Dembe fête son anniversaire entouré de quelques amis dont Red, Brimley, Fudo et Sakiya. Ils sont interrompus par un coup de téléphone important. Un certain monsieur Orville donne rendez-vous à Reddington, le vendredi suivant à 7h pm avec un coffret de nidifications qu'il possède. Il fait parti d'un lot de 6 et il a un acheteur pour l'ensemble, c'est urgent.
Le soucis est que le coffret que le criminel possède est en Ukraine où sa tête est mise à prix par des séparatistes pour avoir vendu des armes aux russes. Il n'a pourtant pas d'autre choix que de s'y rendre, seul lui pouvant ouvrir la planque puis le coffre où il est caché.
Sur place, Dembe et lui rencontre discrètementVasyl, leur contact. Leur planque ouverte, le coffre ouvert, le criminel se saisit du coffret et explique son histoire à Vasyl. Il fait parti d'un lot de 6, s'emboitant les uns dans les autres. Ils datent de l'époque Byzantine, 12em siècle et proviennent de Turkie. Elles sont uniques et leur valeur inestimable une fois réunies, plus que tout ce que contient sa planque. Tout à coup, Vasyl panique et tente d'enfermer les deux compères mais Dembe et plus prompt. L'homme désespéré avoue avoir reçu un appel des rebelles peu après leur arrivée et qu'ils menacent un membre de sa famille. Ils ne vont pas tarder. Il promet de les sortir du pétrin ce qu'il fait aidé d'une petite diversion.
De retour aux Etats-Unis, Reddington retrouve Cynthia qui va évaluer le coffret. Elle est tout excitée, en a entendu parler, croyait même à un mythe. Mais elle déchante vite : c'est une contrefaçon. Red est étonné, aucun signe de vol dans la planque. La seule solution est que le coffret ait été un faux lorsqu'il l'a acquis. Dans ce cas, les 5 autres sont dans le même cas que lui et n'en ont aucune idée. Il le prend plutôt bien d'autant plus lorsqu'un idée qu'il partage avec Dembe lui vient : trouver le faussaire, apprendre où se trouvent toutes les boîtes, les retrouver pour eux seuls et faire fortune au passage.
Aram se trouve avec Elodie au lit. La femme est tout excitée (trop) en parlant des affaires classées secrètes de son compagnon. Tout à coup une alarme retentit et la femme se précipite : au rez-de-chaussée, son mari fait une attaque et son infirmière tente de le ranimer. Elle appelle le 911.
Ressler rejoint Liz dans son bureau bouleversé : Cooper lui a appris que Katarina est morte et c'est de sa faute, il a réactivé sa poursuite. Sa collègue le rassure vite : elle n'est pas morte, c'est un traquenard destiné à leurrer Reddington et cesser sa traque. Elle reviendra une fois les choses calmées. Cela doit rester entre eux. L'agent demande si le criminel a confirmé que c'était sa mère, mais non lui répond sa collègue. Il doit cependant se douter que c'est ce qu'elle croit. Il lui conseille de lui poser la question et de jouer le jeu intelligemment. Pendant la conversation, Liz coud des chaussons pour Agnes : elle va jouer dans un spectacle, un ballet, la Belle au bois dormant. Ressler avoue lui aussi avoir joué dans une troupe et porté des collants. A ce moment, Red contacte Liz.
Sans l'écouter, l'agent lui demande si la femme de Paris était sa mère. Il lui répond comprendre qu'elle le souhaite, qu'elle voudrait que ce soit vrai mais sa mère est partie. Ils parlent ensuite de l'affaire des coffrets et le criminel met la Task-Force sur la trace de l'entreprise justeuse qu'est la contrefaçon.
L'affaire est pour le FBI bien plus importante que ce que le criminel imagine : les musées, galeries, collections privées seraient remplis à 20% de contrefaçons pour un équivalent de 10 billions de dollars. Le criminel et ses compères ont volé le lot de coffrets à l'Olympian Gallery et il leur a donné une piste : un auto-portrait de Judith Leyster qui s'y trouve et qu'il pense être un faux. Il s'avère qu'il a raison. Toutefois, à son entrée au musée, il avait été authentifié. L'échange a eu lieu après certainement lorsqu'une conduite de gaz a explosé dans le parking créant ainsi une diversion.
Pendant ce temps, Victoria Fenberg mécontente rencontre un avocat de sa famille dans son cabinet lorsque l'alarme du bâtiment se déclenche. C'est également une diversion orchestrée par son complice Richard Vitalis. L'homme va voir ce qu'il en est et pendant ce temps, Victoria se faufile dans la galerie de la société où sont exposés des objets précieux. Elle échange un œuf fabergé contre son exacte copie.
Reddington enquête de son côté. Dans un restaurant, il rencontre l'acheteur de la copie de l'auto-portrait un certain Thornberry : il veut le nom du vendeur.
En visionnant les vidéos de l'explosion de la conduite de gaz du parking, Park découvre que c'est une voiture garée à proximitée qui a en fait déclanché l'alarme en explosant. En remontant sur la vidéo ils sont en mesure d'en lire les plaques et de trouver de son propriétaire : Richard Vitaris.
A Baltimore, Victoria Fenberg travaille sur une contrefaçon, une peinture. Son complice, Richard Vitaris la rejoint. Un certain Eagleton est là pour l'estimation de l'oeuf fabergé. Il l'achète mais pas assez cher au goût de l'homme. Il a besoin de beaucoup, beaucoup d'argent pour un procès en recours collectif. La femme le rassure, son prochain travail rapportera plus.
Park et Ressler fouille chez Vitaris : des plans montrent qu'il cible des musées mais aussi des résidences privée et même un cabinet d'avocat.
Aram et Liz ont quant à eux fait quelques recherches sur l'homme. Il est à l'origine d'un recours collectif contre la société pharmaceutique des Fenberg. Son fils est devenu accro à l'un de leurs médicaments après une simple blessure : il est mort d'une overdose l'année d'après. L'auto-portrait de Judith Leyster et le coffret de Red faisaient partie de la collection d'art des Fenberg. Ils sont personnellement ciblés.
Les agents Mojtabaï et Keen se rendent chez les Fenberg tandis que Park et Ressler réunissent les preuvent retrouvées chez Vitaris pour les étudier et découvrir ses plans passés et qui sait, peut-être futurs.
Mr Fenberg est bien évidemment très mécontent d'apprendre que ces œuvres sont la cible de Vitaris, celui qui en plus lui met un procès massif sur le dos. Sa fille Victoria semble éprouver de l'emphatie pour l'homme qui a perdu son fils, au grand dam de son père. Aram explique à Monsieur Fenberg qu'il faut ré-authentifier toutes les œuvres familiales qu'ils ont en leur possession et qu'elles vont être mises à l'abri. Fenberg exige que le FBI fasse son travail et retrouve Vitalis.
Au Bureau de poste, Aram reçoit un appel d'Elodie : son mari a survécu. Il trouve que c'est une bonne chose mais elle en est moins certaine et n'a aucun a priori si il pense comme elle. L'agent s'insurge, jamais il n'a pas souhaité la mort de son mari! Il doit interrompre l'appel lorsque le travail l'appelle.
L'équipe constate que Vitalis va avoir besoin de davantage d'argent pour financer le procés, il va lui falloir un gros coup. L'agent Mojtabaï pense savoir de quoi il s'agit. Il a remarqué que le faussaire préfére contrefaire certaine pièce spécifique et avec des recoupements avec les pièces qui appartiennent au Fenberg arrive à la conclusion que la prochaine cible ne peut qu'être qu'un Hoogstraten qui vaut $24 millions. La peinture en question est accrochée dans leur maison.
Reddington rend visite à Eagleton qui, selon sa source (Thornberry) revend les œuvres de la famille Fenberg. Il lui montre son coffret qui lui aussi vient de la collection Fenberg et après quelques menaces obtient le nom du faussaire : Victoria Fenberg.
Pendant ce temps, le père de Victoria est furieux contre Vitaris qu'une fois de plus sa fille défend. Leurs œuvres sont emballées et prête à être envoyées en lieu sûr. Liz téléphone à Victoria : elle lui apprend qu'elle et sa famille sont la cible de Vitaris et qu'ils sont en route pour les protéger ne sachant rien de ses réels projets.
Victoria téléphone discrétement à son complice : le FBI est en route, le recherche, il faut laisser tomber. Il refuse, le plan reste inchangé : ils s'emparent de la peinture, la vendent et avec l'argent financent le procès. Elle doit faire l'échange.
Richard Vitaris est déjà sur les lieux dans l'un des camions destinés à déplacer les œuvres, déguisés en déménageur. Il heurte volontairement Liz qui le reconnaît et le met aux arrêts. Par la fenêtre, Victoria observe la scène et procède à l'échange des peintures.
Ressler exige de voir la peinture menacée d'être remplacée et constate qu'elle est encore là. Il demande que l'unité des arts volés vienne l'authentifier dès leur arrivée.
Au Bureau de Poste, Vitaris fait sa déposition et avoue : il affirme être le faussaire, avoir travaillé seul. Cependant, même sans être entré dans la maison, la peinture se révèle être un faux. Tout le monde a été fouillé sauf les Fenberg...Ressler en vient à la seule et unique solution. Il confronte Victoria après qu'elle ait parlé à Richard Vitaris qui l'a supplié de se taire afin de poursuivre leur tâche et venger la mort de son fils Justin. Il sait que c'est elle la complice mais n'a aucune preuve. La femme ne sera pas inquiétée.
Victoria se rend chez son revendeur Eagleton avec la toile volée au nez du FBI. Qu'elle n'est pas sa surprise d'y voir ses invités surprises, Reddington et Dembe préparant des gaufres. Après le discours du criminel sur son amour des drames familiaux, il en vient au fait et sort son coffret. Il apprend que Victoria n'a contrefait que celui-ci sur les 6 de la collection familiale des Fenberg et que c'était sa première contrefaçon. Il veut le nom de celui à qui le coffret original a été vendu, Eagleton ne s'étant pas occupé de cette vente à l'époque.
Victoria est surprise que Red ne veuille qu'un nom mais il confirme : il comprend totalement son désir de soutenir les victimes de la drogue que son père vend sur le marché en toute légalité. Il n'a aucune intention de la stopper et prévoit d'utiliser ses services dans le futur lui-même étant un mécène passionné des arts.
Le criminel se rend donc chez une charmante vieille dame, en amateur d'art envoyé par Victoria, juste pour admirer sa collection. Discrètement, il substitue le vrai coffret contre sa contrefaçon.
Liz retrouve Red dans sa voiture. Elle découvre qu'il a retrouvé l'original de son coffret mais il refuse de lui dire qui est le fausaire. Il explique cette expérience, que bien que persuadé que son coffret était réel, il était un faux mais fait plus référence à la femme de Paris. Le fait que Liz ait désiré que ce soit sa mère a obscurci son jugement et le fait que la femme en question lui ait confirmé qu'elle est Katarina n'y change rien : ce n'est pas Katarina. L'agent suspecte que Red lui ait donné le cas pour lui montrer qu'il est facile de faire passer un faux pour un vrai pour appuyer ses arguments. Il nie, c'est surtout pour se faire une montagne d'argent car l'acheteur est pressé. Il doit se rendre à la vente. Avant qu'il se sépare, Liz lui demande d'essayer de rentrer rapidement pour assister au ballet d'Agnes. Le criminel est déjà au courant, Cooper le lui a dit estimant qu'il aimerait le savoir.
Aram se rend chez Elodie mais ne veut pas entrer : il la trouve géniale mais il veut rompre malgré tout. Ils le doivent, ils ne cessent d'ignorer la loi et c'est génial mais ce qui l'est moins est le fait qu'elle ait souhaité la mort de son mari. Il apprend qu'il va relativement, est sous ventilateur à présent, ce qui est une bonne nouvelle pour lui. Cependant il ne peut pas résister et une fois de plus il se retrouve au lit avec Elodie. La femme endormie, éveillé il écoute le bruit du ventilateur qui maintient le mari en vie.
Résumé proposé par mnoandco