La nuit, Red reçoit une visite inattendue, celle de Weecha. Il tente de la prendre par surprise, mais elle est plus rapide et cela se retourne vite contre lui, elle le jette sur le lit. Elle lui fait remarquer qu'il a besoin d'un garde du corps et il rétorque qu'il ne veux pas d'un garde du corps, mais d'une petite amie. Elle le rejoint sur le lit, lui souhaite bon courage, et ils s'embrassent.
Le matin, Red arrive chez les Cooper alors que résonne la musique du Lac des Cygnes. Agnes, après lui avoir sauté dans les bras, lui explique que c'est la musique de son récital. Et cela tombe bien car Pinky lui offre pour l'occasion des chaussons de danse Capezio, fait sur mesure, en lui expliquant que le cordonnier italien Salvatore Capezio a fait des chaussons pour Anna Pavlova, l'une des plus grandes ballerines de tous les temps.
Cooper remarque que Reddington est fatigué et ce dernier ne peut que lui avouer qu'il a reçu la visite d'un intrus dans sa planque de New-York mais ajoute, sans autre précision, qu'il a pris le dessus et s'est sorti de cette "situation délicate". Le chef de la Task-Force lui fait remarquer une fois de plus qu'il ne doit pas rester sans garde du corps. Le criminel dit être d'accord et lui demande le prêt de Dembe un ou deux jours, le temps qu'il remédie au problème. Il accepte. Les deux hommes reviennent ensuite à l'information que le criminel a donné à Cooper l'épisode précédent, à savoir qu'il se renseigne sur un cargo, l'Aubergine, dans le port de Baltimore. Le chef de la Task-Force a appris qu'il appartient à Transwisk International, une compagnie maritime avec quelques douzaines de navires et transporte un peu plus de 11 000 conteneurs. Il précise qu'il a consulté le manifeste et n'a rien trouvé de louche. Red lui apprend que ce qu'il ne sait pas, c'est que sur ces 11 000 conteneurs se cachent deux qui ne sont pas ce qu'ils semblent : ils appartiennent à une société, Enteron Electronics, une entreprise technologique de taille moyenne dont le siège est en Floride. Il lui apprend que si en apparence sur le papier la société existe avec un certificat d'incorporation, qu'elle paie ses taxes, a plus de 200 employés, qu'elle a été créée il y a 25 ans et a une excellente réputation, c'est un fantôme : elle ne fabrique pas et/ou ne vend pas d'ordinateurs et de cartes mères. Et ceci est l'oeuvre de son nouveau nom sur sa Liste, The Morgana Logistics Corporation, une entreprise criminelle spécialisée dans la légalisation des entreprises. Enteron Electronics et cette compagnie maritime, Transwisk International, ne sont que deux des centaines, voire des milliers de créations de Morgana. Morgana obtient des documents authentiques du gouvernement et de vrais camions, navires et avions avec des numéros de coque et de queue authentiques. Et ils fabriquent des identités exceptionnellement détaillées pour les cadres et les employés. Et si Morgana passe en dessous des radars des autorités, c'est que les chiffres sont écrasants et bon nombre des entreprises que Morgana met sur pied sont réelles et mènent des activités légitimes. Mais quelques-unes sont fictives et camouflées pour former certainement le plus grand conglomérat maritime criminel des États-Unis. Si l'équipe élimine Morgana, ils mettent tout simplement fin à l'une des plus grandes entreprises criminelles de l'histoire américaine.
Au Bureau de Poste, Cooper apprend au reste de l'équipe qu'il a prêté Dembe le temps que Red trouve une solution pour sa sécurité, puis présente le cas. Morgana Logistics utilise des entreprises apparemment légitimes comme Enteron Electronics comme écran de fumée pour déplacer la contrebande à travers le pays. Siya fait quelques recherches et confirme qu'effectivement la société Enteron déclare 14 millions de dollars par an, possède un site Web avec des photos et des biographies d'une équipe de direction et que même une réceptionniste répond au téléphone dans leur siège social. Mais tout cela n'est que du vent. A part elle, personne n'existe en chair et en os : les photos du personnel sont générées par un programme d'intelligence artificielle qui utilise différents morceaux de visages en ligne pour créer une fusion, même si chacun possède un « vrai » permis de conduire ou ont fait une « vraie » déclaration de revenus : Enteron n'est que le premier domino et Morgana est le cerveau derrière tout ça. Cooper envoie ses agents au port afin de contrôler les deux conteneurs de l'entreprise car il pourrait y avoir n'importe quoi à l'intérieur, cela peut aller des reptiles vivants, aux faux Louis Vuitton, comme le suggère Herbie, mais aussi des gens, des armes ce qui est plus préoccupants, comme le suggère le chef de la Task-Force.
Dans son bureau, le membre du Congrès Arthur Hudson annonce à son bras droit Atkins qu'il a contacté un agent du Bureau, Jordan Nixon, avec qui il a déjà travaillé quand il était procureur afin de lui demander son aide. Seul avec lui, il lui parle du groupe de travail 836, une opération secrète du Bureau qu'il a découvert par hasard en faisant une revue de budget : c'est l'une des dépenses les plus importantes jamais autorisées par l'agence et personne ne sait rien à son sujet. Il demande de la transparence, peut-être n'y a-t-il rien à découvrir, mais peut-être qu'il s'agit d'une opération de corruption et d'une utilisation criminelle des fonds publics. L'agent suggère une citation à comparaître mais il apprend que cette manœuvre a non seulement échoué à cause de Cynthia Panabaker et Harold Cooper qui ont convaincu un juge de l'annuler, mais qu'en plus Dorf qui s'était allié à lui a subitement retourné sa vesteet il les suspecte d'avoir fait pression. Il lui demande de trouver des informations en interne et il accepte.
Au port de Baltimore les agents, mandat en main, contrôlent les deux conteneurs d'Enteron Electronics et ils contiennent des bouteilles de Bordeaux Grand Cru. Les taxes sur ce genre de produit est telle que les passer en contrebande fait économiser probablement quelques centaines de milliers de dollar.
Pendant ce temps, dans un entrepôt, un certain Kavannaugh reçoit une nouvelle alarmante d'un de ses employés : le FBI vient de saisir les conteneurs Enteron au port de Baltimore. Ce dernier souligne surtout que son patron ne va pas aimer ça et n'ose pas penser au répercutions si cela ce reproduit.
L'enquête se poursuit au Bureau de Poste : Enteron distribue de la contrebande à travers le pays mais personne au port ne se doutait que la société faisait de la contrebande de marchandises illégales. Ils ont les expéditions, mais pas les dirigeants de l'entreprise. Herbie pense avoir une piste, Harold Conklin , le comptable qui a rédigé la déclaration d'impôt de la société l'année précédente. Cooper de son côté annonce qu'il envoie une équipe à l'entrepôt principal d'Enteron à Tampa. Le résultat est décevant : aucun employé ne s'y trouve, juste quelques bureaux vides. Le comptable de son côté assure que Entron existe et pour preuve, il a rencontré Roger Barrett, le vice-président des opérations de la côte Est pour une réunion de travail autour d'un dîner au Jaspiner à Manhattan. L'événement remonte à trop longtemps pour avoir des images de surveillance, mais l'agent Malik obtient du directeur général du restaurant qu'il accède aux enregistrement des transactions de cette soirée là : l'exécutif Roger Barrett a utilisé une carte de crédit d'entreprise, mais pas celle d'Enteron, celle de Northmyer, Incorporated. La carte indique une adresse de facturation à D.C. Cooper obtient un mandat.
Toujours dans son entrepôt, Kavannaugh raccroche. Il demande à son bras droit de renvoyer tout le monde à la maison, précisant que le patron désire le voir et qu'il n'est pas satisfait. L'homme est inquiet car il vient en ville pour un changement de direction et ne sait vraiment pas ce que ça veut dire. Lorsque le FBI y fait une descente à Northmyer, les locaux sont vide, seul M. Kavanaugh est là. Il est arrêté.
Dembe vérifie la sécurité à la planque de Red à Washington. Il exige de savoir ce qui s'est passé la veille à New-York et son ancien patron comprend qu'il ne lâchera pas : il lui propose de faire trois suppositions et de passer à autre chose s'il ne trouve pas. Il échoue. Mais Dembe ne lâche rien et menace de partir. Son ancien accolyte accepte de répondre s'il gagne au jeu de Bananagrams.
A Northmeyer, Herbie consulte la paperasse découverte dans les locaux et comprend que le bâtiment est utilisé comme centre de données pour créer de fausses entreprises américaines avec des permis et des licences légitimes. Sans aucun doute, c'est l'une des installations de Morgana Logistics. Il leur faudra une éternité pour déterminer dans tous ces dossiers quelles entreprises sont réelles et lesquelles sont fictives et cela se compte non pas en centaine comme les agents le pensaient au début, mais bien des milliers, peut-être même des dizaines de milliers. Tout est impeccablement orchestré avec des actes de naissance, des immatriculations de véhicules, des immatriculations d'avions, des antécédents de voyage, des notes de frais. Morgana Logistics est peut-être la plus grande entreprise criminelle qu'ils aient jamais vu. Sur un écran, ils observent l'ampleur des ses ramifications, une carte des États-Unis avec toutes les routes maritimes tracées qui entourent le pays.
M. Kavanaugh est assis à une table dans une salle d'interrogatoire et refuse de dire son véritable nom à Ressler invoquant le cinquième amendement. Les empreintes de l'homme sont vérifiées et il n'a pas de casier judiciaire, un test ADN ne donne rien. Il a une licence au nom de Gerome Kavanaugh, une adresse à Bethesda mais personne n'y habite, aucune déclaration de revenus, aucun numéro de sécurité sociale, aucun acte de naissance. C'est un fantôme, tout comme son entreprise. Ressler menace l'homme de prison pensant le faire flancher, mais il ne se laisse pas berner. L'agent cherche à lui faire peur afin d'obtenir un deal et qu'il donne le nom de son employeur. Mais il a encore plus peur de son patron et refuse tout accord.
Dembe bat Raymond au jeu de Bananagrams et ce dernier finit par avouer que l'intrus était Weecha. Dembe tombe des nues, il a laissé croire à Cooper que c'était une personne mal intentionnée qui était venu le voir. Le criminel se défend, il ne sait pas quelles sont les intentions de la femme, elle est difficile à cerner, et certes elle ne lui ferait pas de mal, mais le pourrait. Arrive Andrea Athens que Red présente à son ancien compère comme une femme adorable et celle l'a aidé à trouver un espace convenable pour le duplicata du Bureau de Poste. Il la félicite, l'endroit était parfait, et la femme apprécie le compliment. Cette fois, le criminel a besoin d'elle pour une célébration pour 25 à 30 invités, précisant que ce groupe est important pour lui. Il s'éloigne pour répondre à Cooper qui le met au courant de l'avancée de l'affaire, des preuves accumulées qui démontrent que des milliers d'entreprises américaines qui semblent légitimes sont en fait des façades pour la fraude maritime. Mais son soucis et que la seule personne arrêtée ne parle pas et qu'ils n'ont aucune idée de son identité. Red propose son aide et demande une photo de l'homme.
Le membre du Congrès Arthur Hudson rencontre à nouveau l'agent spécial Jordan Nixon qui lui apprend que l'équipe dirigée par Harold Cooper est un mystère même au sein du FBI. Il a appris toutefois que le directeur adjoint du FBI a supervisé peut-être 200 affaires criminelles au cours des 10 dernières années et que la seule solution est que quelqu'un lui fournit ses informations. Il n'a pas eu accès aux archives classifiées, mais a pu voir les numéros de dossier et les coordonnées des agents principaux liés à ces affaires. L'un d'eux a attiré son attention car quatre assistants du FBI l'ont étudié pour une procédure inhabituelle.
Tandis que Reddington conduit, Dembe tente de lui indiqué le chemin le plus rapide, sous-entendant qu'il sait mieux que lui quelles routes utiliser. Mais le criminel n'en fait qu'à sa tête et il s'avère qu'il a raison. Au téléphone, il apprend à Cooper ce qu'il a appris sur son prisonnier : selon ses sources à Paris, l'homme est Henri Guillaume et il y possède une adresse dans le Marais. Mais il ajoute que ce n'est qu'un nom parmi tant d'autres : Johannes Baard, un citoyen d'Afrique du Sud, Peter Roe, un expatrié britannique, Maxwell Voll, ressortissant allemand de Düsseldorf, tous des alias pour le même homme. En tout, une douzaine d'identité. Pour le criminel, c'est peut-être justement ces alias qui peuvent leur apprendre qui est l'homme en traçant ses allées et venues dans le monde entier.
Arthur Hudson tend une embuscade à Mike Shaeffer pendant sa pause déjeuner : il désire savoir quelle procédure classifiée réclame pas moins de quatre directeurs adjoints du FBI. Il lui apprend qu'il lance une enquête, mettant en avant le nom d'Harold Cooper. Il lui montre même un dossier contenant selon lui la transcription de cette audience classifiée du Bureau, mais ce n'est qu'un bluff car il est vide, pour que Shaeffer parle. L'homme lui annonce de gros ennuis s'il met son nez dans ce dossier et que rien que prononcer le nom de Zuma dans un dossier du Congrès lui vaudra un appel du procureur général.
Herbie va voir Cooper pour lui apprendre qu'ils ont contacté les autorités fédérales des pays qui ont délivré des passeports au suspect. Aucun casier judiciaire. Toutes les adresses sont fausses ou inoccupées. Mais comme le leur a conseillé Red, ses allées et venues montrent qu'au cours des 14 derniers mois tous ses pseudonymes ont été à Paris. Après avoir recoupé les informations de sociétés de location de voiture qui desservent Charles de Gaulle avec les différents alias et les données des GPS de chacun d'eux, ils ont obtenu une adresse, celle d' un bâtiment appartenant à une société appelée LT & Z Unlimited. Via un satellite, ils constatent que l'endroit est fortement gardé. Tandis qu'un mandat est demandé, Ressler et Malik sont envoyés à Paris pour participer au raid des autorités françaises. Mais à part les gardes, l'endroit et vide, déserté peu de temps avant, le café étant encore chaud dans une tasse et les écrans d'ordinateur encore allumés : quelqu'un les a prévenu. Sur l'un des moniteurs, un planisphère montre les routes maritimes de The Morgana Logistics Corporation qui sillonnent la totalité de la planète.
Cooper fait part de sa satisfaction à Reddington : c'est peut-être la plus grosse affaire qu'il leur ait jamais confiée : il existe un réseau de milliers d'entreprises disposant de documents légitimes, d'employés opérant avec des pièces d'identité émises par le gouvernement et utilisant légitimement acheté du matériel pour transporter des marchandises illicites dans le monde entier. Et cet entrepôt à Paris semble être la plaque tournante, le siège social où les fausses entreprises sont développées, gérées et suivies par une plus grande organisation. Il regrette que personne n'ait été arrêté, mais indique que les cartes numériques trouvées ont révélé les emplacements de dizaines d'avant-postes régionaux satellites. Ces avant-postes développent les informations transmises au siège de Paris. Avec ces informations, ils sont en mesure d'arrêter la plus grande opération maritime criminelle au monde. Et en plus, ils ont réussi sans aucune coopération de leur suspect. Reddington demande ce qu'il advient de lui et apprend que compte tenu du risque de fuite, le juge a fixé un montant obscène de caution pour sa libération : il sera en prison jusqu'à son procès. Red félicite le chef de la Task-Force.
Red dépose Dembe devant chez lui. Ce dernier désire savoir pourquoi il désirait vraiment l'avoir auprès de lui. Raymond répond que Harold inquiet, il a trouvé que c'était une bonne occasion de le faire se sentir mieux et de passer un peu de temps ensemble. Dembe sort de la voiture puis revient sur ses pas pour dire à son ancien compère qu'à lui aussi il lui manque. Seul, le criminel téléphone immédiatement à un des ses avocats pour un de ses clients traduit devant un tribunal fédéral : il veut le faire sortir même si de ce qu'il sait la somme demandée pour sa caution est astronomique.
Au Bureau Au Bureau de Poste, les nouvelles tombent en cascade, pièce par pièce The Morgana Logistics Corporation est démantelée : Hong Kong, le Maroc et la Grèce... Mais à l'arrivée des autorités, les lieux sont généralement vides et les quelques suspects appréhendés ne sont que des subalternes. Cooper reçoit un appel et annonce à l'équipe que « Kavanaugh » a déjà été libéré sous caution, 3 millions de dollars en espèces.
A la sortie du Palais de Justice Fédéral, Reddington attend « Kavanaugh » en voiture. L'homme est inquiet, il a peur qu'il soit là pour le tuer. Le criminel insiste pour qu'il monte en voiture. Mais il n'en est rien. Il l'emmène dans sa planque où l'attend une fête. De nombreuses personnes sont déjà présentes et le criminel lui annonce que ce sont les principaux directeurs des avant-postes régionaux du monde entier de Morgana Logistics Corporation. Il les a fait venir en avion pour l'occasion et lui propose de prendre une coupe de champagne tandis que lui même se sert.
Raymond Reddington prend la parole devant le groupe et les remercie d'être venu, même s'ils n'ont pas réellement eu le choix. Il leur annonce, ému, une nouvelle difficile à imaginer : le FBI et une légion d'agences internationales chargées de l'application de la loi ferment toutes les installations opérationnelles de Morgana dans le monde entier. Il les rassure vite, leurs employés sont en sécurité car fort heureusement il était au courant des raids et a pris des dispositions pour eux tous. Il dit être fier de The Morgana Logistics Corporation qui est pour lui sans aucun doute sa réalisation la plus importante, un bijou logistique qui rivalise avec les pyramides. Pour lui, c'est une merveille du monde conçue pour être cachée, merveilleuse précisément parce qu'elle existe invisible à la vue de tous. Le réseau maritime le plus complexe et sophistiqué de l'histoire. Chaque année, des marchandises en mouvement de plus de valeur que le PIB de certains des plus grands pays au monde. Un effort monumental, accompli, comme le sont les plus grandes choses, avec une vision singulière et une action collective. Et il l'a fait, avec leur aide à tous. Mais c'est fini. Il ajoute qu'il est fier et honoré d'avoir été à leur côté toutes ses années pour faire prospérer cette création grâce à laquelle ils ont fait fortune. Il annonce qu'il a fait fructifié cette fortune et qu'il va la partager avec eux, ses partenaires. Leur travail ensemble est peut-être terminé, mais aucun d'entre aux n'aura plus jamais à travailler. Leur œuvre est sans aucun doute défigurée, mais tous survivront et passeront à autre chose. Pour lui, c'est le moment de célébrer et de profiter de la fête qu'il a organisé.
Dans son bureau, Hudson parle de ses découvertes à son bras droit. Le seul nom de Zuma a suffi à le mettre sur une piste. Il a découvert que le FBI a engagé un nouvel agent il y a quelques années. Dembe Zuma. Il a fait quelques recherches et grâce à sa photo a fait quelques recoupements avec la photo prise par un journaliste 6 ans auparavant et sur laquelle on voit clairement Dembe près d'une voiture. Elle est parue dans un petit journal qui affirmait que l'homme de dos dans le véhicule était Raymond Reddington (la même photo que dans le 10.7). Voilà pourquoi il a fallu quatre directeurs adjoints du FBI pour que l'homme puisse devenir un agent spécial du FBI. Avec le nom de Reddington, selon lui, tout devient clair : Dembe Zuma au FBI, Harold Cooper qui a adopté la fille d'un autre ancien agent du FBI, Elizabeth Keen, celle-là même qui s'est enfuie avec Reddington il y a environ 10 ans et puis Donald Ressler, dont Blair Foster lui a parlé, et qui a été au début des années 2000 l'agent spécial en charge de la chasse à Reddington. Tous les chemins mènent à lui, il est la clé, tous sont liés et pour lui cela ne fait aucune doute : s'il a échappé aux autorités pendant toutes ces années, c'est parce qu'il a corrompu un groupe de travail au sein du FBI. Hudson annonce qu'il va le démolir grâce à eux.
Résumé proposé par mnoandco