Alban Veseli, The Freelancer, se fait passer pour un inspecteur maritime de la Garde côtière afin d'accèder à la salle des machine d'un ferry. Il sabote un tuyau qu'il manipule avec des gants et en portant un masque de protection. Une fois pulvérisé, le liquide utilisé corrode le métal. En sortant, il est interpelé par le gestionnaire du terminal qui lui demande si le bateau a passé l'inspection. Tout en se débarrassant des gants dans la poubelle, il confirme que l'équipage à le feu vert pour embarquer les passagers.
Dans la cuisine des Cooper, tout en déballant des friandises pour Agnes, Red raconte son périple en voiture sur les aires de repos entre New-York et Washington. Il lui apprend être arrivé la vieille au soir pour une première réunion sur un projet de construction, et que sur le retour il compte s'arrêter dans un parc d'attraction pour faire un tour sur les montagnes russes. Mais le chef de la Task-Force en vient à un sujet plus grave, la mort de Robert Vesco, et lui dit être désolé, il savait qu'ils étaient proches. Red, peiné, ne peut que confirmer, ajoutant que l'homme se vantait de lui avoir tout appris mais qu'il ne savait pas la moitié de qui ou de ce qu'il était. Il avoue regretter l'avoir embarqué dans son monde et qu'il en ait payé le prix. Cooper remarque qu'il a sauvé la vie de Dembe et que cela compte. Le criminel acquiesce mais le fait est qu'il va lui manquer et que s'il est décédé, c'est entièrement sa faute, comme souvent. Après avoir appris que Dembe reprend du service, Red reçoit un appel qui le contrarie : un ferry a coulé dans le port de Baltimore et des dizaines de personnes sont présumées mortes. Cooper allume son téléviseur et l'annonce fait les gros titres sur les chaînes d'informations. Le criminel sermonne son interlocuteur pour ne pas avoir été prévenu avant la catastrophe et, un fois raccroché, apprend au chef de la Task-Force que, selon son informateur, un homme ressemblant à Alban Veseli a été vu près du terminal du ferry. Il s'excuse de ne pas avoir eu l'info plus tôt afin d'éviter la catastrophe.
Au Bureau de Poste, Cooper rappelle comment opère The Freelancer : il cache l'identité des cibles qu'il doit éliminer lors de catastrophes à grande échelle, c'est à dire qu'il sacrifie des dizaines voire des centaines de vies pour tuer un seul individu et, dans le cas présent, 35 passagers et 7 membres d'équipage. Reddington pense que cet événement est directement lié au plan de Wujing d'exposer son association avec le FBI et c'est pourquoi l'équipe décide d'étudier le manifeste des passagers. Quelques noms ressortent comme David Broderick, du conseil municipal de Baltimore, Sarah Miller en liberté conditionnelle pour contrefaçon, ou encore Wade Han pour plus d'une douzaine d'arrestations pour trafic d'armes et voies de fait. Mais aucune n'est en lien avec leur CI. Siya continue d'étudier la liste des passagers tandis que Ressler et Zuma sont envoyé sur les quais. Sur place, un journaliste bouscule une femme en pleurs parce qu'elle n'a pas de nouvelles de sa fille qui a pris le ferry : l'agent Zuma lui conseille de prendre contact avec un membre de la croix-rouge non loin d'eux puis demande à l'homme d'avoir un peu de respect et de courtoisie. Celui-ci s'excuse, mais lorsque les agents tournent le dos, c'est eux qu'il prend en photo ayant entendu qu'ils sont du FBI.
Un agent du NTSB (National Transportation Safety Board) parle avec Ressler et lui apprend que la cause de l'accident est encore inconnue, même si le capitaine a signalé un bruit fort provenant d'une rupture dans la salle des machines avant que le ferry coule. Pour lui, ce qui est bizarre, c'est que selon le directeur du terminal, le navire a reçu une inspection de sécurité d'un inspecteur maritime de la Garde côtière juste avant le départ et que pour lui tout était bon. Il répond par l'affirmative lorsque Dembe lui demande si l'homme a eu accès à la salle des machines. Les agents interrogent alors le gestionnaire du terminal qui confirme l'inspection avant le départ et que, comme souvent, elle était non programmée. Ressler montre une photo d'Alban Veseli, le Freelancer, et l'homme le reconnaît comme l'inspecteur maritime. Il lui apprend qu'il lui a parlé sur le quai alors qu'il partait et jetait ses gants dans la poubelle, celle qu'il indique d'un geste. Les agents y trouvent effectivement des gants avec une forte odeur chimique. Ils doivent vite faire des analyses, mais leur équipe médico-légale est déjà surchargée avec toutes les preuves provenant du ferry et des victimes. Ressler suggère de demander à Herbie, l'associé de Reddington, qui les a déjà aidé auparavant.
Pendant ce temps, Zhang Wei félicite Alban Veseli pour son travail, Wujing est satisfait. L'homme annonce que ce qu'il a prévu ensuite lui plaira tout autant.
Red arrive de manière impromptue chez Rogelio. Le criminel remarque tout de suite que son épouse Soledad et une femme plus âgée, Ita, sont en plein travail. En effet, l'associé de Red à un nouveau projet, la confection de draps doux et durable. Red sous-entend que son esprit est ailleurs et que c'est pour cela que son information sur l'attaque du Ferry est arrivée trop tard. Il lui rappelle qu'il avait besoin qu'il le contacte dès qu'Alban Veseli était repéré, pas une fois que des corps flottaient dans l'eau : il a besoin de toute son attention mais aussi de celle de chaque femme de chambre, groom et serveur à sa solde. Rogelio promet de tripler la récompense et de s'assurer que tous ses employés sont en alerte. Mais le criminel a une autre demande : il doit rester en ville jusqu'à ce que cette affaire soit réglée et lui demande l'hospitalité.
Lors de sa réunion des narcotiques anonymes, Ressler célèbre ses un an d'abstinence et reçoit sa pièce. A contrecœur, devant tous, il dit quelques mots, expliquant que faire cavalier seul ne rend pas plus fort, mais que la force est d'accepter d'être faible et de demander de l'aide. Après son discours, il est approché par le chef du groupe qui lui annonce qu'il pense qu'il est prêt pour à son tour aider quelqu'un d'autre vivant ce que lui a vécu et lui montre un type assis non loin. Donald demande à y réfléchir.
L'agent Malik arrive au Bureau de Poste avec Herbie Hambright qui, comme à son habitude, ne cesse de parler, admirant les protocoles de sécurités mais s'assurant toutefois qu'il pourra rentrer chez lui embrasser Holly et jouer avec Sue. Lorsqu'il découvre la salle principale, il s'extasie avant de renconter Ressler qu'il a eu au téléphone auparavant et Dembe qu'il connait déjà. Il lui demande ce que cela fait d'être sur le droit chemin puis, à Donald, si cette installation est l'oeuvre de Red. Dembe réplique qu'il vaut mieux ne pas poser trop de question. Il comprend immédiatement qu'il s'agit d'un site classé secret, mais n'arrive pas à déterminer de quelle agence il s'agit. Siya le presse vers son labo afin qu'il détermine rapidement comment le ferry a été saboté.
Au Bureau de Poste, Herbie étudie les gants et y découvre que les vapeurs nocives qu'ils dégagent proviennent d'une bactérie appelée Leptospirillum ferricomedentis. Il s'agit d'une bactérie qui dévore littéralement le fer et il est fort possible qu'elle ait été utilisée pour affaiblir la coque du navire. Bien sûr, il est difficile de s'en procuer car elle est rare et son utilisation très réglementée. Toutefois, Herbie découvre un labo qui en a vendu un flacon la semaine précédente à une entreprise, Appalachian Defence Alliance, soi-disant pour nettoyer des déchets miniers. Mais Siya fait des recherches, elle n'existe que sur le papier, même si ses comptes bancaires sont bien réels et montrent tous les achats nécessaires pour percer un trou dans la coque d'un navire (masques à gaz, outils, solvants inflammables). Herbie remarque surtout un fait important : selon l'horodatage des achats, certains solvants ont été achetés après l'explosion du ferry et cela ne peut vouloir dire qu'une chose, The Freelancer a prévu une autre attaque. Cooper propose de raccompagner Herbie chez lui, mais il préfère rester jusqu'à ce que Alban Veseli soit arrêté, ajoutant que la baby-sitter est là jusqu'à 18h. Le chef de la Task-Force accepte cette aide supplémentaire, ils en auront peut-être besoin.
Chez Rogelio, Red se fait chouchouter par son épouse et Ita lorsque l'homme revient chez lui avec d'autres nouvelles : il va y avoir une autre attaque, au centre-ville de DC, une de ses gouvernantes a repéré Veseli à l'hôtel Broadhurst. Cooper est immédiatement prévenu et il y envoie Ressler et Zuma. Sur place, de la fumée s'échappe d'une fenêtre de l'étage supérieur et les pompiers sont déjà là, tout comme le même journaliste présent sur le quai après la catastrophe du ferry. Leur chef estime que leur appel a sauvé des vies, tout l'étage et ses occupants auraient pu y passer. Apparemment, selon eux, le point d'origine du feu est un placard où des produits ménagers, et donc potentiellement enflammables, sont stockés. Les agents décident d'interroger les personnes du 9em étage afin de découvrir la cible du Freelancer. Rien n'en ressort.
Pendant ce temps, chez Rogelio, Red interroge la gouvernante qui a prévenu son employeur de l'incendie à l'hôtel Broadhurst. Elle est nerveuse et craintive tandis que le criminel dit s'étonner qu'elle soit venu reporter à son associé une histoire aussi bien ficelée que celle qu'elle lui a raconté. Elle craque, demande sa pitié car elle a deux bébés, et avoue que c'est l'homme, ce Veseli, qui est venu vers elle et lui a promis 10 000 $ si elle disait exactement à Rogelio ce qu'il avait dit. Red lui dit qu'elle peut partir, et lui dit de prendre son paiement avec. Rogelio s'étonne, elle l'a trahi et il la paie! Pour celui-ci, elle a été payé pour un échange d'informations, ce qu'elle a fait. Et puis, il y a la raison pour laquelle elle l'a fait, ses enfants. Mais il ajoute que surtout, c'est certainement à cause d'une photo prise des années auparavant que le lien a été fait entre eux deux, si improbable que ça soit.
Raymond contacte Dembe et apprend sans surprise qu'aucune cible ni au ferry, ni à l'hôtel n'a été identifié. Il apprend à son ancien acolyte que la gouvernante qui a trouvé le tuyau pour l'hôtel l'a eu du Freelancer lui-même. Pour lui, c'est logique, Wujing cherche des preuves de sa relation avec le FBI. Si The Freelancer alimente son réseau d'informations et que le FBI intervient avant d'avoir un motif valable, alors Wujing établit un lien de causalité entre son monde et le leur. Reste à savoir comment il entend le prouver. Dembe pense avoir la réponse à cette question. Il retrouve son ancien patron et lui montre la vidéo d'un journaliste par une caméra de vidéosurveillance extérieure près de l'hôtel. Tout un groupe de journalistes s'y trouve, prenant des photos de ce qui se passe...sauf lui qui les suit lui et Ressler de son objectif. De plus, il était présent bien avant que les pompiers soient avertis et était sur le site de l'incident du ferry. Ce qui chiffone l'agent c'est qu'il pense connaître cet homme. Raymond confirme, c'est le même photographe qui a pris une photo d'eux avec Rogelio six ans auparavant. Son hypothèse est donc juste, Alban Veseli paie le personnel de Rogelio pour le tuyauter, envoie ce photographe sur les sites des attaques pour prendre sur le fait l'équipe du FBI qui travaille avec lui : Wujing cherche effectivement la preuve de sa relation avec le FBI. Mais pour lui, qui ne déroge jamais de sa règle des trois, la vraie confirmation viendra avec une troisième attaque, celle qui établira qu'il existe effectivement un lien entre eux.
Au Bureau de Poste, les agents s'intéressent donc à Keith Perry, le journaliste local. Dembe apprend à l'équipe que celui-ci a pris une photo d'eux et Rogelio il y a plusieurs années, mais que seul le visage de ce dernier était reconnaissable, on ne voyait que l'arrière de la tête de son ancien compère. Il annonce que Raymond pense que The Freelancer planifie une autre attaque et que Keith Perry sera sans aucun doute là pour prendre des photos lorsqu'ils arriveront sur les lieux. Il faut impérativement le localiser, et vite.
Au Bureau de Poste, Cooper apprend que Keith Perry est introuvable, son appartement vide, injoignable au téléphone. Alors que sa photo prise devant l'hôtel est sur l'écran géant de la salle principale, Herbie se permet d'intervenir avec un élément crucial, même s'il ajoute que ce n'est pas son domaine d'expertise : le journaliste, sur son appareil photo, a un adaptateur cloud sans fil, un matériel de chez Novall, ce qui veut dire que ses photos sont téléchargée en temps réel sur le cloud. Il commence alors comme à son habitude à blablater, il le sait parce qu'il prend des centaines de photos par jour de Sue et donne même son Instagram pour qu'ils le suivent. Cooper demande immédiatement à Siya une citation à comparaître à Novall afin d'accéder au stockage des photos de l'homme.
Dembe rejoint Ressler dans son bureau, ayant remarqué qu'il triturait une pièce lors du briefing. L'homme confirme, cela fait un an qu'il a décroché mais avoue en avoir marre que tout le monde le félicite pour ça. Il lui apprend surtout que son référant au NA veut qu'il parraine quelqu'un, mais il ne sait pas s'il en est capable, c'est déjà tellement difficile pour lui de tenir le coup. Dembe lui rappelle qu'il ne l'a jamais vu refuser son aide s'il le pouvait.
Dans la salle principale, les agents ayant obtenu l'assignation et obtenus de Novall l'accès au compte de Keith Perry, observent les photos qu'il a prise mais également celles qu'il prend en direct. Dembe et Ressler sont sur tous les clichés. Herbie remarque surtout qu'à l'instant même des photos sont téléchargées : il s'agit de celle d'un immeuble d'appartements. Pour l'équipe, il s'agit de la prochaine cible du Freelancer et le journaliste repère les lieux. Le bâtiment est vite localisé à Arlington et comprend 12 étages de 16 appartements, cela pourrait signifier des dizaines, voire des centaines de victimes. Pendant ce temps, à l'adresse indiquée, Alban Veseli est déjà à l'oeuvre.
Dembe, Siya et Donald se rendent immédiatement sur place. Tandis que ces messieurs entrent, l'agent Malik est chargée de s'occuper de Keith Perry, déjà sur place et déjà en train de prendre des photos de ses collègues. En deux temps trois mouvements, il est aux arrêts.
Ressler et Zuma localisent The Freelancer. Celui-ci fait semblant de se rendre avant de les attaquer. Une bagarre s'ensuit dans laquelle Veseli donne du fil à retordre aux deux agents. Ils finissent toutefois par avoir le dessus et le mettent KO. Mais ils ont un gros problème, l'agent chimique utilisé par leur blacklisté ronge la conduite de gaz qui fuit et une bombe est sur le point d'exploser. Ils contactent Cooper pour l'informer de la situation. Leur chef les informe que Siya s'occupe de faire évacuer les lieux, mais pour eux, il n'y a pas assez de temps pour mettre tous les habitants à l'abri et décident de rester. Le téléphone raccroché, ils réfléchissent et Ressler propose de couper le courant principal avec une hache. Et cela fonctionne, la minuterie de la bombe s'éteint. Lorsqu'ils se retournent, ils ne peuvent que constater que Veseli s'est enfui. Red téléphone à ce moment et apprend que non seulement ils sont au courant du tuyau qu'il leur donne à l'instant car ils viennent d'y éviter une catastrophe, que tout le monde est en sécurité, mais surtout que Veseli a disparu.
Keith Perry est interrogé au Bureau de Poste par Siya et Ressler. Il leurs apprend que 6 ans auparavant, il couvrait une grosse collecte de fond dans un hôtel près de Dumont. En désespoir de cause, il est allé à l'arrière du bâtiment en pensant avoir un scoop sur une personne entrant ou sortant en douce. Puis il l'a vu, Raymond Reddington parlant avec un latino, mais le temps qu'il prépare son matériel, il n'a eu qu'une photo floue de l'arrière de sa tête. Personne n'a voulu l'acheter et encore moins croire que c'était Reddington. Il n'a réussi à vendre son cliché qu'à un tabloïd qui lui même mettait en doute sa parole. Si seulement il avait pu le prouver, il aurait eu une sacré paie. Puis, tout à coup, il y a quelques mois, quelqu'un s'est présenté à sa porte et a voulu en savoir plus sur ladite photo. Il a dit qu'il travaillait pour quelqu'un dont nom commençait par Wu... Il voulait savoir pour la photo et qui était le type avec Reddington, puis il lui a demandé de bosser pour eux.
Chez Rogelio, Red se prépare à partir tandis que celui-ci insiste pour qu'il reste manger la paëlla légendaire de son épouse au lieu d'en emporter. Mais le criminel la remercie surtout de son hospitalité et vante les draps dans lesquels il a dormi : il ne doute à aucun moment de la réussite de son entreprise commerciale. Rogelio espère surtout qu'il lui fera de la publicité, mais Red propose plutôt d'investir, lui demandant de combien il a besoin. L'homme refuse gentiment, il n'a pas besoin d'argent, grâce à son travail pour lui il a son réseau de renseignement qui est passé de la ville à la région puis à tout le pays : il s'est construit un joli pécule, et c'est avec lui qu'il veut se payer SON rêve. Red comprend, il n'a plus besoin de lui. Rogelio le reprend, jamais il n'oserait, il lui doit beaucoup, voir tout, mais ça, il peut le faire sans lui. Le criminel lui propose de venir vers lui s'il a besoin un jour d'un investisseur ou d'un porte-parole, il suffit de demander. En attendant, il demande deux jeux de ses nouveaux draps, ce que Rogelio lui accorde avec un grand plaisir.
A la réunion des narcotiques anonymes, Ressler prend contact avec Jonathan Pritchard lui disant comprendre exactement dans quelle souffrance il est, et l'encourage.
Chez les Cooper, Red demande des nouvelles de Herbie et apprend qu'il s'est révélé une fois de plus très utile. Plusieurs fois même. Il reprend la route, lui énonce son parcours, son intention de faire le grand huit et sa promesse à Agnes de lui rapporter des friandises (saltwater taffy) de son escapade dans le New Jersey (Garden State). Cooper lui apprend que peut-être elle les partagera avec un garçon pour qui elle a le béguin, mais précise qu'il n'est pas censé le savoir, la jeune fille n'en a parlé qu'à Charlene : il attend qu'elle vienne vers lui. Le criminel admire sa relation avec la jeune fille, ce n'est pas facile d'être père. Cooper lui avoue que certains jours, il se demande si le reste vaut la peine, le travail, la Liste Noire, il regrette chaque instant qu'il ne passe pas avec elle. Red ne peut que comprendre et ajoute qu'ils ne rajeunissent pas. Le chef de la Task-Force est d'accord, surtout que chaque menace qu'ils arrêtent en engendre trois de plus. Red confirme, c'est un effet domino désastreux, abattre Marvin Gerard a déclenché une chaîne d'événements qui a fini par couler un ferry et The Freelancer est toujours là. Maintenant, grâce à lui et au journaliste, Wujing a les preuves concrètes de leur collaboration, reste à savoir ce qu'il va en faire, l'avenir le leur dira.
Trois mois plus tôt
Dans un bar, Zhang Wei prend contact avec Sven Hollufson, un membre de l'équipe de l'armée de Fisker que Marvin Gerard avait engagé pour attaquer Reddington (s9e21). Il lui apprend que son employeur veut les embaucher pour éliminer une menace commune : Raymond Reddington. Il lui apprend surtout que si le criminel est libre et que leur leader pourri dans un site classé secret de la CIA, c'est à cause de sa collaboration avec le FBI car il a un accord d'immunité. Il lui apprend qu'un groupe de travail secret du Bureau lui permet de développer son empire, en toute impunité. Bien sûr, l'homme ne le croit pas et demande des preuves.
Zhang Wei et Sven Hollufson se rencontrent à nouveau. Le bras droit de Wujing lui présente les preuves qu'il a demandé et lui explique qu'il a fourni par trois fois des informations à des associés de Reddington, et que par trois fois son équipe du FBI c'est présentée pour enquêter avant même qu'il y ait eu quoique ce soit. Il lui présente des photos prises par Keith Perry et dessus apparaissent les agents Donald Ressler et Dembe Zuma du FBI mais aussi Siya Malik du MI6. Sven Hollufson accepte son offre de travailler pour Wujing, précisant juste que son équipe et lui sont très très chers.
Résumé proposé par mnoandco