Randall Beasley est en séance de psychothérapie avec le Dr Roberta Sand. L'homme lui explique ses doutes concernant son travail : il n'aucun droit à l'erreur. Le médecin le rassure, le calme et lui demande de visualiser la scène.
Le moment venu pour Randall d'accomplir sa tâche, nous le voyons prendre place, un étui à violon en main. Non loin de lui, un petit rassemblement politique. Mais ce n'est pas un violon qu'il sort de l'étui : c'est un fusil de sniper. Et ce n'est pas au milieu de musicien qu'il se trouve, mais sur un toit. Il vise le petit groupe rassemblé et tire : une femme s'écroule au sol. Il repart tranquillement, son étui en main.
Chez lui, Cooper reçoit son collègue et ami, Lew Sloan. Il est inquiet, le détective Marcus Heber, qui enquête sur le meurtre de Doug Koster, a demandé une balistique sur son arme. Lorsqu'il saura qu'elle correspond, il sera suspecté : sa femme a eu une liaison avec lui, il lui a demandé de mentir, il a été vu sur les lieux du crime le lendemain...tout l'accuse, aucun moyen que cela se termine bien. Lew part.
A ce moment, entre Agnes et demande si Pinky vient toujours. Harold confirme, mais lui demande quelques instants seul avec lui avant de l'accaparer.
Plus tard, chez les Cooper, dans un journal, Red montre un article. Le chef de la Task-Force sait de quoi il s'agit : pour lui, aucun doute, c'est le député membre du Congrès qui était visé, et non la femme, Mary Parrot. Red désapprouve. C'est, pour lui, bel et bien cette philanthrope qui était la cible. Son zèle pour la préservation historique a contrecarré les plan de puissantes personnes, les empêchant de se faire des fortunes, dont Vito DeCanio, le chef d'une organisation criminelle. Cooper se dit étonné : Red lui a promis des noms de personnes inconnues du Bureau, lui l'est. C'est alors que Red précise qu'effectivement l'homme est dans la ligne de mire des autorités, mais que son organisation en déclin revit grâce à sa thérapeute, le Dr Roberta Sand. Tout le monde dans l'organisation la voit sur ses ordres. Elle rend ses membres plus efficaces, les aide à réaliser pleinement leur potentiel en tant que criminels. Cooper n'y croit pas, mais écoute Reddington lui expliquer que lui-même utilise les services de psys, chamanes, rabbins et moines sinon ses souffrances seraient insupportables.
Ensuite, Harold l'interroge sur les noms qu'il donne : le criminel lui a dit que s'il revenait, il y aurait des noms et que quelqu'un allait payer. Red confirme, mais explique qu'il n'a pas encore de noms et que sans eux, il ne sait pas le pourquoi.
C'est alors qu'Agnes entre, impatiente de voir Pinky. Cooper part au Bureau, rappelle qu'au besoin Charlene est à l'étage s'ils ont faim ou ont besoin de quelque chose. Red s'inquiète lorsqu'il voit la jeune fille un jeu de carte en main. Apparemment, la fois précédente, elle l'a battu largement au gin. Mais elle lui propose un jeu de mémoire, sur la correspondance des états américains et de leurs capitales. Red rit, peu certain d'y arriver. Mais Agnes le rassure : cette fois, il a une excuse. Red fait semblant de se vexer, pensant qu'elle fait référence à son âge qui conduit souvent à une perte de mémoire. Mais la jeune fille répond sans autre préambule qu'elle ne parlait pas de cela, mais du fait que comme il n'est pas américain, il n'est pas censé en connaître les capitales, tout comme elle ne connaît pas les capitales russes. Red se fige à ses paroles, mais le jeu commence.
Au Bureau de Poste, Cooper présente le nouveau cas à l'équipe, même s'il est sceptique sur les compétences du médecin. Il explique que Vito DeCanio est convaincu que la récente ascension de la famille DeCanio est l'œuvre de la thérapeute qu'il a embauché. Pour Dembe, l'homme est déjà compromis : un témoin est prêt à témoigner contre lui car il a ordonné trois exécutions de rivaux. Quant à Aram, il doute : il est en thérapie depuis l'âge de 10 ans, et il n'a jamais entendu parler d'un psy qui essaie d'aider les gens à aggraver leur pathologie.
Nous apprenons alors la raison pour laquelle il voit un thérapeute : le calcul différentiel appris à 8 ans, et qu'à 10 ans il a été incapable d'en faire saisir le concept à ses parents...d'où une grande frustration pour toute la famille.
Pendant ce temps, dans son cabinet, le Dr Roberta Sand reçoit trois jeunes truands, Dino, Mikey et Johnny. Ils ont une mission importante à effectuer pour Vito, et cela nécessite un travail d'équipe...mais ils se haïssent.
Au Bureau de Poste, Aram ne découvre aucune information sur le docteur : aucune photo, aucune empreinte, et la recherche sur son pseudonyme n'aboutit à rien. L'équipe décide alors de se concentrer sur Mary Parrot, la victime, qui avec ses idées conservatrices a détourné un certain nombre de développements lucratifs prévus par Vito DeCanio qui l'a fait tuer. Si son assassin était suivi par le médecin, il peut les aider à remonter jusqu'à elle.
Le mari d'Alina Park arrive au Bureau de Poste, avec l'accord de Cooper. L'agent pense que voir où elle travaille peut les aider à se réconcilier. Peter retrouve son épouse, allongée, toujours prise de maux de tête à cause de son exposition à l'arme à énergie dirigée de l'épisode précédent. Il refuse lorqu'elle lui propose une visite des locaux pour lui expliquer un peu son travail. Il est toujours fâché contre elle, mais surtout contre lui : il n'en revient pas d'avoir épouser une femme capable de tels secrets, quelqu'un qui, finalement, il ne connait pas.
Peter parti, Alina rejoint Aram et Dembe qui ont déterminé d'où le sniper a tiré. Pour Park, personne n'aurait pu réussir un tel coup à cette distance et avec autant d'obstacles. Dembe affirme que lui le peut, donc l'équipe décide d'étudier les vidéosurveilance autour du bâtiment au moment de la fusillade.
Chez les Cooper, Red et Agnes passent un bon moment ensemble mais la jeune fille est imbattable à son jeu! Red capitule et, tout en rangeant les cartes, Agnes lui dit qu'il a une excuse pour avoir perdu, et lui demande quand il a arrêté d'être russe. Le criminel trouve la question étrange, mais surtout désire savoir comment elle connaît cette information. Agnes répond que sa mère le lui a dit, comme beaucoup de choses le concernant. Mais surtout le plus important à retenir : lui, Raymond Reddington, était la personne la plus importante de sa vie, à part elle, et qu'elle était contente qu'ils se soient rencontré. Sa mère espérait qu'ils puissent se revoir. Le criminel a énormément de mal a cacher son trouble, encore plus lorsqu'Agnes lui prend la main : sa mère lui a appris qu'il aimait ça. Reddington envoie la fillette chercher Charlene, prétextant avoir faim. A peine partie, il saisit son téléphone.
Le docteur Sand est toujours en séance avec ses trois truands qui, décidemment, ne s'aiment pas et toutes leurs rancoeurs ressortent. Elle décide de son objectif avec eux : ils doivent arrêter de se juger, et de juger les autres.
Au Bureau de Poste, en étudiant les vidéosurveillances, l'équipe remarque l'homme avec son étui à violon sortant du bâtiment quelques instants seulement après le tir. Ils n'ont aucune identité pour lui. Aram fait remarquer, en parlant de Dembe, qu'ils ont eux même un tireur d'élite qui peut les aider. Et en effet, Dembe confirme : peu d'hommes peuvent réussir un tir de presque 500 mètres, c'est non seulement difficile, mais cela requiert beaucoup d'entraînement. Il ne connait qu'un stand de tir qui offre des pistes d'entraînement de plus de 300 mètres, et il en est justement membre.
Park et Dembe se rendent au stand de tir. Ils sont accueillis par Jean ravie de revoir Dembe, d'autant plus que la semaine précédente Reddington s'est présenté avec sa "petite latino-américaine qui se prenait pour lui". Il affirme que tout va bien entre Raymond et lui, mais qu'il a rejoint le FBI pour une mission nécessitant son expertise et qu'il a besoin de l'identité d'un homme pour son enquête. Il lui montre la photo de leur suspect. Les agents obtiennent un nom, Randall Beasley, et une adresse.
Park et Dembe arrivent à la résidence de Randall Beasley. La cour est piégée et ils sont vite repérés et canardés. Dembe utilise un subterfuge pour aveugler le tireur, mais le répit est de courte durée. Puis Beasley pense avoir un mini-angle de tir en voyant la chaussure de Dembe dépasser sous la portière de la voiture. Mais c'est un leurre : il est derrière lui, arme à la main, une seule chaussure au pied, et lui annonce qu'il est en état d'arrestation.
Red et Weecha se rendent à l'ancien appartement du criminel. Celui-ci met des gants, se dirige vers une étagère et en sort un livre. Il en tourne les pages jusqu'à ce qu'il trouve l'enveloppe qu'il avait donné à Dembe pour la remettre à Liz, mais seulement après sa mort. La lettre de Katarina qui lui apprenait la vérité. Il l'ouvre, remet la lettre dans le livre, mais dépose l'enveloppe dans un sachet avec précaution. Il apprend à Weecha que Cvetko va les rejoindre au jet et qu'il espère en apprendre grâce à lui davantage sur l'histoire plus récente de cette lettre. Mais il lui avoue ne pas vouloir penser à ce qu'il risque d'apprendre.
Au Bureau de Poste, l'équipe étudie les indices trouvé chez Beasley. Ils découvrent que l'homme a eu 11 rendez-vous ce mois-ci pour le toilettage d'un chien. Mais il n'en a pas. De plus, les rendez-vous on toujours lieu à des adresses différentes. Aram et Dembe décident d'interroger le suspect, tandis que Cooper reçoit un appel de Lew Sloan qui lui dit avoir le rapport balistique de son arme.
Pendant ce temps, la thérapie de Sand avec ses trois truands avancent. Si deux d'entre eux, Mikey et Dino, admettent se sentir mieux et s'estiment être prêts à faire équipe, le troisième Johnny est plus que mitigé par cette collaboration : il n'a pas confiance. Le médecin fait son rapport à son patron Vito DeCanio qui est mécontent. Il faut trois hommes pour le travail demandé et doit donc trouver quelqu'un d'autre, et rapidement. Il propose un certain Dante qui, justement, est assis non loin de là. Sand refuse que ce soit lui, ce n'est pas leur accord. Il la menace. Elle fait bien son boulot et lui le sien. Ce sera Dante, que ça lui plaise ou non.
Alina, Dembe et Aram se rendent au prochain rendez-vous de Beasley pour le toilettage des chiens, à l'heure convenue. Quelle n'est pas leur surprise de voir un camion arriver. Le salon de toilettage est mobile. Aram constate vite que ledit camion est blindé et qu'il possède un brouilleur GPS. Les agents cernent le fourgon et exigent que ses occupants en sortent : la porte arrière s'ouvre et le docteur Sand se rend. A l'intérieur, les agents découvrent son bureau de consultation.
Cooper et Lew Sloan sont garés côte à côte dans un parking. Cooper examine supéfait le rapport balistique qui indique que ce n'est pas son arme qui a tué Doug Koster, et il sait bien que c'est un mensonge. Lew lui affirme que jamais la police ne découvrira la vérité mais Cooper est choqué que son ami ait manipulé le dossier, alors qu'il ne lui a rien demandé. C'est une mensonge sur un mensonge : d'abord il a impliqué Charlene, puis ça ! Lew argumente : il ne l'a pas impliqué lui, il l'a fait de son plein grè parce qu'il sait qu'il n'est pas un meurtrier. Mais le fait est que quelqu'un a tué l'ancien amant de sa femme qu'il détestait, l'a piégé et qu'il faut découvrir qui, maintenant qu'il n'est plus soupçonné. Mais Cooper reste mal à l'aise avec ces mensonges et en oublie de remercier Lew pour son aide.
Au Bureau de Poste, Roberta Sand est interrogée, malmenée par Mojtabaï et Park qui l'accusent d'aider ses clients à commettre des crimes parfaits, d'utiliser leurs sombres pulsions. Elle se défend : elle aide juste ses patients à se sentir bien dans leur peau et, regardant Alina dans les yeux, lui rappelle que tout le monde a des pulsions sombres, même elle. Park se moque, elle veut guérir ce qui va mal chez elle comme tous les thérapeutes? Sand réfute : bien sûr que non, pourquoi la guérir de qui elle est?
Dans son jet, Red explique à Weecha qu'après sa mort, la lettre devait expliquer à Elisabeth toute la vérité, et que Dembe devait la lui remettre. Puis qu'elle est morte sans l'avoir lu. Mais les paroles d'Agnes le font douter : sa mère lui a dit des choses qu'elle n'a pu savoir qu'en la lisant. Vlad Cvetko arrive, et Red et lui sont heureux de se retrouver. Le criminel le présente comme l'un des plus grands analystes médico-légaux du monde. Weecha saute sur l'occasion : elle a un doigt, chez elle. Si elle le lui donne, il pourra découvrir à qui il appartient ? L'homme répond que ce serait plus facile avec la tête et la femme répond qu'il l'aura quand le doigt sera identifié. Mais en priorité le criminel a un autre travail pour lui : découvrir si les empreintes d'Elisabeth Keen sont sur l'enveloppe. Il espère que ce n'est pas le cas et qu'il imagine juste des choses.
Dembe apprend à Cooper la véritable identité du docteur Sand via ses empreintes : Eleanor Russo. Elle exerçait dans son cabinet privé à Philadelphie jusqu'à ce qu'elle disparaisse il y a cinq ans. Sa théorie concerne Dante, qui s'avère être son fils et le garde du corps de Vito DeCanio. Son interrogatoire va dans ce sens. Comme elle refuse de dévoiler ce qui concerne ses patients, Dembe lui explique que ce qui l'interesse, ce n'est pas le médecin en elle, mais Eleonor Russo et son fils. Elle n'avait aucune raison de disparaître, à moins que ça ait un lien avec Dante. Effectivement, elle avoue que c'est le cas : elle et son mari se sont séparés, se sont battus pour lui, et il a mal tourné. Il s'est mis à fréquenter des gens qui l'ont présenté à Vito DeCanio. Il a commis un certain nombre de crimes, a été arrêté et le criminel a accepté de le sortir de prison, de le protéger, si en échange elle travaillait pour lui. Mais il vient de rompre cet accord en l'envoyant en mission. Elle accepte d'aider le FBI en échange de la protection de son fils. Dembe lui promet qu'ils seront protégé tous les deux et lui demande où se trouve Dante.
Dino, Mikey et Dante se préparent pour leur mission. Tandis que les deux premiers se rendent dans un bâtiment à l'abandon, le troisième retourne dans la voiture. Pendant ce temps, non loin de là dans un appartement, sous bonne protection policière, Herman Levy attend de pouvoir témoigner contre Vito.
Dans l'avion, Weecha ne comprend pas la réaction de son patron. Pour elle, c'est une bonne chose si Liz a su la vérité avant de mourir, elle en a parlé à Agnes et c'est la raison de leur bonne entente. Red voit les choses différemment : et si c'était la raison de son hésitation? Si elle n'avait pas hésité, elle aurait peut-être survécu.
Au Bureau de Poste, l'équipe essaie de donner un sens aux informations donnée par Sand. Il est question principalement d'une église qui, maintenant que Mary Parrot est morte, peut être détruite. Mais pourquoi est-ce important pour Vito DeCanio? Puis ils font le lien. L'adresse. Herman Levy, l'informateur qui doit témoigner contre le criminel est sous protection dans le bâtiment qui jouxte l'église. Il veut le faire assassiner. Grâce à cette précieuse information qui implique directement Vito, il pourrait enfin être mis sous les barreaux, Sand et son fils se voient octroyer un accord d'immunité.
Pendant ce temps, tandis que Dante attend dans la voiture, Mikey et Dino, cassent un mur de l'église et se retrouvent dans le bâtiment où se cache le témoin. Ils le trouvent, tirent sur ses gardiens et s'emparent de l'homme. Mais l'équipe du FBI les attend et sauve Herman Levy. Mikey, Dino et Dante sont arrêtés.
Cooper apprend à Reddington le succès de la mission. DeCanio est aux arrêts, Sand et son fils ont obtenu un accord d'immunité en échange de leurs témoiganges et vont être transférés. Discrètement, le criminel lui demande ce qu'il pense du médecin et il apprend du chef de la Task-Force qu'elle est intelligente et réfléchie, et que ses résultats en sont la preuve. Puis Red s'inquiète de savoir si Agnes a passé un bon moment avec lui et Harold le rassure, c'est le cas. Il se dit impressionné par cette bonne entente et espère que, comme lui, elle l'aidera à penser ses blessures.
Le Dr Sand et son fils Dante sont dans le fourgon de transport. Dante est inquiet de savoir qu'ils vont devoir faire confiance aux fédéraux mais sa mère lui assure qu'à présent, c'est le seul moyen qu'elle a trouvé pour le protéger. Le convoi est arrêté. Le jeune homme est persuadé que c'est DeCanio qui vient pour se venger. Mais la porte s'ouvre et ce n'est que Reddington qui leur propose un marché pour son propre compte.
DeCanio arrive au Bureau de Poste et se moque : il a déjà été deux fois en détention fédérale, et jamais bien longtemps. Cooper lui promet que cette fois-ci, ce ne sera pas le cas. Arrive Park qui l'accuse avec colère : le convoi a été attaqué, Sand et son fils ont disparu! Le criminel se défend, il n'y est pour rien, mais se dit ravi de la situation.
Dans l'avion de Reddington, le docteur Sand écoute sa proposition. Il veut qu'elle soit sa thérapeute personnelle. En échange, il la met à l'abri des hauts placés dans la poche de DeCanio, et elle sera bien payée. Voyant l'hésitation du médecin, il poursuit : il ne sera pas question de sa vie professionnelle, mais personnelle. Pour Sand, l'un ne va pas l'un sans l'autre, c'est ainsi que fonctionne ce processus. Le criminel poursuit malgré tout. Il demande trois mois, sur l'île de son choix. A la fin de cette période, elle sera libre si elle le désire. Elle peut considérer cela comme une transition agréable entre un passé déplaisant et un avenir prometteur. Il pense qu'elle est capable de l'aider, son histoire n'est pas pour les âmes sensibles et est persuadé qu'elle peut supporter ce qu'elle va entendre. Il n'a pas besoin d'un faiseur de miracle, il en a déjà un(e), mais de son aide.
Aram trouve Park sur le palier au dessus de la salle principale. L'agent voit rapidement où est le problème, ses colères incessantes, et rassure sa collègue : tout le monde a des pulsions sombres, il n'y a pas de remèdes. L'idée est qu'il ne faut pas se haïr à cause d'elles, mais de s'aimer malgré elle. C'est du moins ce qui ressort de ses nombreuses et coûteuses années de thérapie.
Red appelle Cooper depuis son avion et lui confirme que c'est lui qui détient la thérapeute : elle a accepté de travailler avec lui. Le criminel le rassure, d'autres témoignages permettront de condamner DeCanio avant elle et d'ici là, il sera un homme meilleur et elle sera moins terrifiée si elle doit aller à la barre. Il raccroche, le jet se préparant à décoller. Weecha le rejoint avec les résultats de Cvetko : les empreintes de Liz sont sur l'enveloppe. Reddington va voir Sand et, un peu brutalement, demande immédiatement à lui parler.
Au lit, Peter se détoune de son épouse. Elle lui explique son comportement : elle n'a pas été honnête de peur qu'il la voit comme elle elle se voit. Le fait est qu'elle ne s'aime pas. Elle promet d'essayer d'apprende à s'aimer, en espérant que lui le puisse aussi.
Cooper répond au téléphone et une voix déformée lui ordonne de regarder ses SMS : il découvre une photo de lui et Lew, dans leur voiture. De plus, la voix affirme avoir la preuve audio qu'ils ont falsifié des preuves. Cooper demande au maître-chanteur ce qu'il veut : la voix répond qu'il veut beaucoup de choses, mais qu'avec ce qu'il sait sur lui et Doug Koster, il est certain qu'il va les lui donner.
Red parle en tête à tête avec Roberta Sand et lui explique, meurtri, ravalant sa rage, qu'il avait trouvé la paix, la tranquilité, le calme. Mais qu'il a tout abandonné, attiré par le chaos et le danger. Cela le stimule tellement qu'il entraîne avec lui ses proches, ceux auxquels il tient désespérément. Il est prêt à risquer tout ce qui est bon dans sa vie, défendre même le risque comme nécessaire ou juste, tout en sachant que le résultat ne sera qu'une obscurité de plus en plus profonde. Le médecin lui demande là, maintenant quel est le déclencheur de cette humeur. Le criminel lui avoue qu'il vient de découvrir que son plus proche et vieil ami l'a trahi et qu'il appréhende la profondeur et l'étendue de sa colère.
Résumé proposé par mnoandco