est venu lui annoncer personnellement une nouvelle : il ne travaillera plus avec la Task-Force que ce soit sur cette affaire ou une autre car Aram n'est, selon lui, pas digne de confiance. Il l'a dupé et c'est le genre de tromperie qui peut coûter des vies. Cooper se moque, ce qu'il n'a pas aimé c'est peut-être d'avoir un avant-goût de ce que lui leur fait subir régulièrement. Mais le criminel reste ferme : il doit agir ainsi, il donne, il reçoit et neuf fois sur dix ce qu'il obtient les aide eux. Cooper lui apprend qu'il a fait la leçon à Aram, lui expliquant que même lorsqu'il n'était pas franc avec eux, ils devaient quand même lui faire confiance. Mais il ajoute que pour que l'équipe fonctionne, une partie doit respecter les règles, et que c'est leur rôle en tant qu'agents du FBI. Il a failli l'oublier et risque la prison pour cela. Le criminel lui demande de ne pas être trop dur avec lui-même et Cooper accepte de le faire si lui n'est pas trop dur avec Aram, il est nouveau, il apprendra, il doit lui laisser une autre chance. Red promet d'y réfléchir.
Résumé proposé par mnoandco