Red rameute la Task-Force au Bureau de Poste à 4 heures du matin pour une affaire importante. Le criminel explique qu'il vient d'avoir un tuyau sensationnel d'un de ses amis : le rapport Friedman, un rapport de renseignement top-secret de l'Air Force d'une grande sensibilité, va être volé. Ce dossier répertorie tout l'arsenal nucléaire des Etats-Unis qui a connu des jours meilleurs : des centaines de silos de missiles souterrains dispersés à travers le pays et dont beaucoup d'entre eux sont négligés et mal entretenus. Le rapport Friedman décrit en détail les failles de sécurité et les faiblesses de chacun. En clair, si ces informations tombent entre de mauvaises mains, les armes nucléaires américaines pourraient se retourner contre eux. Pour le reste, Red reste vague : il ne dit pas d'où et de qui vient son information, et répond à Ressler qui lui demande ce qu'il y gagne que c'est simplement un cas de plus à mettre au palmarès de l'équipe. Mais il leur rappelle surtout que l'horloge tourne. Avant de partir le criminel demande à être tenu au courant de l'avancée de l'affaire et, bizarrement, s'arrête pour demander s'il peut prendre un stylo marqué FBI trouvé sur un bureau. Puis, tout aussi bizarrement, il lève la tête pour remarquer la teinte de gris des locaux, nuance qu'il ne pense pas avoir vu ailleurs. Lorsque la porte de l'ascenseur se referme sur lui, Siya remarque une fois de plus l'étrangeté de l'homme. Cooper de son côté met vite l'équipe au travail, envoyant Ressler et Zuma au bureau du directeur du renseignement national afin de leur faire savoir que le rapport Friedman est menacé mais surtout qu'il faut le mettre en sécurité. Cependant, il leur demande à tous de rester vigilant : effectivement Reddington semble dépassé, mais pour des raisons de sécurité, ils doivent s'attendre à tout.
Amical, Hudson reçoit une fois de plus Jonathan Pritchard qui précise qu'ils ne sont pas amis. Le député dit que ce n'est pas ce qu'il lui demande, mais a besoin de son aide. Pritchard continue de défendre Ressler, mais Hudson insiste. Il explique surtout qu'un juge est d'accord avec lui et lui a accordé un mandat pour une écoute électronique sur le téléphone de son sponsor. Cependant, cela doit être fait discrètement et il lui donne un petit appareil. Ressler a un téléphone portable du Bureau, et seul ce genre d'appareil peut le déverrouiller : il doit le brancher dessus ce qui téléchargera un logiciel qui leur permettra d'accèder à son portable.
Margo Rutherford, la directrice adjointe du renseignement national, reçoit Ressler et Zuma et leur apprend qu'elle n'est pas autorisée à discuter avec eux du rapport Friedman. Lorsque les agents lui apprennent que non seulement ils savent de quoi il est question mais que l'arsenal nucléaire en question est, selon des informations crédibles, sur le point d'être volé, elle se renseigne. Elle apprend que le général Friedman lui même a emporté le dossier chez lui pour quelques corrections avant de le remettre aux chefs d'état-major. La femme précise que l'homme est un général quatre étoiles de l'Air Force, qu'il aime travailler à la maison et qu'il a pratiquement transformé celle-ci en forteresse. Toutefois, lorsqu'elle tente de le joindre pour lui parler de la menace, elle ne peut que constater que sa ligne téléphonique est morte. Ressler exige l'adresse et les agents se rendent sur place. Tandis qu'ils sont en voiture, Dembe continue, sans succès, de joindre le général : il arrive directement sur sa boîte vocale. Il émet l'hypothèse que les voleurs sont déjà à l'action et utilisent un brouilleur de signal. S'y connaissant un peu, il essaie un chat vidéo car, en effet, tous les brouilleurs de signaux ne bloquent pas tous le Wi-Fi. Cela fonctionne et Friedman répond. Il apprend de l'agent la menace qui pèse sur son rapport. Celui-ci lui conseille, s'il en a une, de se rendre avec son ordinateur dans l'endroit le plus sécurisé de sa maison. Le général s'exécute et constate en passant dans le hall qu'effectivement des voleurs tentent de forcer sa porte d'entrée. Il se réfugie dans une pièce munie d'une porte blindée, mais les assaillants sont bien outillés : l'un d'eux sort un chalumeau et commence à la découper.
Pendant ce temps, au Bureau de Poste, Cooper reçoit un appel de Reddington qui lui demande où en est leur affaire. Le chef de la Task-Force lui apprend que ses informations sont justes, précise qu'un général quatre étoiles a ramené le dossier chez lui sur un ordinateur portable crypté et qu'à l'instant même il s'est réfugié dans une pièce sécurisée car les voleurs sont déjà à l'action. Il précise surtout que Ressler et Zuma seront sur place dans 5 mn. Le criminel estime que tout est sous contrôle et raccroche car ils n'ont pas besoin de lui. Quelques instants plus tard, les assaillants reçoivent l'odre de laisser tomber, les autorités arrivent. Ils s'exécutent rapidement et prennent la fuite.
La menace écartée, Friedman questionne Ressler désirant savoir qui étaient les agresseurs, mais surtout d'où le FBI tient ses informations. L'agent ne peut répondre à aucune de ces questions, il travaille pour un groupe qui opère sous autorité spéciale, malgré le général de l'US Air Force qui lui rappelle son niveau d'habilitation. Il se demande surtout pourquoi les voleurs ont rebroussé chemin. Dembe de son côté apprend que les caméras de sécurité du domicile du général étaient hors service, mais qu'un voisin a, par chance, fait installé lui aussi des caméras il y a deux jours, un cadeau suite à un tirage au sort d'une entreprise de sécurité à domicile. Les agents découvrent sur l'une d'elle un des voleurs tandis que le général leur précise qu'il a aperçu avant de se mettre à l'abris un autre de ses agresseurs, une femme afro-américaine d'environ 25 ans aux cheveux blonds décolorés.
Ressler reçoit un appel de Jonathan Pritchard. Il comprend vite qu'il ne va pas bien et lui donne rendez-vous pour un café. Sur place, Jonathan lui explique avoir foiré avec Jill avec qui il a réemmenagé. En effet, la femme ne lui fait plus confiance comme avant et il a explosé lorsqu'il l'a vu cacher de l'argent : il a crié, elle a pleuré...mais il n'a pas encore rechuté au grand soulagement de Don qui lui conseille de parler à sa femme, de lui dire ce qu'il ressent. L'homme décide de le faire de suite, mais ajoute que jamais elle ne répondra au téléphone en voyant que c'est lui. Ressler dévérouille son portable et le lui prête. Jonathan s'éloigne et sort pour un peu d'intimité tandis que l'agent règle les cafés. A peine dehors, il utilise le dispositif donné par Hudson. Quelques instants plus tard il rend son téléphone à Don, expliquant que son épouse n'a pas répondu et qu'il a laissé un message. Plus tard, il retourne voir Hudson à son bureau, lui annonçant que c'est fait, mais affirmant toujours qu'il se trompe, Donald Ressler est un homme bien.
De retour au Bureau de Poste, Ressler apprend qu'aucun ADN, ni aucune empreinte n'ont été trouvé dans la maison du général Friedman. Herbie de son côté annonce avoir fait chou blanc avec toutes les bases de données criminelles mais qu'il a eu l'idée de croiser la photo du suspect avec les dossiers du DMV (Department of Motor Vehicles) et qu'il a eu plus de chance : Seymour Jacobson, concierge au Capitole. L'homme a disparu, son appartement vidé, mais il était encore au travail la veille. Siya annonce qu'elle a contacté la maintenance du Capitole et qu'ils lui ont donné accès à leurs flux de sécurité. Sur l'écran, Jacobson remonte l'un des nombreux couloirs qui se trouve sous le bâtiment et disparaît dans un angle mort. Il ne réapparaît que 40 mn plus tard.
Les agents Ressler et Malik se rendent sur place. Leur contact, Adam Rose, leur apprend que son travail est d'effectuer des vérifications complètes des antécédents de toutes les personnes embauchées pour effectuer des travaux de maintenance et qu' il est hautement improbable que l'un de ses employés puisse être un voleur. Le trio parcourent les couloirs sous le Capitol pour arriver à l'endroit où Seymour Jacobson a disparu 40 mn. Rose explique qu'avec 500 pièces et des kilomètres de couloirs, il est certain qu'il y a quelques points morts. Mais là, dans un renfoncement, ils découvrent carrément une porte qui ressemble à celle d'une salle de disjoncteur : elle porte le numéro 417. Rose tombes des nues en découvrant une pièce à cet endroit et il en possède encore moins la clé. Un serrurier est appelé. Lorsqu'ils y entrent, les agents découvrent un endroit avec des centaines d'écrans vidéo en direct et ils comprennent vite de quoi il est question : la plupart des bureaux du Capitole, la moitié des politiciens à Washington sont sous surveillance. Adam Rose panique à l'énormité de la chose et prévient immédiatement la directrice adjointe du renseignement national, Margo Rutherford.
Les agents préviennent immédiatement leur chef. Cooper n'en revient pas, des gens sont mis sur écoute dans toutes les pièces du complexe du Capitole : des membre du Congrès, des sénateurs, la salle de délibération de la Cour suprême, c'est une violation au cœur même du pouvoir politique américain. Leur seul indice est un télécopieur qui trône au milieu de la pièce 417. Cooper souligne l'ironie de la chose : les personnes derrière la plus grande brèche dans le renseignement de l'histoire des États-Unis communiquent par fax. Siya remarque que la machine en question date certainement des années 90 et le chef de la Task-Force lui explique comment imprimer le dernier document en mémoire. Il indique : « Friedman Report sera à l'adresse de Columbia Heights ce soir. » Herbie suggère que Red a peut-être intercepté le fax et qu'il n'y a jamais eu d'ami qui lui a donné ce tuyau. Bien sûr l'intéressé ne répond pas au téléphone pour confirmer ou pas cette hypothèse. L'équipe décide de découvrir le destinataire du fax. Margo Rutherford arrive enfin et congédie les agents, le bureau du directeur du renseignement national prend le relais.
La directrice adjointe Margo Rutherford convoque une réunion exceptionnelle à laquelle est conviée Cooper. Ce qui a été découvert, un réseau d'espionnage opérant au sein même du Capitole, qui surveille et enregistre chaque mouvement des dirigeants, est un acte de trahison sans précédent contre les États-Unis. Elle avoue ne pas savoir depuis combien de temps mais rassure chacun, il a été fermé. Elle précise que le seul membre identifié du réseau, Seymour Jacobson, est actuellement un fugitif et qu'ils n'ont aucune idée de qui est à l'origine de cette incursion, ni de ce qu'il fait des renseignements vitaux recueillis. La question qui se pose à eux est comment réagir ? L'un des officiels conseille que cette affaire reste secrète, tandis qu'un autre demande à Cooper comment le FBI a eu vent de cette infraction extraordinaire. Le chef de la Task-Force ne peut que révéler que le tuyau vient d'un informateur dont il ne peut pas donner l'identité au risque de compromettre sa capacité à les aider. Il souligne que sans lui et ses agents, ils n'auraient jamais fait cette découverte et affirme que son équipe fait son maximum pour découvrir l'instigateur de ce réseau d'espionnage.
Au Bureau de Poste, pendant que Cooper est toujours à la réunion, que Reddington est injoignable, l'équipe décide de chercher des réponses. Ils doivent découvrir le destinataire du fax et le numéro qui y est inscrit peut les y aider. Herbie contacte la compagnie de téléphone et il apprend que le numéro en question n'est plus géré par elle car en 2003 l'entreprise a vendu le numéro à un central téléphonique électromécanique, endroit fréquent à l'époque dans les zones rurales. Mais lorsque le système Bell a été démantelé dans les années 80, presque tous ont été fermés. Le représentant de la compagnie de téléphone lui a appris que cet échange était l'un des derniers en Amérique et que la société qui en est propriétaire à présent s'appelle Evelyn Strategies Inc. Il a une adresse vieille de 20 ans, un complexe de bureaux au 139 North Ode Street, Suite 602. Ressler et Dembe s'y rendent.
Ils découvrent que Evelyn Strategies est toujours à cette adresse. Dans les bureaux de l'entreprise, ils ne trouvent que des dizaines de télécopieurs, un genre de central téléphonique… mais personne. L'un d'eux est encore sous tension et le dernier fax provient du Capitole, juste après celui de Friedman : c'est donc ici même que les espions du Capitole envoyaient leurs rapports. Mais Dembe observe les autres machines et constate que les indicatifs téléphoniques indiqués viennent d'autres pays : un fax vient du Royaume-Uni, un autre d'Allemagne mais aussi un de Russie, Belgique et de la Chine continentale. Pour Dembe cela ne fait aucun doute, la chambre 417 n'était pas le seul endroit qui envoyait des informations ici : il existe des dizaines d'autres réseaux de renseignement intégrés dans le monde entier qui le faisaient également. Ses idées se mettent vites en place. Télécopieurs. Analogique, entièrement sous le radar. L'échelle de ce réseau. Des rouages. Pour lui tout devient clair, ce qu'ils découvrent est sans aucun doute l'empire du renseignement de Raymond Reddington. Ou du moins ça l'était.
Les agents contactent le Bureau de Poste pour apprendre la nouvelle à leur équipe. Cooper n'en revient pas, mais pour Dembe il ne fait aucun doute que Raymond a mis sur écoute le Capitole et plusieurs entités du même gabarit à l'étranger : ces locaux à Evelyn Strategies étaient une plaque tournante pour les flux d'informations du monde entier. Le chef de la Task-Force s'étonne que Dembe n'ait pas été au courant. L'ancien acolyte du criminel explique qu'il ne savait que ce que Raymond voulait bien lui dire, mais qu'il a eu un aperçu de son réseau de renseignement peu de temps avant la mort d'Elizabeth dans un centre de commandement en Lettonie. Red expliquait à la femme qu'elle se trouvait dans l'un des 17 avant-postes disséminés à travers le monde là où étaient rassemblés, triés et analysés des documents divulgués, des communications interceptées, des secrets de personnes en position de pouvoir. La source même de la Liste Noire. Il ajoute que le criminel s'appuie également beaucoup sur ses contacts personnels et que si la majeure partie de son empire est numérisée, il a toujours été nerveux à propos de l'informatisation de son réseau de renseignement. C'est pour éviter la détection qu'il a insisté sur le fait qu'il devait rester analogique d'où l'utilisation de fax ou encore d'un standard électromécanique. Il suppose qu'aucun avant-poste n'était au courant de l'autre, Raymond étant celui qui les reliait tous. Pour lui, il existe de nombreux endroits comme celui-ci dans le monde entier, chacun intégré profondément à l'intérieur de cibles hautement sécurisées d'où Raymond pouvait accéder aux informations, mais que quand il était à DC, il utilisait Evelyn. A présent tous sont d'accord : depuis le début, le criminel est derrière toute cette affaire à commencer par les voleurs qui ont mis hors service le système de sécurité de Friedman jusqu'au système de sécurité providentiel gagné par les voisins lors d'un tirage au sort. La seule conclusion est que Raymond voulait qu'ils exposent son réseau de renseignement après l'avoir fermé. Mais Siya de son côté fait une autre révélation. Depuis le début, le nom d'Evelyn Strategies Inc. lui semble familier et elle a parcouru les dossiers de leur raid sur la Morgana Logistics Corporation, celle qui créait de fausses entreprises pour dissimuler des activités criminelles. Evelyn était l'une de leurs créations. Voici donc une autre révélation : Morgana Logistics Corporation était également l'une des plaque tournante de l'empire du criminel. Herbie trouve cela magistral, tandis que Dembe ne peut que constater qu'il en savait beaucoup sur Raymond, et très peu sur son empire. Mais avec le recul, c'est logique. Personne n'a été arrêté lors du raid de Morgana, à l'exception de ce directeur d'entrepôt, Gerome Kavanaugh. Et il a été libéré avec une caution de 3 millions de dollars. Peu de gens ont cette somme. Le constat est sans appel pour le chef de la Task-Force : Reddington a créé à la fois Morgana et Evelyn et les a ensuite utilisés pour fermer deux de ses plus grands atouts, l'expédition et le renseignement. Ils l'ont aidé à maintenir son empire et maintenant il les a dupés pour l'aider à le démolir. La question est pourquoi ?
Dans son bureau, Hudson reçoit l'agent Galanter de la NSA qui lui permet d'écouter les conversations de Donald Ressler. Justement celui-ci est toujours à Evelyn avec Dembe en communication avec Cooper au Bureau de Poste qui avoue qu'aujourd'hui est la goutte d'eau qui fait déborder le vase après 12 ans de collaboration avec Reddington, leur CI. Mais c'est la suite de la convesation qui attire l'attention de Hudson, lorsque le chef de la Task-Force annonce qu'ils ont offert une protection au criminel alors qu'il construisait et renforcait son empire, l'ont protégé alors que lui de son côté espionnait le Capitole et interceptait une décennie de secrets d'État. D'une certaine manière, le chef de la Task-Force estime qu'ils ont été partenaires dans sa trahison. Il poursuit expliquant que cela valait la peine puisqu'il était l'informateur le plus précieurx que le FBI ait jamais eu mais, qu'à présent, ce n'est plus le cas puisqu'il a éliminé l'essentiel de sa capacité à collecter des informations pour eux. Il leur doit une explication … mais il est toujours injoignable. Ressler est prêt à parier qu'ils ne le reverront plus. Quant à ce qu'ils vont dire à Rutherford, annonce Cooper, ce sera une partie de la vérité : le réseau de renseignement découvert s'étend à travers le monde, mais il ne sera pas fait mention du criminel, du moins pas pour l'instant. Cooper renvoie ses agents chez eux car, pour sa part, il a besoin d'un peu de temps pour digérer tout ça. Hudson jubile, l'affaire est bien plus juteuse que ce qu'il croyait : ce n'est pas un cas où Reddington corrompt un groupe de travail du FBI. C'est un CI. Tout cela est légalement sanctionné et approuvé : le gouvernement protège le numéro un sur sa liste des personnes les plus recherchées, un homme qui les espionne depuis des années. Il rembobine encore et encore l'enregistrement de la conversation se concentrant sur le moment où Cooper parle de trahison.
Cooper rentre chez lui et n'est guère étonné d'y trouver Reddington assis à sa table de cuisine avec une bouteille de Scotch. Il lui propose un verre le trouvant exténué tandis que le chef de la Task-Force pointe surtout du doigt qu'astucieusement il a amené l'équipe a démanteler son empire alors que c'est lui qui rend leur travail possible. Morgana, la chambre 417, Evelyn, c'est lui. Le criminel ne peut que confirmer avant qu'Harold lui demande pourquoi ? Il explique que d'après son expérience, lorsque les organisations criminelles disparaissent, les employés ont tendance à chercher du travail avec d'autres criminels. Il voulait s'assurer que son personnel quitte cette vie et, pour se faire, sentir que le FBI était à leurs trousses. Mais ce n'est pas ce que l'homme demande : il veut savoir pourquoi il démantèle son empire ce qui compromet sa capacité à leur fournir des cas. Il souligne que cela met également en danger son accord d'immunité, ce à quoi Reddington répond qu'il l'a supprimé dans son intégralité lorsqu'il a épuré les archives du Bureau de Poste de toutes traces de lui. Cooper lui fait remarquer que le procureur général ne le sait pas et que c'est la seule raison pour laquelle ils n'ont pas reçu l'ordre de l'arrêter. Pour le gouvernement, il est toujours leur indic mais en détruisant son empire, il se met dans le collimateur. Il réitère sa question : pourquoi ? Une fois de plus, le criminel part dans une anecdote qu'il finit par expliquer à Harold qui n'a aucune envie de jouer une fois de plus à ce jeu des réponses évasives. Red répond qu'il aimerait donner une réponse directe, mais qu'il ne peut pas en formuler une. Il avoue que pour faire simple, les choses se terminent - parfois malgré les meilleurs efforts et les meilleures intentions ou parfois à cause de cet effort ou de cette intention- mais qu'alors quelque chose d'autre peut commencer.
Dans l'avion de Red se trouvent Jack, Ace et Joker, les 3 voleurs qui se sont introduits dans la maison de Friedman sur son ordre. Ils trinquent à une belle aventure qui s'achève.
Jonathan Pritchard est assis dans un parc. Il ne répond pas à Hudson qui lui laisse un message lui apprenant que, grâce à lui, il a une preuve solide des dangers que représente l'agent Ressler pour la sécurité nationale : il va devenir un héros. Mais l'homme est bouleversé et finit par s'enfiler le flacon de pillule qu'il a en main. Don arrive sans se douter une seule minute de ce qui vient de se passer, mais tout en sachant que l'homme va mal suite à leur précédente rencontre : il lui propose de se rendre à une réunion plutôt que d'aller boire un café.
Résumé proposé par mnoandco
