Red tenant dans sa main le penny Lincoln de 1943 récupéré chez Greyson Blaise parle en voiture avec Dembe de son amour pour les chasses au trésor, les intrigues, les mystères. Un camion les percute volontairement. Un homme profitant de leur état de choc prend la pièce et part. Nous apprendrons plus tard qu'il s'agit d'Abraham Stern.
Liz se trouve devant le corps sans vie de Navarro. Blessée, elle comprime la plaie avec un chiffon se trouvant là. Elle dispose l'homme dans un sac et entreprend de nettoyer l'appartement afin d'effacer toutes traces du mort et de sa présence sur les lieux.
La police arrive et frappe à la porte menaçant d'entrer avec le concierge car ils ont reçu un appel pour troubles domestiques. Liz a juste le temps de se cacher dans un placard après avoir fait disparaître le chiffon utilisé pour sa blessure dans le broyeur de l'évier. N'obtenant aucune réponse, les officiers entrent et constatent qu'il n'y a personne. Ils repartent.
Au Bureau de Poste, Cooper n'en revient pas de l'ironie de la mésaventure de Red qui a besoin de la Task-Force pour reprendre son penny mais doit auparavant les convaincre de l'aider.
Il leur parle alors de billets émis dans les années 30 par la réserve fédérale et payable par les Etats-Unis aux porteurs, billets qui officiellement n'ont aucune existance. Red affirme qu'un homme est déterminé a tout, qu'il a tué par trois fois, pour récupérer une telle fortune (des centaines de millions de dollars) et que quatre pennies en bronze, dont le sien, servent ensemble de carte au trésor pour y parvenir. L'homme doit être en possession de trois. Ils doivent apprendre où se trouve le dernier.
Dans la banque où il travaille, Abraham Stern voit une opportunité dans un de ses clients menacé de saisie. Il travaille pour une compagnie d'assurance et lui a besoin d'un «service». Tous deux se rendent au Musée Gabor et demandent, sous couvert de la compagnie d'assurance dudit client, à voir le dernier penny qui est en leur possession car ils suspectent que c'est un faux. Bien sûr, c'est un subterfuge pour l'approcher.
Dans l'appartement de Navarro, le détective Singleton alerté par ses collègues policiers vient faire sa petite enquête. Il s'étonne immédiatement des lieux «trop propres» et demande à une de ses équipes d'intervenir. Ils ne tardent pas a découvrir le tissu tâché de sang resté coincé dans le broyeur de l'évier.
Aram localise le dernier penny au musée Gabor. Samar ainsi que Ressler y sont envoyés de suite.
Liz arrive au Bureau de Poste, consulte le dossier du Stewmaker et le prend en photo lorsque Aram arrive par surprise. Il lui apprend avec enthousiasme la chasse au trésor dans laquelle Reddington les a embarqué et que Samar et Ressler sont en passe de récupérer au musée Gabor le dernier penny qui peut les aider dans leur quête. Liz ne semble pas intéressée et reçoit un appel de Singleton qui désire la voir.
Dans son bureau il lui apprend la disparition de Navarro et la découverte d'un chiffon ensanglanté. Liz reste de marbre se rendant compte toutefois que cette preuve l'incriminerait.
Lorsque Samar et Ressler arrivent au musée la police est déjà là, informée par un coup de fil anonyme que la pièce est sur le point d'être volée. Quant à Abraham Stern, il déclenche l'alarme incendie afin de pouvoir fuir tranquillement.
Liz transporte le corps de Navarro dans la chambre d'un motel. Là, elle entreprend de mettre en pratique pas à pas les méthodes du Stewmaker afin de ne laisser aucune trace ni d'elle ni de Navarro. Elle se lave, revêt les murs de plastique, dépose le corps de l'homme dans la baignoire qu'elle remplit de produits chimiques destinés à le dissoudre.
Red est fâché car la police a réquisitionné le penny du musée et Cooper refuse de l'aider à ouvrir le coffre des preuves. Une empreinte dessus permettra toutefois d'identifier Abraham Stern, employé de crédit dans une banque de Manhattan. Si vous ne payez pas votre crédit, Stern propose un nouvel échéancier. Il semblerait toutefois, selon Aram, qu'il profite largement de ses clients en difficulté en les menaçant de faillite contre de l'aide pour ses délits.
Red se rend chez Elisabeth qui n'est pas là. Tandis qu'il essaie de la joindre au téléphone, il observe sur les murs de son appartement tous les indices qu'elle a récolté sur la mort de Tom. Elle se trouve encore au motel mais accepte sans hésiter d'aider Red à reprendre son penny dans le coffre des preuves de la police. Elle propose même un plan pour connaître le code digital de l'entrée de ce coffre. Elle remet un téléphone de Tom qu'elle aurait retrouvé au détective Singleton mais c'est un piège : lorsque celui-ci est mis avec les autres preuves récoltées, il «intercepte» le code de l'entrée de la pièce où sont stockées toutes les preuves de crime de classe 3 incluant les viols, vols et homicides. Ne reste plus qu'à trouver une diversion pour atteindre la pièce discrètement. Et c'est Glen qui s'en charge feignant une attaque cardiaque. Liz récupère le penny mais, ce que Red ne sait pas, également le chiffon tâché de son sang rangé là également et qui devait partir pour le labo le lendemain.
Penny en main, Red rencontre Stern et le Profeseur, qui doit les aider à décoder le mystère, afin de faire un marché avec eux.
Stern raconte à Red l'histoire de son père, travaillant pour le Trésor de Denver et promis à devenir maître graveur. Mais ensuite il y avait eu le vol des billets de la réserve et il avait été soupçonné. Rien n'étant prouvé il avait été toutefois rétrogradé à la maintenance dans la chaufferie. Il avait été viré en 43, année où il créat les 4 pièces. Il avait passé le reste de sa vie à vivre dans l'ombre d'un crime jamais prouvé et était mort ruiné, brisé. Il lui avait légué les pièces mais, à 16 ans, jeune et détestant son père il s'en était vite débarassé avant qu'un mois plus tard le notaire lui remette une lettre dans laquelle son père expliquait la réelle valeur des pièces qui conduisaient à une fortune bien plus grande. Quarante ans durant il a cherché les pièces devenant un criminel comme son père, mentant, trichant, tuant même pour elles.
Au motel, Navarro est totalement dissout par le bain d'acide concocté par Liz qui n'a plus qu'à vider la baignoire et la nettoyer : il n'y a plus de corps. Mais elle découvre avec stupeur qu'un objet n'a pas disparu : l'œil de verre de l'homme à résisté et il possède à l'intérieur une technologie de pointe.
Le Professeur, pendant ce temps, découvre que les pièces forment une carte topographique en les superposant, celle de Denver, et de l'autre côté une localisation : la chaufferie. L'argent n'a jamais bougé du dépôt de Denver.
Stern, Red et leurs équipes observent les plans du bâtiment construit en 1897. La chaudière qui se trouve au sous-sol est inutilisée depuis des travaux effectués en 1943 et a été scellée dans les murs un nouveau coffre en bloquant l'entrée. De plus l'endroit est ultra sécurisé avec de nombreuses caméras et des badges sont nécessaires pour entrer. Le système d'aération est quant à lui trop étroit pour permettre d'y entrer.
Un plan est mis au point. Tandis que Red fournit du cash et un camion qui ressemble à ceux de la Banque de la Réserve Fédérale, Stern s'occupe des fausses identités.
Red et Stern entre par la grande porte se faisant passer pour des convoyeurs mais aussitôt arrivé à l'intérieur Stern trahi Red et l'enferme dans le camion : c'est sa quête, son trésor, son héritage. Des hommes de Stern l'attendent déjà sur place et ils partent pour continuer leur casse.
Red, s'attendant à être doublé par Stern, réussit rapidement à sortir du camion et rejoint Heddie et son équipe sur le parking qui se fait passer pour des employés de la maintenance.
A l'intérieur, Stern et ses hommes ont désactivé les caméras et se rendent au coffre n'essuyant que peu de résistance de l'équipe de sécurité et du personnel. Ils ouvrent le mur derrière lequel se trouve la chaufferie et dans la chaudière découvrent une fortune en billets payables au porteur et intraçable.
A l'extérieur les hommes de Red branchent un énorme tuyau sur l'aération qui mène à la chaufferie. Le système est mis en route est bien vite tous les billets à peine découverts par Stern sont aussitôt aspirer vers l'intérieur d'un camion de Red. L'opération est un succès.
Red n'a plus qu'a contacter Cooper pour lui donner la localisation de Stern afin de l'appréhender ce dont se chargent Ressler et Samar à peine arrivés sur place.
Au motel, Liz vérifie qu'elle n'a laissé aucune trace de son passage dans la chambre et quitte les lieux.
Au Bureau de Poste, Red félicite Cooper pour l'arrestation de Stern. Mais celui-ci n'est pas dupe et sait bien que Red a récupéré son «trésor». Il lui apprend que tous les pennies ont été rendus à leur propriétaire sauf celui de Greyson Blaise. Red voudrait le reprendre mais Cooper exige une contrepartie : la vérité. Red avoue : oui, il a détourné les millions en billets payables au porteur mais comme le Trésor nie l'existence de tels billets, il n'y a finalement pas de crime. Mais Cooper ne parle pas de cette vérité là. Il a appris que non seulement le penny a disparu des scellés de la police mais aussi un chiffon tâché de sang découvert dans l'appartement de Navarro après sa disparition. Il le croit responsable. Red nie tout en comprenant que Liz l'a dupé. Sans en dire davantage, il prend son penny et part pour lui parler.
Red confronte Liz, la félicite de l'avoir berné Harold et lui. Il a tout compris. C'est elle qui a donné le coup de fil anonyme à la police pour déclarer le vol imminent du penny au musée. Ainsi elle s'assurait qu'il serait mis dans le même coffre des preuves que le tissu tâché de sang qui l'incriminait dans le meurtre de Navarro. Son aide à Red était un prétexte afin de le reprendre avant qu'il soit analysé.
Liz lui explique que tuer Navarro n'était pas son intention et lorsque Red s'inquiète du corps elle le rassure lui disant qu'il n'y a aucun risque qu'il soit retrouvé.
Elle lui montre aussi sa découverte, l'oeil de Navarro qui semble être un modèle d'une technologie nouvelle génération. Liz s'excuse d'avoir trompé Red et lui demande son aide. Bien sûr, il accepte.
Le penny en main, Red l'échange contre le chapeau de Winston Churchill, rien que cela.
Résumé proposé par mnoandco